Danse

25 mar
Du 25/03/2024 20:30
au 29/03/2024

Art & Culture

Vertiges - Spectacle de danse

La section danse-études vous présente l'un de ses deux projets chorégraphiques annuels : "Vertiges", sous la direction de Nicolas Barry – Ensemble Facture en collaboration avec les sections Théâtre (option lumière et son et option jeu), Arts-plastiques, Théâtre, Cinéma et Musique-études.

Dans l’histoire de l’art, le principe de vertige peut être relié à l'invention de la perspective, qui a créé la sensation, chez les spectateurs et spectatrices, que « l’espace n’est peut-être pas l’espace ». À partir de ce principe, les élèves de Danse-études ont été invité.e.s à penser leurs pratiques à partir de l’idée de vertige, appliquée à leur propre médium. C'est la création d'une pièce hybride, où les spectateurs et spectatrices seraient invité.e.s à faire l’expérience du vertige. Non pas comme dans le cadre d’un spectacle de magie, avec des tours, mais comme une expérience sensorielle et poétique où il s'agit de saisir, grâce au vertige, le principe qui sous-tend une grande part de la plus belle émotion provoquée par les œuvres d’art : le trouble. Cette création a été pensée autour de la dernière partie du film Vertigo d’Alfred Hitchcock (1958). Dans ce film, le personnage principal, un enquêteur interprété par James Stewart, est « acrophobe », une peur irrationnelle des hauteurs, un vertige pathologique. Film sur le double, l’illusion, l’irrationnel, Vertigo (ou Sueurs froides en français), est un chef-d’œuvre complet, dont l’esthétique, le son, le jeu d’acteur, les dialogues et l’intrigue sont tous hissés à des hauteurs rarement égalées dans l’histoire du cinéma. Pour la pièce Vertiges la bande son du film (musique, dialogues et bruitages) a été utilisée, et les danseurs et danseuses ont composé sur ce support un nouveau trouble. C'est une pièce qui à la fois s’appuie et s’accroche au film, et à la fois s’en éloigne radicalement. Entre la narration que l’on croit suivre avec nos oreilles et celle que l'on voit, la pièce qui se déroule est à la fois Vertigo et dans le même temps tout autre chose. "Comme l’image célèbre de la silhouette d’Hitchcock qui se place entre l’image et la surface de projection, nous avons fait avec Vertiges l’ombre de son chef-d’œuvre."

Crédits : Chorégraphe – Metteur en scène : Nicolas Barry | Ensemble Facture, Assistante chorégraphe : Sophie Billon, Assistant chorégraphe : Julien Meslage, Avec la complicité de Delphine Savel, Vidéaste : Selim Tigrine Danseurs et danseuses : Mylène Ah Mouk, Maelys Alazard, Lila André-Gallis, Julie Durand, Eléonore Guiboud-Ribaud, Néa Joshua, Maelys Kaddour, Blaise Maurin-Gallet, Meije Pigeonnat, Bertille Roure, Héloïse Weiss et la participation au semestre 1 de Capucine Coudert, Mailys David et Alice Gangneux.  

Comédiens et comédiennes : Margaux Khatchadourian, Damien Requillart et Hugo Valentiny,

Création lumière : Lucien Valle Régie lumière et son : Lucie David, Clarisse Darbois, Claire Garreau et Jeanne Menière sous la direction de Noé Germani-Boyer Vidéastes : Isalyne Albert, Robinson Baudet, Emma Berna, Nina Bernard, Zineb Rjimati, Encadrantes : Karine Priot et Elodie Lefebvre

Prélude musical : cours M.A.O de la section Musique-études sous la direction de Jean-Michel Pirollet Musique : séquence de la bande-originale de film Vertigo d’Alfred Hitchcock par Bernard Hermann, 1958

Costumes : Nicolas Barry

Photographe : Ugo Mary de l’association Graines d’Images (IG : @mary.aspect)

20h30 – Durée : 45 minutes.
Je réserve en ligne : https://www.helloasso.com/associations/art-scene/evenements/vertiges-spectacle-danse-etudes
Évènement ouvert à tous les publics et gratuit  

En partenariat avec : Compagnie Ensemble Facture. Projet soutenu par la DRAC

25 mar
Du 25/03/2024
au 29/03/2024

Art & Culture

Nos corps et nos espaces - Spectacle de danse

La section danse-études vous présente l'un de ses deux projets chorégraphiques annuels : "Nos corps et nos espaces", sous la direction de Natacha Paquignon – Cie Corps Au Bord

