La filière AmerINSA invite le dessinateur uruguayen, Gervasio Troche, dans le cadre de la 21e édition du festival de littératures latino-américaines « Belles Latinas »

Né à Buenos Aires en 1976, Gervasio Troche est un talentueux artiste qui a grandi en France et au Mexique avant de revenir en Uruguay où il vit actuellement. Il dessine dès son plus jeune âge et entame une formation dans un cours de bande dessinée ainsi qu’à l’École nationale des Beaux-Arts de Montevideo. En novembre, l'INSA propose une exposition de quelques unes de ses œuvres et invite les amateurs de dessin à un temps d’échange autour de son univers. Cette rencontre dessinée et interactive sera animée par lui même et Jean Martinez, coresponsable de la section espagnol.

MacSUP est un programme de recherche et de création en milieu universitaire. Des étudiants et des enseignants chercheurs participent au processus de création avec des artistes (pour cette 6e édition : Hélène Hulak et Mathilde Chénin) pendant plusieurs mois.

Place maintenant à la restitution de ce processus sous forme d’expériences ouvertes à tous le temps d'un week-end, dans tout le musée :

• Samedi 1 et dimanche 2 avril de 14h à 17h : le groupe d'Hélène Hulak vous propose de découvrir 6 manières de collectionner par le biais d'expériences (n'hésitez pas à ramener vos chaussettes orphelines !) tandis que le groupe de Mathilde Chénin vous invite à travers le projet Pour une permaculture des groupes à visiter le musée autrement en perturbant vos sens, créant ainsi du lien par l'expérience commune.
• Dimanche, découvrez également macSUP Planet ! L'artiste Romain Gandolphe et des étudiants de l’ENS qui ont participé à la session de macSUP Planet en 2022 (partenariat entre Lyon et Montréal) seront présents à 15h au musée pour partager leur expérience avec vous.

Seront présents une dizaine d’étudiants de l’INSA Lyon, venant des départements Biosciences, Génie civil et urbanisme, Télécoms et Fedora.

Dans le cadre des Journées arts et culture dans l’enseignement supérieur (JACES) 
 

Exposition des poèmes par l’artiste DAG

Comme depuis de nombreuses années, les enseignants du Centre des Humanités sont fidèles au Printemps des Poètes et proposent à leurs étudiants de faire preuve de créativité en langues étrangères, de faire place à leur imagination et leur donnant l’occasion cette année de s’interroger sur le thème des Frontières.

Les poèmes de nos étudiants seront la matière première de la création artistique réalisée par DAG dans la galerie des expositions du Centre des Humanités.

Les rues de Barcelone, Paris, Turin, Lyon ou ailleurs sont les terrains de jeu de l’artiste urbain DAG. Cet artiste s’empare des affiches placardées sur les murs des villes pour leur redonner une nouvelle vie et créer une œuvre unique. Il en révèle les couleurs, les mots, les regards pour figer la mémoire d’un lieu, d’une ambiance et d’une période racontée sur du papier, éphémère par nature.

Cédric Dagorn, de son nom d’artiste DAG, est un ancien étudiant INSA Lyon du département Génie mécanique conception, en section Sport de Haut Niveau, et diplômé d’un DEA en tribologie. Après son parcours INSA, DAG a travaillé pour le service scientifique de l’Ambassade de France à Barcelone, au laboratoire de tribologie de l’INSA Lyon, pour le développement des activités aéronautiques et spatiales à Toulouse ou encore en tant que conseiller de développement de la culture QHSE en entreprise, tout en ayant son activité de graphiste indépendant. Quelques années plus tard, il exploite pleinement sa créativité artistique et expose son art urbain dans les rues et les galeries.

Par le Collectif X

Nous sommes dans le quartier imaginaire de La Péruche. Dans le cadre de la réhabilitation du secteur de La Protection, il a été décidé d'abattre deux barres.

Les chargés de relogement du bailleur social rencontrent les habitants concernés, afin de leur proposer de nouveaux logements. L'une d'elle, Madame Correra, refuse les propositions qu'on lui fait, sans que ses raisons soient très claires.

Autour de l'obstination de Madame Correra se déploie un récit très large, qui mêle politiques et travailleurs sociaux, anciens et nouveaux habitants du quartier, destins heureux et vies brisées...

