Danse

28 sep
Du 28/09/2020
au 03/10/2020

Art & Culture

Spectacles des sections Danse et Théâtre-études de l'INSA Lyon

Une semaine de spectacles proposée par les sections Danse et Théâtre-études de l'INSA Lyon.

L'ensemble des danseurs et danseuses, comédiens et comédiennes, techniciens et techniciennes, metteurs et metteuses en scène sont de retour et sont prêts à vous faire découvrir les résultats d'une année de travail au sein de leur section.

Protocole sanitaire / consignes à respecter : 

  • Port du masque obligatoire pendant toute la durée du spectacle.
  • Sens de circulation à respecter scrupuleusement.
  • Spectateurs espacés d'un siège.
  • Réservation en ligne obligatoire.

Tous les spectacles commenceront à 20h30 et les portes ouvriront vers 20h10.

Labyrinthe Vertical par la section Danse-études

Cabaret Macabre par les petits Théâtre-études

Cercles / Fictions par les grands Théâtre-études

21 avr
21/avr/2020

Vie de campus

Chroniques Culturelles INSA : let’s Dance

Let’s Dance est aujourd’hui comme un irrésistible appel du corps à se mettre en mouvement, à sortir de son propre confinement.

Let’s Dance est aussi le titre d’une chanson tirée de l’album éponyme (le 15e) de David Bowie, tout juste sorti en 1983. Ses paroles évoquent une jeune fille possédée par la danse. Inspiré du conte Les Chaussons rouges d'Andersen, l’histoire de cette danseuse frénétique n’est pas sans rappeler une autre histoire de virus et de danse mise en récit par Jean Teulé Entrez dans la danse* et adapté en BD la même année (2018) par Richard Guérineau.

Let’s Dance est enfin un air qui enivre et entête et nous rappelle que depuis sa création l’INSA est une terre de danse, tradition du modèle humaniste de l’ingénieur.e libre et résilient.e.

Chaque année, la danse est au cœur de la vie des insaliens. À la Rotonde, avec les étudiants de la section Danse-Études , au Théâtre Astrée durant le festival Chaos Danse et le festival des Arthémiades avec l’association sportive de danse InciDanse, à l’Institut Lumière pour les 10 ans de la Fondation INSA ou à la prestigieuse Salle 3000, pour la Cérémonie de Remise des Diplômes, la danse est partout.

Elle nous entraîne des plus grandes salles de spectacle aux chroniques culturelles et nous propose dans cet épisode une traversée de soi vers les autres.

  • Danser, « se mouvoir et s’émouvoir pour émouvoir » 
  • Portraits de jeunes danseuses et danseurs investis à l’INSA
  • Farandole, récit d’une histoire de métissage
  • Carte blanche à Natacha Paquignon, chorégraphe
  • Danser sa peine avec Angelin Preljocaj, chorégraphe du Pavillon Noir à Aix en Provence : documentaire disponible jusqu’au 24 avril 
     
  • Découvrir la suite : 
    Chroniques Culturelles INSA #4 : let’s Dance

     
Let’s Dance est également un film de 2019 autour de la rencontre entre la danse hip hop et la danse classique réalisé par Ladislas Chollat actuellement disponible sur Canal+.
*Entrez dans la danse, roman de Jean Teulé, édition Julliard, adapté en BD par Richard Guérineau, édition Delcourt : une étrange épidémie a eu lieu dernièrement et s’est répandue dans Strasbourg de telle sorte que, dans leur folie, beaucoup se mirent à danser, pendant deux mois, sans interruption, jusqu’à tomber inconscients. Beaucoup sont morts.


 

 

Mots clés

03 fév
Du 03/02/2020
au 06/02/2020

Art & Culture

Semaine des Arts et Impros Cirkulaires

Scène ouverte à tout type de spectacle vivant, la Semaine des Arts permet à des artistes de tous les horizons de représenter leurs créations sur la scène de La Rotonde.