Qu'est-ce qui rend un espace accueillant ou oppressant ? Comment se répondent nos corps et les lieux ? À quel moment la relation devient-elle conflictuelle ? Pouvons-nous transformer notre perception de l'environnement, entrer dans un rapport de continuité avec les espaces et les occuper autrement ? Cette pièce est une proposition où la danse entre en résonance avec un environnement qui n'a pas été conçu pour elle. Les corps des danseurs et danseuses entament un dialogue avec les lieux qui évolue au fil de la rencontre avec différents espaces. En plus de leur présence physique, ils et elles habitent certains espaces dans une dimension invisible. Leurs corps virtuels augmentent les lieux réels. Les scènes de réalité augmentée seront accessibles via l'application Reveality, téléchargeable sur place ou ici : https://reveality.io/fr/

Crédits : Chorégraphe : Natacha Paquignon | Compagnie Corps Au Bord, Assistante chorégraphique : Laure-Anne Deltort, Regard extérieur : Delphine Savel, Musique : Valentin Durif, Vignettes de réalité augmentée : Selim Tigrine (vidéaste) et Maxime Touroute (ingénieur et artiste numérique | Reveality), Costumière : Nadine Chabannier

Danseurs et danseuses : Elise Auger, Camille Bar, Clémence Chaffanjon, Marine Charvat, Axelle Cherrier-Boiron, Célia Compère, Ninon Desclaux, Amélie Fort, Juliane Fraisse, Adèle Hamelin, Sterenn Le Roux d'Orvenn, Mohamed-Youssef Malki, Louise Marc, Thibaud Mathieu, Bianca Muccini

Création et régie son et lumière / Tecks : Mathis Arbez, Alice Cador, Arys Sahler et Mattéo Thenoz sous la direction de Noé Germani-Boyer

Photographe : Ugo Mary de l’association Graines d’Images (IG : @mary.aspect) –

Sessions à 19h15 et 20h – Durée : 25 minutes
Je réserve en ligne 
: https://www.helloasso.com/associations/art-scene/evenements/nos-corps-et-nos-espaces-spectacle-danse-etudes
Jauge limitée - réservation obligatoire – Évènement ouvert à tous les publics et gratuit  

En partenariat avec : Compagnie Corps Au Bord.

21 fév
Du 21/02/2024
au 23/02/2024

Art & Culture

RAGDA au cœur des légendes (spectacle de danse)

RAGDA au cœur des légendes est une soirée enchanteresse, où chaque mouvement narre des légendes qui ont façonné l’humanité.

Mythes et légendes prennent vie à travers la magie de la danse lors d’une soirée où l'art transcende les frontières du réel. Ce spectacle transporte dans un monde où la danse devient la toile vivante des mythes éternels. Fruit d'une collaboration avec Slide, le Club Rock et la Semaine Asiatique, la soirée est aussi accompagnée par les comédiens de la TTI en fil rouge. 

Mercredi 21, Jeudi 22 et Vendredi 23 février 2024 à 20h30

En partenariat avec : Slide, Semaine Asiatique, Club Rock, TTI, Graines d'Images, La Mouette, Bob'INSA, CGR La Rotonde

Évènement ouvert à tous les publics sur réservation via leur compte Facebook ou Instagram => https://www.facebook.com/ragda.asso.insa - https://www.instagram.com/ragdainsa/
05 fév
Du 05/02/2024 20:30
au 06/02/2024 20:30

Art & Culture

Le jour où Nina Simone a cessé de chanter (spectacle de danse)

L’Art-Scène propose une adaptation dansée de la pièce de théâtre Le jour où Nina Simone a cessé de chanter. Une ode à la musique et à la soif de liberté d’une femme face aux injonctions et aux injustices.

C'est l'histoire de Noun, fille d'un écrivain et journaliste qui lui a toujours appris à se battre pour sa liberté. A la mort de son père, malgré la guerre civile qui ronge le Liban, le carcan de la religion, et la société masculine qui l'empêche de s'exprimer, Noun souhaite faire respecter la dernière volonté de son père : être enterré sur un air de Jazz.

En partenariat avec : Vie Associative, INSA Lyon, Art-Scène, CGR La Rotonde

 

 

01 fév
Du 01/02/2024
au 13/02/2024

Art & Culture

Rencontre des Arts

Une exposition commune de Graines d'Images, La Mouette et Ragda

Ramenons l’art dans le bien commun.

La musique accompagne l’improvisation des danseurs RAGDA afin de donner une seconde vie à des décors urbains et d’un style nouveau..