De 2017 à 2019, le Collectif X a été en résidence dans le quartier de La Duchère, à Lyon, pour accompagner par le théâtre le processus de relogement des habitants de barres promises à la démolition. En juin 2018, après un an pendant lequel nous avons proposé le projet VILLES#, nous avons décidé de changer nos outils.

Ce processus a donné L'affaire Correra, un feuilleton théâtral de fiction, que nous avons joué par épisodes, à mesure qu'il était écrit, dans tous les lieux de sociabilité du quartier, avant de le proposer en version longue en fin d'année.

L'affaire Correra déploie une histoire imaginaire nourrie de toute la matière que nous avions recueillie dans le quartier. Devenue une pièce de notre répertoire, elle garde trace de la manière singulière dont elle a été réalisée et reste découpée en épisodes.

Collectif X

Auteur : François Hien,
Mise en scène et interprétation : Jérôme Cochet, Clémentine Desgranges, Kathleen Dol, François Hien,
Scénographie : Charles Boinot et Jérôme Cochet
Création lumière : Benoit Bregeault et Charles Boinot
Régie lumière : Benoit Bregeault
Coordination : Julien Nini
Administration de production : Tiphaine Vézier et Maëlle Gagne
Diffusion : Nicolas Ligeon – cie Harmonie Communale
Production : Collectif X

Avec le soutien du CGET, de la Ville de Lyon, de Grand Lyon Habitat, de la Mission Duchère, du Centre Social de la Sauvegarde / Le Collectif X reçoit le soutien du Département de la Loire et de la Ville de Saint-Étienne

Johann Le Guillerm - Cie Cirque ici

Si ce que je vois me cache toujours quelque chose qui est derrière ce que je vois, quelle science peut affirmer fournir des clés sérieuses de compréhension du monde ? Et si on reprenait tout à 0 ? Dans sa conférence sur Le Pas Grand-Chose Johann Le Guillerm nous fait entrer de plain-pied dans quelque chose de son pas grand-chose ou comment recréer le monde à partir du point minimal ? Comment affirmer que le monde peut être réélaboré par soi-même pour ne pas le subir mais mieux l’éprouver, le penser, le vivre. Une utopie ? Sauf que quand Johann Le Guillerm dialogue avec le point, l’aventure prend des tours extrêmement inattendus. Accepter d’entrer dans les méandres de ce cerveau réfractaire nous fera perdre nos repères les plus élémentaires. Le déséquilibre menace, le tourbillon est permanent. La démonstration du conférencier semble implacable, ses expérimentations à vue très convaincantes. Mais derrière les apparences, jaillit une vision du monde qui met nos logiques en déroute. Car accepter de penser contre le monde, c’est abandonner nos a priori mais peut-être aussi nos à posteriori…

Distribution : 

• Conception, mise en scène et interprétation : Johann Le Guillerm
• Création lumière : Anne Dutoya
• Régie lumière : Flora Hecquet
• Régie vidéo : David Dubost
• Création Sonore : Alexandre Piques
• Vidéo graphiste : Christophe Rannou
• Costume : Anaïs Abel
• Fabrication et construction : Silvain Ohl
• Déco : Alexandra Boucan

Mise en scène par Antonella Amirante

Deux réprésentations sont programmées

• 14h-16h
  Suivie d'un bord de scène avec les comédiennes Eva Blanchard et Karin Martin-Prével de la Compagnie AnteprimA, et Abdul Rahman RASHO, enseignant-chercheur en psychologie clinique et psychocriminologie de l’Université Rennes 2.
• 19h-21h
  Suivie d'une rencontre avec Lau Nova, autrice de Ma chère fille salafiste – Radicalisée à 12 ans et Abdul Rahman RASHO, enseignant-chercheur en psychologie clinique et psychocriminologie de l’Université Rennes 2.

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10kg est un spectacle né d’une rencontre, d’une histoire vraie : Charlotte est l’aînée d’une joyeuse fratrie, une adolescente tout en promesses. Brillante à l’école, entourée de nombreux amis, investie dans le sport et les arts, elle évolue dans un environnement familial stable et aimant. Tout bascule lorsqu’en voulant conquérir le cœur d’un garçon, elle s’égare dans les méandres de ce qu’elle croit être sa religion. Malgré les efforts de sa famille pour maintenir le lien, elle va s’isoler dans une idéologie dogmatique qui la mènera, à peine majeure, à quitter les siens pour rejoindre une nouvelle communauté dans le cadre d’un mariage arrangé.