Comme chaque année, l'Art-Scène organise une semaine de représentations balayant plusieurs arts, avec le dernier soir consacré aux Impros Cirkulaires ! 

Au programme:

  • Du 3/02 au 5/02 :
    • Temps partagés (musique) (lundi 3/02 et mardi 4/02)
    • Cirque
    • Life (théâtre)
    • Scénettes de théâtre 
    • Infime (danse)
    • Courts métrages
  • Le 6/02 : Impros Cirkulaires
     

Informations complémentaires

  • Rotonde INSA Lyon - Villeurbanne

Mots clés

10 déc
Du 10/12/2019
au 11/12/2019

Sciences & Société

CADANSE

Une création chorégraphique, des professionnels, des étudiants

Cade/anse : formule mélodique et harmonique qui ponc- tue un morceau musical ; phrase chorégraphique ou rencontre entre danseurs de la Compagnie Calabash et danseurs de l’INSA ?
A vous de nous le dire ! Rendez-vous à ne pas manquer sur le parquet de la Rotonde…

« No Solo », chorégraphie de Wayne Barbaste, avec Sarah Perret Vignau, danseuse de la Compagnie Calabash. Présentation et sortie de résidence, ateliers et création chorégraphique avec les étudiants et danseurs du jeune ballet.

Direction chorégraphique : Wayne Barbaste, Compagnie Calabash ; sur une proposition de Delphine Guigue, danseuse chez Calabash et étudiante en Danse-études à l’INSA, et de Delphine Savel, responsable de la section Danse-études et de l’AS Danse de l’INSA.
 

Informations complémentaires

  • Campus LyonTech - La Doua - La Rotonde - 14 avenue des arts - Villeurbanne

Mots clés

28 mai
Du 28/05/2019
au 29/05/2019

Art & Culture

Spectacle Incidanse - "Expérience esthétique en mouvement"

Le collectif Incidanse vous propose de venir vous immerger dans  une “expérience esthétique en mouvement” lors de sa nouvelle création chorégraphique . 

L’expérience esthétique c’est faire l’expérience de ses sensations, de ses émotions. C’est être en présence avec elles, de  les partager et de les donner à voir, à percevoir… à ressentir.
Se libérer des masques qui nous constituent, qui nous font tenir debout pour libérer notre singularité, notre authenticité, notre être vrai.
Quand nous dansons, nous ne trichons pas, nous ne jouons pas, nous sommes présents au monde !

⏰ => 19h19 - Entrée libre

Informations complémentaires

Mots clés

16 mai
16/mai/2019

Vie de campus

À la confluence de l’art et de la science

Jeune franco-malgache récemment diplômé INSA, Laurent Lille n’a jamais voulu choisir entre ses études et sa passion pour la danse. Rencontre avec cet ingénieur-danseur.

La danse, une échappatoire
Depuis le plus jeune âge, je côtoyais le monde de la danse underground urbaine à Madagascar. J’ai rencontré des danseurs qui dansaient sans miroir, parfois dans des endroits incongrus, de manière très intuitive et naturelle. À cette époque, j’étais novice en danse. C’est en pratiquant aux côtés de ces danseurs de rue que j’ai compris que la danse était un moyen de me révéler. Il n’était pas question que j’arrête la danse une fois mes études supérieures commencées. Le modèle INSA me permettait de poursuivre ma passion. En effet, je pouvais choisir d’intégrer la section spécialisée ou des associations étudiantes de danse tout en effectuant mes études d’ingénieur. C’était le combo parfait !

