
Art & Culture
30 ans de la section Danse-études // Exposition "Corpus Campus"
Pour fêter les 30 ans de la section Danse-études, Corpus Campus a été imaginé pour mettre en lumière les danseurs, leurs mouvements et le campus de l'INSA Lyon.
Sous la forme d'une déambulation, l'exposition propose un dialogue entre danse et architecture.
L’espace du campus est traversé par une multitude d’élèves, de personnels, d’enseignants au quotidien. Il est ancré en eux, inscrit comme une évidence, un tout dont on fait partie sans jamais le questionner. Rendre sa visibilité à cet espace en transformant les usagers en spectateur le temps d’une exposition temporaire, telle est l’ambition de “Corpus Campus”.
Les corps viennent interroger, bousculer, questionner les bâtiments qui composent le campus. Ils offrent, de façon temporaire, une nouvelle vision sensible de l’architecture. Mais aussi de la danse à travers la place du danseur dans l’espace, la manière dont il prend possession de l'espace pour le faire sien, le ré-investir, le ré-inventer, le redécouvrir.
Le campus de l'INSA Lyon devenant le temps d’un instant un lieu poétique.
📍 Livret et Parcours de visite
📅 Vernissage : Mardi 5 avril 2022 - 18:30 - Bibliothèque Marie Curie.
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Sous la direction de Garance Li, artiste photographe associée depuis 2018
Sur une commande de Delphine Savel, responsable de la section Danse-Étude
Avec les étudiantes associées : Delphine Guigue (SGM), Agathe Menon Levenez, Honorine Salomé et Emma Siboni (GCU)
© Garance Li
Informations complémentaires
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Campus INSA Lyon - Villeurbanne
Mots clés
Derniers évènements
50ᵉ édition du festival des 24 heures de l'INSA
Du 23 au 25 mai
Art & Culture
Vernissage exposition Parfait incon'nu
Exposition photographique de corps mis à nus, en noir & blanc, par Aurèle Castellane, élève-ingénieur en 4GeN
Dé-couvrir ce que les clichés ne nous disent pas !
Une exploration photographique en noir & blanc de nos corps mis à nus,
Un voyage entre l'anonymat et l'exposition de soi, à travers une démarche artistique libératoire,
Des témoignages anonymes qui nous éclairent sur l'expérience humaine au-delà de l'enjeu technique,
Dé-couvrir l'inconnu, être considéré plutôt qu'être vu... et tomber des nues !
Avec la participation de modèles volontaires et anonymes.
Informations complémentaires
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INSA Lyon - Galerie d’expositions du centre des Humanités - 1 rue des Humanités - Villeurbanne - Tramway T1/T4 - Station INSA-Einstein ou La Doua-Gaston Berger
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50ᵉ édition du festival des 24 heures de l'INSA
Du 23 au 25 mai
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Parfait incon'nu
Exposition photographique de corps mis à nus, en noir & blanc, par Aurèle Castellane, élève-ingénieur en 4GeN
Dé-couvrir ce que les clichés ne nous disent pas !
Une exploration photographique en noir & blanc de nos corps mis à nus,
Un voyage entre l'anonymat et l'exposition de soi, à travers une démarche artistique libératoire,
Des témoignages anonymes qui nous éclairent sur l'expérience humaine au-delà de l'enjeu technique,
Dé-couvrir l'inconnu, être considéré plutôt qu'être vu... et tomber des nues !
Avec la participation de modèles volontaires et anonymes.
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50ᵉ édition du festival des 24 heures de l'INSA
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Art & Culture
Exposition "Mobilité active & ville intelligente dans l’espace public"
Venez découvrir les Flottilyons, les box « bobo bike » , les parcours « Luciole » , NightLy-On, petit guide curieux des recoins inexplorés, l’Estrade d’Orientation Ludique, la passerelle des sens… le dispositif Place aux petits pas
7 projets imaginés & conçus par 45 étudiants en 5 jours, pour réfléchir aux enjeux et usages de la mobilité active en relation avec des dispositifs de ville intelligente. Les propositions sont inspirées par une enquête de terrain dans les espaces publics de la Métropole de Lyon.
L’atelier à été réalisé du 15 au 19 novembre à la bibliothèque Marie Curie avec :
- 14 étudiants de 5e année ingénieur Télécommunications, Services et Usages INSA
- 17 étudiants de master 2 en aménagement et urbanisme de l’Institut d’Urbanisme de Lyon
- 14 étudiants du Diplôme Supérieur d’Arts Appliqués Design de l’ESAA La Martinière Diderot.