Sur scène, 10 kg de vêtements où le noir prend le pas sur la couleur.

D’après un texte de Lau Nova, l’autrice livre sans fard son expérience de mère et nous invite à dépasser nos modèles, nos perceptions, en partageant une part de cette histoire sur fond d’espoir et de bienveillance.

Tout public, à partir de 14 ans.
Accessible PMR.

Gratuit sur inscription

Enseignantes-chercheures en Sciences Humaines et Sociales à l’INSA, les auteurs de l'ouvrage "l'innovation au service de la société vous invitent à venir écouter et discuter avec elles du sens de l’innovation.

Devons-nous arrêter d’innover ? L'innovation peut-elle vraiment être utile pour la société ? Quelles questions se poser lorsqu’on innove ?

Le kiosque sera animé par Emmanuelle Vidal-Sallé, professeur des universités, en présence de :

▫️ Marianne Chouteau // Centre des Humanités, laboratoire S2HEP (université Lyon 1).
▫️ Joëlle Forest // Centre des Humanités, laboratoire S2HEP (université Lyon 1).
▫️ Céline Nguyen // Centre des Humanités, laboratoire S2HEP (université Lyon 1).

📚 Découvrez le livre des auteurs présents.

L'Harmonie de l'INSA sous la direction de François Rousselot, vous invite à son concert de Noël !

Ouverture musicale des portes à 20h, autour d'un vin chaud.

Concert solidaire : dons reversés aux Restos du Coeur (denrées alimentaires non périssables, produits d'entretien)

Réservations ici : https://www.helloasso.com/associations/harmonie-insa-lyon/evenements/concert-solidaire-de-l-harmonie-de-l-insa-1

De 18h à 20h, vous pourrez patienter en assistant à la Conférence de Didier Reymond, professeur au Conservatoire de Lyon, sur la respiration et la posture du musicien, en salle René Char.

« Insularité » et « pluriversalité », un pas de danse à la rencontre de l’autre.

Lēnablou est docteure en anthropologie de la danse, danseuse, chorégraphe et pédagogue autour de la Techni'Ka et de l'esthétique du Bigidi issues du Gwoka.

« Le sucre » est l’estampille d’une expérience unique dans l’histoire de l’humanité, celle de la colonisation où les corps ont été au bout de leur déshumanisation. Lēnablou, héritière de cette histoire nous embarque dans cette étincelle sensible de la création humaine qui est l’art du fap-fap, de l’inattendu, de l’improbable, de la rupture, de l’imprévisible…
En somme une esthétique de l’harmonie du désordre !

Porté par la section Danse-études du Centre des Humanités de l'INSA Lyon, l’Art de la Scène et Lafabri'K - Laboratoire des danses et expressions artistiques (Guadeloupe), avec les étudiantes associées : Lou Vereertbrugghen (Génie énergétique et environnement, 5e année), Jeanne Dupas et Pauline Lavainne (Biosciences, 5e année), ce projet est conçu en partenariat avec le département de notation du mouvement du CNSMD Paris et soutenu par la Maison de la Danse, le Centre national de la danse et la DRAC Auvergne Rhône-Alpes.  

« Insularité » et « pluriversalité », un pas de danse à la rencontre de l’autre.

Lēnablou est docteure en anthropologie de la danse, danseuse, chorégraphe et pédagogue autour de la Techni'Ka et de l'esthétique du Bigidi issues du Gwoka

La danse Gwoka de la Guadeloupe met en exergue un corps dansant à la dérive, instable qui risque à tout moment la chute sans jamais tomber. C’est le geste Bigidi ! Une question s’impose : quel est le signifié et le signifiant du désordre corporel ? Le philosophe Bernard Piettre nous donne un premier élément de réponse : « Le désordre du monde visible et sensible cache un ordre intelligible, visible à la seule intelligence ».
« Ma communication est un cheminement à travers l’expérience humaine, historique, culturelle, sociale… qui permet d’appréhender le Bigidi et d’approcher la création des sociétés caribéennes ». Lēnablou