La mécanique à l’INSA
Après mes deux premières années d’études en filière Asinsa, j’ai choisi le département Génie Mécanique (GM) car pour moi c’est celui où la volonté d’innover et d’aller voir plus loin était la plus développée. La danse est pour moi un art qui permet de se confronter à ses limites. GM nous pousse à aller plus loin. Je trouve des similitudes entre les deux approches, particulièrement tournées vers le dépassement de soi. Avec mes camarades, nous avons eu l’opportunité de travailler sur des projets alliant la mécanique et l’artistique. Nous avons notamment conçu un plafond modulable composé de miroirs ressemblant à un origami grandeur nature pour un spectacle, à la confluence de l’art et de la science, où des robots dansaient dessous. 
J’ai persévéré dans les deux domaines, pour être toujours plus performant sans jamais faire le choix de l’un au détriment de l’autre. La mécanique est partout, dans nos mouvements aussi, et c’est en l’étudiant que j’ai commencé à remettre en question ma façon de danser. J’ai eu une excellente expérience au sein de l’association de danse RAGDA mais je restais en quête de davantage de challenge dans la danse. J’ai donc créé de fil en aiguille, avec un groupe de copains, un crew que l’on a appelé INSANITY, en l’honneur d’une chorégraphie qui portait ce nom.

Vivre avec deux passions
Quand j’ai terminé l’INSA je suis parti en Corée du Sud pour approfondir le management en intégrant un mastère spécialisé. À mon retour en France un an plus tard, j’ai décroché un travail chez Assystem, une entreprise de conseil en ingénierie, où je mène à bien des projets sur du long terme. En ce moment, j’effectue une mission pour une entreprise d’équipementier automobile qui fait essentiellement des directions assistées. Je suis en lien avec la recherche et le développement en analyse, matériaux, technique et suivi de projet : c’est très intéressant. Je suis très investi dans mon travail et je trouve du temps pour danser car ça fait partie de mon équilibre. Je suis d’ailleurs toujours leader d’INSANITY et nous participons à des concours professionnels ou semi-pro.

Mon conseil aux insaliens
Il ne faut pas essayer de se surpasser que dans un seul domaine. Mes années à l’INSA m’ont appris que la persévérance était la clé de la réussite. On ne doit se fermer aucune porte ni se fermer aux autres. Il faut chercher l’unité dans la diversité tout en essayant de voir au-delà des frontières et sortir la tête du guidon !

INSANITY Dance Crew est un groupe de danse composé pour l’essentiel d’étudiants ou de diplômés INSA. Les danseurs puisent leur inspiration dans divers styles et arts. Par l'expression du corps, ils cherchent en permanence à repousser les limites et à apporter quelque chose de nouveau, quelque chose qui les définit, quelque chose qui fait évoluer l'art et la culture, quelque chose qui pousse les gens à aller de l'avant. 
Au nombre de 13 pour l’année 2019, ils exercent différents types de danse : moderne, hip-hop, breakdance, mais aussi waacking, lyrical ou Krump tout en s'inspirant également de disciplines sportives et artistiques annexes comme de la gymnastique, des arts martiaux, des arts du cirque etc.
Récemment INSANITY Dance Crew a remporté la médaille d'argent au concours Free to Dance en catégorie adultes. Ce concours est ouvert aux compagnies professionnelles, semi-professionnelles et aux académies de danse spécialisées.

 

Pour aller plus loin sur le sujet : 
Podcasts « Les cœurs audacieux » -  Saison 1 / Épisode 5 - 10 juin 2021
 

Mots clés

02 mai
Du 02/05/2019
au 16/05/2019

Art & Culture

ON THE STAGE Exposition Photographies de Garance LI

Artiste associée de la Section Danse études, avec la chorégraphe Blandine Martel Basile.

Garance Li a accompagné pendant deux années les étudiants de la section danse-études dans leur travail de recherche et d’expérimentation chorégraphique. Le projet de création intègre image et danse, sur scène comme dans la photographie.

Le danseur et le spectateur sont à l’intérieur et à l’extérieur. L’image se démultiplie, depuis la focale de la scène, depuis celle de la photographe. Le spectateur sort de l'espace scénique et découvre un nouveau point de vue.