Encadrés par une équipe pédagogique pluridisciplinaire, Stéphanie Vincent, IUL Lyon 2, Guilène Marion, Sophie Tinland & Chloé Dumas, Martinière Diderot, Hervé Rivano, Insa Lyon, Lou Herrmann, Ecole urbaine de Lyon.
Présentés devant un jury d’experts et de chercheur le vendredi 19 novembre :
- Arthur Bajulaz, Chargé d'étude Métropole apaisée - Plans piéton & vélo à la Métropole de Lyon
- Chloé Morhain, doctorante au Laboratoire Aménagement Economie et Transports (LAET) à l’ENTPE et à la Métropole de Lyon.
- Alexandre Rigal, docteur en sociologie des mobilités, EUL
*Ce travail a bénéficié de l’aide de l’Etat gérée par l’Agence Nationale de la Recherche au titre du programme d’Investissements d’avenir portant la référence ANR-17-CONV-0004.
Informations complémentaires
- https://ecoleurbainedelyon.universite-lyon.fr/
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Bibliothèque Marie Curie, INSA Lyon - Villeurbanne
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50ᵉ édition du festival des 24 heures de l'INSA
Du 23 au 25 mai
Art & Culture
Exposition "L'eau dans la ville"
Une exposition proposée par l'Association IACES LC Lyon
Suite au concours photos lancé en novembre dernier, venez découvrir les 15 oeuvres insaliennes qui se sont le plus démarquées.
L'objectif était de mettre en valeur le génie civil et l'urbanisme autour du thème "l'eau dans la ville".
L'IACES est la première antenne française de l'association internationale IACES qui a pour but de rassembler les étudiants du Génie Civil à travers le monde.
Informations complémentaires
- https://www.facebook.com/IACESLYON
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Hall d'entrée de la bibliothèque Marie Curie, INSA Lyon - Villeurbanne
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50ᵉ édition du festival des 24 heures de l'INSA
Du 23 au 25 mai
Art & Culture
Exposition "Ouverture d'espaces" d'Anto Cabraja
Artiste résident à l’INSA d’octobre 2021 à janvier 2022, Anto Cabraja explore les formes d’impression, les différents supports et dimensions (papier, 2D, 3D, sculpture, numérique).
Fluidité des frontières entre le crayon, la plume, le pinceau et le style
Dans le cadre de sa politique de soutien aux artistes, le macLYON a accueilli durant quatre mois (début 2021) Anto Cabraja pour lui permettre de travailler sur le projet qu’il nous présente aujourd’hui.
Dans l'espace de la création, l'artiste tout comme le scientifique, rencontrent tous deux la matière et l'esprit à un moment donné de leur processus de conception et réalisation. Tandis que l'un accède au sensoriel directement, l'autre le fait à travers une représentation mentale qui peut avoir une relation directe avec l'image sur la rétine.
L’un comme l'autre vont rencontrer la beauté́ de la forme sans passer par une représentation intermédiaire.
Gratuit et ouvert à tous sur inscription => https://bit.ly/expo-ouverture-despaces
Informations complémentaires
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Galerie du centre des Humanités - 1 rue des Humanités 69100 Villeurbanne - Tramway T1/T4 - Station INSA-Einstein ou La Doua-Gaston Berger
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50ᵉ édition du festival des 24 heures de l'INSA
Du 23 au 25 mai
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Vernissage exposition "Ouverture d'espaces" d'Anto Cabraja
Artiste résident à l’INSA d’octobre 2021 à janvier 2022, Anto Cabraja explore les formes d’impression, les différents supports et dimensions (papier, 2D, 3D, sculpture, numérique).
Fluidité des frontières entre le crayon, la plume, le pinceau et le style
Dans le cadre de sa politique de soutien aux artistes, le macLYON a accueilli durant quatre mois (début 2021) Anto Cabraja pour lui permettre de travailler sur le projet qu’il nous présente aujourd’hui.
Dans l'espace de la création, l'artiste tout comme le scientifique, rencontrent tous deux la matière et l'esprit à un moment donné de leur processus de conception et réalisation. Tandis que l'un accède au sensoriel directement, l'autre le fait à travers une représentation mentale qui peut avoir une relation directe avec l'image sur la rétine.
L’un comme l'autre vont rencontrer la beauté́ de la forme sans passer par une représentation intermédiaire.
Informations complémentaires
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Galerie du centre des Humanités - 1 rue des Humanités 69100 Villeurbanne - Tramway T1/T4 - Station INSA-Einstein ou La Doua-Gaston Berger
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50ᵉ édition du festival des 24 heures de l'INSA
Du 23 au 25 mai
Sciences & Société
Exposition Mécanique et origamis
A l’occasion de la fête de la science, et de l’année de la mécanique, la bibliothèque Marie Curie propose une exposition sur le thème de la mécanique et de l’origami.