Suivi de près par les photographes de Graines d’Images et vidéastes de La Mouette, c’est ici un ensemble artistique complet.

Rencontre entre danse, photographie et vidéographie : Rencontre des arts.

10 nov
10/11/2022 20:00

Art & Culture

Création chorégraphique de Lēnablou : « Le sacre du sucre »

« Insularité » et « pluriversalité », un pas de danse à la rencontre de l’autre.

Lēnablou est docteure en anthropologie de la danse, danseuse, chorégraphe et pédagogue autour de la Techni'Ka et de l'esthétique du Bigidi issues du Gwoka.

« Le sucre » est l’estampille d’une expérience unique dans l’histoire de l’humanité, celle de la colonisation où les corps ont été au bout de leur déshumanisation. Lēnablou, héritière de cette histoire nous embarque dans cette étincelle sensible de la création humaine qui est l’art du fap-fap, de l’inattendu, de l’improbable, de la rupture, de l’imprévisible…
En somme une esthétique de l’harmonie du désordre !

Porté par la section Danse-études du Centre des Humanités de l'INSA Lyon, l’Art de la Scène et Lafabri'K - Laboratoire des danses et expressions artistiques (Guadeloupe), avec les étudiantes associées : Lou Vereertbrugghen (Génie énergétique et environnement, 5e année), Jeanne Dupas et Pauline Lavainne (Biosciences, 5e année), ce projet est conçu en partenariat avec le département de notation du mouvement du CNSMD Paris et soutenu par la Maison de la Danse, le Centre national de la danse et la DRAC Auvergne Rhône-Alpes.  

 

A voir aussi : 
Conférence : Le geste chaotique du corps dansant : expression d'une nouvelle pluriversalité.

Mardi 8 novembre - 12h30 - Rotonde des Humanités, Campus LyonTech-La Doua – Villeurbanne
Entrée Libre – ouverte à tous

Informations complémentaires

  • Rotonde des Humanités, Campus LyonTech-La Doua – Villeurbanne

08 nov
08/11/2022 12:30

Art & Culture

Conférence : Le geste chaotique du corps dansant : expression d'une nouvelle pluriversalité.

« Insularité » et « pluriversalité », un pas de danse à la rencontre de l’autre.

Lēnablou est docteure en anthropologie de la danse, danseuse, chorégraphe et pédagogue autour de la Techni'Ka et de l'esthétique du Bigidi issues du Gwoka

La danse Gwoka de la Guadeloupe met en exergue un corps dansant à la dérive, instable qui risque à tout moment la chute sans jamais tomber. C’est le geste Bigidi ! Une question s’impose : quel est le signifié et le signifiant du désordre corporel ? Le philosophe Bernard Piettre nous donne un premier élément de réponse : « Le désordre du monde visible et sensible cache un ordre intelligible, visible à la seule intelligence ».
« Ma communication est un cheminement à travers l’expérience humaine, historique, culturelle, sociale… qui permet d’appréhender le Bigidi et d’approcher la création des sociétés caribéennes ».
Lēnablou

 

A voir aussi : 
Première de la nouvelle création chorégraphique de Lēnablou « Le sacre du sucre »
Jeudi 10 novembre - 20h - Rotonde des Humanités, Campus LyonTech-La Doua – Villeurbanne
Entrée Libre – ouverte à tous

Informations complémentaires

  • Rotonde des Humanités, Campus LyonTech-La Doua – Villeurbanne

19 oct
19/oct/2022

Formation

« Le bigidi, c’est faire corps avec le déséquilibre permanent sans jamais tomber »

Les prémisses de la relation entre Lēnablou et la section danse-études avaient débuté dès 2015. En avril dernier, des élèves-ingénieurs danseurs ont été accueillis en Guadeloupe pour découvrir un travail inédit : la théorisation d’une danse traditionnelle insulaire. Développée par Lēnablou, chorégraphe et anthropologue de la danse, « la Techni’ka » résulte d’un long processus d’analyse d’une culture qui se transmettait jusqu’alors par l’oralité. Accompagnés sur l’île par « Lafabri'k », un laboratoire des danses et expressions artistiques, les 32 étudiants de l’INSA Lyon ont ainsi découvert « l’art de vaciller sans tomber ». 
 
Après ce premier temps d’échange au printemps, c’est à la section danse-études et à l’association l’Art de la Scène de recevoir la danseuse sur le campus en novembre prochain. À l’occasion du lancement de la seconde partie du projet, Marine Plaza (5GEN), Lisa Biche (5GM) et Julien Poletti (4GM), se sont prêtés au jeu de l’interview croisée pour raconter cette expérience sensorielle qui les a poussés à expérimenter le déséquilibre permanent. 