Dans la galerie comme sur scène, le spectateur découvre du live mais aussi le récit du processus de création en lui-même. L’exposition On the stage et le spectacle "Sens dessus dessous" se répondent, nous répondent.

Vernissage jeudi 2 mai 2019 à 18h00
Du lundi au vendredi 9h-17h30 - Hall des Humanités
Ouverture exceptionnelle de 18h à 20h, les 7, 9 et 10 mai 2019 en préambule des représentations de "Sens dessus dessous"

Informations complémentaires

02 mai
02/05/2019 18:00

Art & Culture

Vernissage ON THE STAGE Exposition Photographies de Garance LI

Artiste associée de la Section Danse études, avec la chorégraphe Blandine Martel Basile.

Garance Li a accompagné pendant deux années les étudiants de la section danse-études dans leur travail de recherche et d’expérimentation chorégraphique. Le projet de création intègre image et danse, sur scène comme dans la photographie.

Le danseur et le spectateur sont à l’intérieur et à l’extérieur. L’image se démultiplie, depuis la focale de la scène, depuis celle de la photographe. Le spectateur sort de l'espace scénique et découvre un nouveau point de vue.

Dans la galerie comme sur scène, le spectateur découvre du live mais aussi le récit du processus de création en lui-même. L’exposition On the stage et le spectacle "Sens dessus dessous" se répondent, nous répondent.

Exposition du 2 au 16 mai 2019 - du lundi au vendredi 9h-17h30 - Hall des Humanités
Ouverture exceptionnelle de 18h à 20h, les 7, 9 et 10 mai 2019 en préambule des représentations de "Sens dessus dessous"
07 mai
07/05 - 09 et 10/05

Art & Culture

Spectacle de danse « Sens dessus dessous »

Spectacle de la section danse-études de l’INSA Lyon

Spectacle de danse intitulé « Sens dessus dessous » sous la direction de Blandine Martel Basile (Cie Désoblique), Maxime Freixas et Francesco Colaleo (Cie MF), Fabrice Guillot (Cie Retouramont) ainsi que Delphine Savel et Gaïa Merigot (assistants et regards chorégraphiques). 

« Sens dessus dessous » propose d’incliner vos têtes, de renverser l’image, de vous laisser porter ailleurs. Avec légèreté les danseurs questionnent leurs postures, leurs à priori, vos idées reçues. Regardons les sous d’autres perspectives pour les voir intérieurement se mouvoir, s’ébranler, incliner leur équilibre à la frontière du renversement. Complices, avec poésie et sans beaucoup de sérieux, ils se jouent de vos perceptions...

Spectacle couplé avec l'exposition ON THE STAGE Exposition Photographies de Garance LI.

Prix libre - 20h30

crédits : INSA Lyon - LI Garance

 

Informations complémentaires

11 avr
11/avr/2018

Formation

Benoit Renault : un parcours INSA sans concession

Filière internationale, vie associative, cycle d’ingénieur et section artistique… Benoit Renault, étudiant en 5e année du département Informatique, nous parle de son ambition et de ses valeurs. Cet étudiant enjoué, déterminé et engagé, revient sur son parcours, qu’il a mené sans concession à l’INSA Lyon. Interview d’un homme passionné.

Pouvez-vous nous raconter votre parcours avant l’INSA Lyon ?
J’ai fait un cursus relativement standard. Comme d’autres, j’ai intégré les classes européennes dès le collège. J’ai eu la chance de rencontrer des professeurs formidables pendant ma scolarité, qui m’ont beaucoup apporté, et je leur en suis très reconnaissant. Globalement, j’ai toujours eu des bonnes notes, et les sciences comme les arts m’ont toujours intéressé. Je me suis mis au chinois en dehors des cours sur un coup de tête en cinquième, et le courant est si bien passé que j’ai continué. 