Rencontre avec David Dureisseix :
- mercredi 06/10 12h-14h
- jeudi 14/10 14h-16h
Accès réservé aux insaliens.
Informations complémentaires
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Kiosque - Bibliothèque Marie Curie
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50ᵉ édition du festival des 24 heures de l'INSA
Du 23 au 25 mai
INSA Lyon
Perrin-Fayolle, l’architecte qui a inscrit l'INSA Lyon dans la modernité
Entre les monolithes de béton et les toits-terrasse, la singularité architecturale du campus de La Doua a marqué des générations de diplômés de l’INSA Lyon. En le concevant comme une petite ville dans la grande, son architecte Jacques Perrin-Fayolle a participé au développement d’un véritable sentiment d’appartenance pour les étudiants et les personnels. Une exposition, La fabrique de l’esprit de Jacques Perrin-Fayolle, lui est consacrée et est visible jusqu’au 15 octobre à la Bibliothèque Marie Curie et dans la Galerie du centre des Humanités de l’INSA.
Architecte étonnamment méconnu, Jacques Perrin-Fayolle (1920-1990) a marqué les paysages urbains lyonnais d’une œuvre prolifique. Parmi ses créations emblématiques dans l’agglomération : la bibliothèque municipale de la Part-Dieu, l’hôtel Sofitel sur le quai Gailleton, une partie du quartier du Tonkin, l’école centrale de Lyon à Ecully, ou encore l’école nationale des travaux publics de l'État à Vaulx-en-Velin. Mais son œuvre la plus emblématique reste la construction du campus de la Doua, à commencer par les 43 hectares dévolus à l’INSA Lyon, un chef-d'œuvre moderniste et fonctionnel.
Béton, monolithes et préfas : la marque fonctionnelle et intemporelle du campus
Les matériaux, les formes et l’agencement des édifices du campus sont caractérisés par les impératifs que la période d’après-guerre imposait. Dans les années 50, l’heure est à la reconstruction et à l’essor industriel et scientifique du pays. Le gouvernement d’alors souhaite former des dizaines de milliers d’ingénieurs pour accompagner le mouvement. Le projet de Perrin-Fayolle pour l’INSA se réalise donc dans l’urgence. Il est encouragé par le besoin de rationaliser les coûts, les matières ainsi que l’énergie dans de grands ensembles fonctionnels. C’est ce qui explique l’utilisation massive du béton et des structures préfabriquées sur cet ancien camp militaire. Le chantier de la Doua est d’ailleurs précurseur et significatif du passage d’une production artisanale de l’architecture à des procédés industriels. L’ensemble des éléments de second œuvre, comme les portes, ou les panneaux de façade, sont préfabriqués et assemblés directement sur le chantier pour répondre à la nécessité d’une exécution rapide pour l’accueil de la toute première promotion d’étudiants : à peine 7 mois se sont écoulés entre la loi de création de l’INSA du 18 mars 1957 et la rentrée étudiante, l’automne suivant.
À l’INSA Lyon, l’architecture n’est donc pas tant au service de la séduction que de la formation des esprits. Le collectif et l’innovation sont favorisés par l’organisation géométrique de la cité, le dialogue des bâtiments entre eux, et la dissociation circulations piétonnes et routières. Tout est imaginé pour faciliter « l’autodiscipline » des insaliens et la vie communautaire, à commencer par les résidences, organisées « par groupe de famille de douze étudiants » qui participent grandement à l’animation du campus et au renforcement de l’esprit INSA.
Le souffle de Caracas et des universités anglo-saxonnes
Pour comprendre d’où provient l’esprit que Perrin-Fayolle a souhaité insuffler au campus, il faut se plonger dans ses nombreux voyages et sa passion pour les créations de ses contemporains associés au mouvement architectural moderne1. La cité universitaire de Caracas, de l'architecte vénézuélien Carlos Raúl Villanueva, classée au patrimoine mondial de l’Unesco, l’a ainsi particulièrement inspiré pour la conception du campus de l’INSA. Tout comme celui de Caracas, le site universitaire de la Doua regroupe de nombreux bâtiments et fonctions que le modernisme et les arts plastiques viennent mettre en valeur. On retrouve cette approche artistique dans les murs-sculptures en béton architectonique, comme la fresque de l’évolution, visible sur une centaine de mètres le long du bâtiment Darwin, ou encore dans l’originalité plastique des amphithéâtres insaliens, qui détonnent avec l’ensemble très géométrique du campus.