En avril dernier, vous vous êtes rendus en Guadeloupe pour découvrir « la Techni’ka », une technique développée à partir du Gwoka, une danse traditionnelle. Comment peut-on résumer le travail de Lēnablou ?

Julien : Les danses populaires s’opposent aux danses savantes, celles qu’il faut apprendre à partir d’une théorie comme la danse classique par exemple. Le Gwoka fait partie de la première catégorie : c’est une danse qui tire ses origines dans l’histoire de l’esclavage, née dans les plantations. De cette culture, Lēnablou a théorisé ces mouvements qui ont coutume d’être transmis uniquement à l’oral. C’était la première fois que les pas étaient étudiés en vue d’être écrits. La Techni’ka est le nom de cette théorie.

Lisa : Autour de la Techni’ka, il y a une philosophie, appelée « le Bigidi », un mot créole qui signifie « chanceler » ou « vaciller ». C’est l’idée de faire corps avec le déséquilibre permanent sans jamais tomber. Dans cet esprit, les mouvements du Gwoka ont été étudiés pour être réappropriés. Pour comprendre les gestes et la tonalité, il faut comprendre la culture guadeloupéenne. D’ailleurs pendant notre séjour, les masterclass que nous suivions étaient complétées par des rencontres avec des gens de l’île, ce qui nous a permis de relier les mouvements de la Techni’ka et du Gwoka qui sont très liés à l’histoire de la Guadeloupe.

Comment pourriez-vous décrire les mouvements du Gwoka ?

Marine : Il y a dans le Gwoka, des positionnements de pieds totalement inédits, presque étranges et inhabituels pour le corps. Ces positions recherchent le déséquilibre et le chancellement, le fameux état du « Bigidi ». C’est une danse que l’on fait résonner à l’écoute d’une percussion et qui se danse pendant des soirées Léwoz, des fêtes locales où danseurs, chanteurs et tambouriers s’unissent. Nous avons eu la chance d’en vivre une et c’était très impressionnant. Les danseurs se mettent en mouvement plus par nécessité que par envie de danser, comme un besoin viscéral de faire corps avec la musique. 

 

 

À titre individuel, que retenez-vous de cette rencontre inédite ? 

Julien : En me rendant en Guadeloupe, je m’attendais à apprendre les bases d’une danse mais j’ai retenu une chose essentielle de l’enseignement de Lēna et du Bigidi qui me resteront longtemps : être fort, c’est savoir tomber et toujours s’adapter. 

Marine : La méthode d’apprentissage de la Techni’ka est très rigoureuse et Lēna est une femme ferme qui a cherché à nous pousser dans nos retranchements. J’ai compris en dansant : parfois, il faut pouvoir « sentir » avec le corps plus que de « comprendre » avec la tête.

Lisa : À travers les bases de la Techni’ka, nous avons aussi découvert l’histoire de la Guadeloupe, et c’est ce côté qui m’a profondément touchée. C’est ce que je retiens surtout de cette expérience : la morale du Bigidi. Le déséquilibre fait partie du jeu, mais il faut se relever : après une épreuve, on se doit d’aller de l’avant.

 

 
Avril 2022

 

Le travail qui vous a été donné d’expérimenter s’apparente à un véritable travail de recherche du mouvement. En tant que futurs ingénieurs, y avez-vous vu des liens avec la science ?

Julien : Elle a fait un travail analogue à celle d’un chercheur en science ; elle a d’ailleurs même écrit une thèse sur le sujet. En allant à la rencontre des gens et en observant l’existant, le Gwoka, elle a formalisé la Techni’ka : c’est comme faire des expériences pour valider ou invalider une hypothèse scientifique. 

Marine : Dans notre futur métier, il y a la théorie : la corde intellectuelle que l’on tresse à l’école. Avec le Gwoka, j’ai compris cela : toucher d’abord la sensibilité permet parfois de mieux la comprendre théoriquement. Pour être des ingénieurs mobilisés, il nous faudra prendre conscience de l’importance de la corde sensible. 

Lisa : En tant qu’ingénieurs, nous allons agir dans un monde pour des gens. On peut le faire grâce à notre formation, mais si on veut des impacts réels, il faut être capable de comprendre les besoins de ces personnes. Je ressors de cette expérience plus nourrie en tant que future-ingénieure, car je crois que c’est important de savoir pourquoi on fait les choses. 