Après ce parcours sans embûches, comment avez-vous vécu vos premières années à l’INSA Lyon ?
Dans l’idée de poursuivre le chinois, et peut-être une carrière à l’international, je me suis inscrit en ASINSA, la filière asiatique de l’INSA. Cela m’a non seulement permis de ne pas perdre mes bases, mais aussi de rencontrer bon nombre d’amis chinois. 
Dès mon second semestre en première année à l’INSA, j’ai rejoint le Clubelek, l’association de mécatronique. Avec 130 associations très actives, l’INSA a de quoi
être fier ! Après avoir pris mes marques, les membres du club m’ont confié la présidence du club pour ma 4e année en informatique, après quoi, ils l’ont renouvelée pour une vice-présidence l’année suivante, pour assurer une bonne passation après le mouvement que j’y ai induit. Je conseille à tous les étudiants de ne surtout pas hésiter à se lancer dans la vie associative, mais aussi de prendre le temps de connaître leur rythme avant de s’y investir.
C’est en fin de première année que je découvre la danse avec Delphine Savel, la responsable de la filière Danse-Études. Delphine, son humanité et sa force de caractère extraordinaire, m’ont poussé à intégrer cette filière en 2e année. Avec 2h de cours technique par semaine, 3h de projet, 2h de cours d’histoire de la danse et les 4 à 5 weekend dans l’année à hauteur de 10/15h, cela a été un fort engagement, récompensé par le tout nouveau diplôme art-études, dont j'ai été moi-même l'un des premiers diplômés. Il est bon de voir que notre école reconnaît notre travail et notre investissement.

Comment avez-vous réussi à concilier toutes vos activités ?
C’est difficile d’avoir du temps pour tout faire mais on finit toujours par en trouver. Pour moi, la première mission de l’étudiant est de s’épanouir, et pour cela, il doit impérativement en trouver le temps. Cependant, il n’est pas seul, et l’école doit l’aider à le trouver. J’ai obtenu quelques dispenses ponctuelles quand elles étaient nécessaires, je sais que certains de mes collègues ont pu bénéficier d’aménagements beaucoup plus conséquents et indispensables dans leur cursus. L’INSA s’est beaucoup construit sur les initiatives étudiantes, la vie associative et les filières artistiques comme internationales. Il faut soutenir les jeunes qui s’engagent et leur faciliter l’adaptation. Multiplier les activités ne m’a jamais empêché de garder des notes correctes et de partir à l’étranger. J’ai même pu créer des projets personnels en les mêlant avec mon cursus, comme la confection de mon costume lumineux, Ying (萤), qui veut dire luciole en chinois. D’abord, je l’ai fait en totale autonomie car c’était une idée que j’avais eu comme ça, et la version a déjà évolué 3 fois au gré de mes projets et rencontres.

Qu’avez-vous appris de ces expériences multiples ?
Elles ont renforcé l’importance d’autrui à mes yeux : sans les autres, je ne suis pas grand-chose, et tout ce que j’ai accompli, je n’aurais pu le faire seul. Pour le costume, par exemple, quelques membres du club sont venus m’aider pour les derniers jours de rush, et sans eux, je n’aurais jamais fini mon costume à temps ! Pour l’INSA, je n’aurais jamais tenu sans le soutien de ma famille et mes amis. Des exemples comme cela, j’en ai à la pelle ! Chaque personne importe, et il convient de traiter soi-même et autrui avec la plus grande honnêteté et bienveillance. Cela prend du temps, parfois des nuits bien courtes mais ça en vaut tellement la peine !
Enfin, ces expériences m’ont poussé à m’interroger, à me remettre en cause, et trouver de nouvelles réponses. Elles m’ont appris qu’il est normal, à tout moment, de s’interroger sur soi, ce que l’on veut faire plus tard, sur les autres, sur notre environnement... Et que c’est même le leitmotiv scientifique. Questionnons-nous !

 

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