L’autre source d’inspiration pour Jacques Perrin-Fayolle se retrouve dans la composition des campus nord-américains, à savoir le soin apporté à la complémentarité des bâtiments entre eux, entre les logements, les salles de classe, l’administration, les restaurants, les laboratoires ou encore les espaces de loisir, au milieu de vastes espaces verts. Cette influence anglo-saxonne dans l’organisation de la cité universitaire villeurbannaise, a marqué plus de 60 générations d’élèves ingénieurs, qui ont bénéficié d’un cadre de vie propice à leur développement personnel, social et intellectuel. Si cette organisation en groupement autonome revêt un intérêt majeur pour développer l’esprit collectif des élèves, l’ouverture sur la ville et l’environnement immédiat du campus n’est pas pour autant écartée du modèle insalien.
Rapprocher l’enseignement supérieur avec la société
Longtemps grillagé, le campus était séparé du tissu urbain pour favoriser l’indépendance et l’émancipation de ses usagers. À partir du nouveau millénaire, les barrières sont tombées en commençant par l’arrivée du tramway en 2001 et, l’année suivante, la création du parc de la Feyssine et l’invitation faite aux riverains de traverser le campus pour le rejoindre. L’organisation en autonomie n’est pas pour autant abandonnée, mais la possibilité est offerte à la population avoisinante de partager l’espace avec les étudiants et les personnels des établissements.
Cette perméabilité entre la ville et le campus s’inscrit dans un mouvement plus large de rapprochement entre l’enseignement supérieur et la société. Les universités et les grandes écoles se détachent de leurs dimensions impénétrables et proposent des espaces de partage avec le reste de la population. Les bibliothèques et les théâtres s’ouvrent à tous, les chercheurs vulgarisent les savoirs scientifiques, les formations intègrent des projets tutorés qui répondent aux problématiques du quartier ou de la métropole.
Les différentes opérations architecturales visant à décloisonner le campus auraient pu abîmer le projet initial de Perrin-Fayolle, mais il n’en est rien. 60 ans après sa conception, le projet architectural de la Doua reste encore très lisible.
Rénover sans renoncer à l’esprit de Perrin Fayolle
Le plan urbain n’a que très peu évolué et l’harmonie entre les bâtiments et la solidité de leurs fondations n’ont jamais fait défaut. Néanmoins, afin de répondre aux besoins d’une population estudiantine croissante, aux exigences d’une recherche de pointe et à la nécessaire réhabilitation d’équipements usés par le temps, l’INSA est engagé depuis 2008 dans un programme de rénovation du campus. Les travaux visent à faire gagner la cité universitaire en qualité de vie, en ouverture et en efficacité énergétique, tout en cultivant un dialogue avec l’œuvre et l’esprit originel de l’architecte.
Ce chantier aspire à répondre aux exigences que le nouveau siècle impose : proposer un cadre de travail respectueux de l’environnement, au service de la formation des esprits de demain. 60 ans plus tard, gageons que Jacques Perrin Fayolle n’aurait pas désavoué cette ambition.

L’exposition « La fabrique de l’esprit de Jacques Perrin-Fayolle » a été initiée par l’école Centrale de Lyon, pilotée scientifiquement par l’ENSAL, en association avec l’INSA Lyon, l’ENTPE et l’Université de Lyon. Elle témoigne notamment des profondes mutations culturelles, architecturales, urbanistiques et techniques des années 1950-1970. L’exposition s’accompagne de l’ouvrage Jacques Perrin-Fayolle, écrit par Philippe Dufieux, professeur d’histoire de l’architecture à l’ENSAL (Presses universitaires de Lyon, 2020).
[1] L’architecture moderne (ou mouvement moderne) fait son apparition au début du 20e siècle et repose sur trois principes fondamentaux : des bâtiments très fonctionnels, un décor minimal, et l’utilisation de matériaux nouveaux (béton et acier). C’est aussi un mouvement qui résonne avec l’essor de l’industrie, et fait apparaître des éléments préfabriqués et standardisés dans la construction. Campus Sciences – Université Lyon 1.

Art & Culture
Exposition Scène de recherche - Acte III - Portare
Soulever, aimer, un monde porté.
Témoignage de leur processus de création, les trois artistes-chercheuses livrent ici un travail qui met en jeu la fonction phorique, qui est l’acte de porter, de soulever, voire de responsabiliser.
Sculptures, gravures, dessins, installations seront au coeur de cette nouvelle exposition Portare qui parachève ce temps de résidence sur les liens femmes/nature.
En libre accès.
- Vernissage : 5 novembre à 12h30 et 18h30.
Informations complémentaires
- culture@insa-lyon.fr
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Hall d’exposition des Humanités - Bâtiment Les Humanités - INSA Lyon - Campus LyonTech La Doua 1, rue des Humanités - 69621 Villeurbanne cedex