 

Une première rencontre, en 2015, entre Lēnablou, danseuse-chorégraphe, aujourd’hui Docteure en anthropologie de la danse et Delphine Savel, enseignante spécialiste Danse, responsable de la filière Danse-études à l’INSA Lyon, a conduit à une nouvelle collaboration avec un groupe de 32 étudiants. Un projet artistique, associatif et pédagogique est né pour aller à la rencontre des passeurs de tradition : « Insularité et pluriversalité, un pas de danse à la rencontre de l’autre ». Projet en partenariat direct avec le Conservatoire de Musique et de Danse de Paris et du département de notation du mouvement.

 

L'INSA Lyon accueillera au sein du Campus Lyon Tech la Doua - Villeurbanne : Lēnablou, docteure en anthropologie de la danse, danseuse, chorégraphe et pédagogue, les 8 et 10 novembre 2022, autour de la Techni'ka et du Bigidi, issus du Gwoka. Avec le soutien de la Maison de la Danse, le Centre national de la danse et la DRAC Rhône-Alpes. 

Conférence de Lēnablou sur la culture guadeloupéenne :
« Le geste chaotique du corps dansant : expression d’une nouvelle pluriversalité »

Le 8 novembre à 12h30 - Rotonde - Campus INSA Lyon - Entrée libre.
Représentation par la Compagnie Trilogie Lēnablou :
« Le sacre du sucre »

Le 10 novembre à 20h00 -  Rotonde - Campus INSA Lyon - Entrée libre.

Une campagne de financement participatif pour accompagner le deuxième volet du projet a été lancée par l’association étudiante l’Art de la Scène : https://lacooperative.groupe-insa.fr/en/projects/projet-gwada
 

Mots clés

16 mai
16/05/2022 19:00

Art & Culture

Passeurs d'arts, un autre regard

************* En quoi et comment des parcours « Arts, Sciences et Ingénierie » sous-tendent-ils l’émergence de carrières d'exception, comme ingénieur, comme chercheur ou comme artiste ? ************

Parcours artistiques, parcours de vie pour découvrir ou redécouvrir le modèle INSA avec en son cœur les sections Arts-études. Entre formation et culture, elles permettent le développement artistique et culturel, personnel et professionnel des élèves-ingénieurs, par la réalisation de projets artistiques au contact de professionnels du spectacle vivant.
Une invitation à venir explorer ce terreau fertile, ce terrain d'expérimentation à la frontière des sciences, de la technique et des arts.

À travers des courts-métrages "portraits dansés” réalisés par les étudiants de cinéma-études, danse-études et lumière et son et de tables rondes pour penser l’ingénieur humaniste artiste.

En présence de personnalités du monde de la culture, notamment de structures partenaires : Maison de la Danse, CND..., de chercheurs, d’entrepreneurs, d'artistes et de diplômés INSA aux parcours exceptionnels à la frontière des arts, des sciences et de l’ingénierie.

Gratuit - réservation conseillée => https://bit.ly/passeurs_arts

Informations complémentaires

  • La Rotonde - Campus LyonTech La Doua - 20 avenue des arts - 69100 Villeurbanne

05 avr
05/04/2022 18:30

Art & Culture

Vernissage des expositions "Nous" et "Corpus Campus"

Pour fêter ses 30 ans, la section Danse-études propose deux expositions "dans" et "hors-les-murs"

Corpus Campus
Dialogue monumental entre deux chorégraphes

Sous la forme d'une déambulation, cette exposition met lumière les danseurs, leurs mouvements et notre campus. "Corpus Campus" propose ainsi un dialogue entre Danse et Architecture en transformant les usagers en spectateur le temps d’une exposition temporaire.

Ce dialogue monumental honore le travail artistique de deux chorégraphes, Julie Desprairies et Blandine Martel Basile, à travers les photos de leurs projets chorégraphiques au sein de la section Danse-études. 

➡️ En savoir+

 

Nous
Portraits dansés des étudiants des sections Danse-études et Théâtre-études

Nous” est une exposition dédiée aux élèves qui ont fait le choix de s’investir dans une pratique artistique parallèlement à leur cursus d’ingénieur.
Sous l'œil bienveillant des photographes en section Art-plastiques-études, cette exposition rassemble des portraits en mouvements d’élèves-ingénieurs-artistes. Elle laisse entrevoir la porosité des échanges dans la création artistique entre danseurs, comédiens et photographes.

➡️ En savoir+

Informations complémentaires

  • Bibliothèque Marie Curie - 31 avenue Jean Capelle 69621 Villeurbanne.

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