Rencontre entre le peintre et le génie, hommage à Pierre Soulages et Léonard de Vinci

Exposition / Création artistique et ingénierie

Oui oui ! Tout à fait ! C’est bien une œuvre en mouvement qui se modélise devant vous. A la fois machine autonome et machine contemplative, inspirée d’un croquis vieux de 500 ans de Léonard de Vinci.
Dirigée par un algorithme, elle crée sous vos yeux un véritable tableau. Vous voyez, la machine se déplace sur la surface de sable noir et crée çà et là des sillons sublimés par la lumière.
L’œuvre finale est directement inspirée de la démarche de Pierre Soulages qui invente lui-même ses outils afin de créer ses Outrenoirs.
Un hommage au peintre qui fête cette année ses 100 ans. Derrière ce projet dingue, des étudiants de l’INSA nous rappellent que l’art et la science vont aussi de pair.

Ce projet collaboratif et immersif, scientifique et artistique voyagera pour la Fête des Lumières de la Fondation Bullukian à la Galerie des Humanités pour finir, peut-être, dans un jardin japonais.
Création par les étudiants de la section Arts-Plastiques-études, en Formation Initiale aux Métiers d’Ingénieur de l’INSA.

• Commissariat : Christine Richier, Julie Lola Lanteri et Tom Huet de l’ENSATT pour l’UDL et Emmanuel Cartillier pour l’INSA ; avec la complicité artistique de Simon Feydieu.
• Partenariats : UDL, Fête des Lumières, INSA, ENSATT avec le soutien du Musée Soulages de Rodez.
• Avec la participation d’Elisa Lebrun, étudiante conceptrice en lumière, en Master à l'ENSATT et Maddie Vella, Administratrice en Master 1 ENSATT.

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Vernissage le 10 décembre 2019 à 18h00

Visible dans le cadre de la fête des Lumières à la Fondation Bullukian (place Bellecour - Lyon) du 5 au 8 décembre 2019

Rencontre entre le peintre et le génie, hommage à Pierre Soulages et Léonard de Vinci

Exposition / Création artistique et ingénierie

Oui oui ! Tout à fait ! C’est bien une œuvre en mouvement qui se modélise devant vous. A la fois machine autonome et machine contemplative, inspirée d’un croquis vieux de 500 ans de Léonard de Vinci.
Dirigée par un algorithme, elle crée sous vos yeux un véritable tableau. Vous voyez, la machine se déplace sur la surface de sable noir et crée çà et là des sillons sublimés par la lumière.
L’œuvre finale est directement inspirée de la démarche de Pierre Soulages qui invente lui-même ses outils afin de créer ses Outrenoirs.
Un hommage au peintre qui fête cette année ses 100 ans. Derrière ce projet dingue, des étudiants de l’INSA nous rappellent que l’art et la science vont aussi de pair.

Ce projet collaboratif et immersif, scientifique et artistique voyagera pour la Fête des Lumières de la Fondation Bullukian à la Galerie des Humanités pour finir, peut-être, dans un jardin japonais.
Création par les étudiants de la section Arts-Plastiques-études, en Formation Initiale aux Métiers d’Ingénieur de l’INSA.

• Commissariat : Christine Richier, Julie Lola Lanteri et Tom Huet de l’ENSATT pour l’UDL et Emmanuel Cartillier pour l’INSA ; avec la complicité artistique de Simon Feydieu.
• Partenariats : UDL, Fête des Lumières, INSA, ENSATT avec le soutien du Musée Soulages de Rodez.
• Avec la participation d’Elisa Lebrun, étudiante conceptrice en lumière, en Master à l'ENSATT et Maddie Vella, Administratrice en Master 1 ENSATT.

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Exposition du 10 décembre 2019 au 17 janvier 2020

Visible dans le cadre de la fête des Lumières à la Fondation Bullukian (place Bellecour - Lyon) du 5 au 8 décembre 2019

Retour sur le futur

La bibliothèque Marie Curie de l’INSA Lyon fête ses dix ans, à l’occasion de cet anniversaire, une exposition du 25 novembre au 14 décembre permet sur les 3 étages de la bibliothèque de retracer l’histoire des bibliothèques de l’Insa depuis 1957 au travers de 3 lieux emblématiques du campus : le premier cycle, l’émetteur et la bibliothèque Marie Curie, un retour vers le futur rendu possible grâce à la participation du pôle Archives, d’étudiants de l’association les Lezarts et de la section Cinéma études.

Tout au long de l’exposition d’autres animations sont proposées

Lieu d'ouverture et d’innovation, l'INSA inaugure cette année sa première scène dédiée aux recherches mêlant arts et sciences.

Inédit ! Ou comment un conte écrit par la philosophe mexicaine Clarissa Pinkola Estés devient le point de départ d'un projet associant les plasticiennes Silène Audibert et Elodie Lefebvre à Marie-Pierre Escudié, docteure en sciences humaines et sociales à l’INSA Lyon.

Ensemble, elles exploreront tout au long de l'année les liens Femmes / Nature. Trois résidences et trois rendez-vous publics seront dédiés à la monstration de leurs travaux. A l'issue de la saison, un carnet de résidence sera édité afin de prolonger et d'ouvrir ailleurs leurs questionnements. Les artistes savent puiser l'inspiration dans la science et cette dernière se met au défi de saisir les propositions artistiques comme des hypothèses de travail. Arts et sciences, deux disciplines émancipatrices, qui à leur façon rendent visibles le fonctionnement du monde et l'intériorité des êtres.

• Expositions Scène de recherche : du 10 octobre au 8 novembre 2019
   

Pour l’ouverture de son nouveau programme « Scène de recherche », le Service culturel de l’INSA Lyon invite en résidence deux artistes plasticiennes respectivement lyonnaise et toulousaine : Silène Audibert et Elodie Lefebvre. En collaboration avec Marie-Pierre Escudié, docteure en sciences humaines et sociales à l’INSA Lyon, elles explorent les liens Femmes / Nature.

De juin à juillet 2019, elles développent leurs recherches autour du conte la Llova, dite aussi la Ramasseuse. Ce conte, extrait du recueil Femmes qui courent avec les loups, de l’écrivaine et chercheuse mexicaine Clarissa Pinkola Estés, éclaire la connexion entre femme et loup dans leur nature sauvage particulière. Le conte évoque une vieille femme récoltant des éléments qui risquent d’être perdus à tout jamais par notre civilisation ; elle les rassemble pour les propulser à nouveau dans la vie.
Ce premier temps de résidence leur permet une réflexion sur leurs pratiques respectives, et d’engager un dialogue sous forme de productions, de pensées, d’écrits, de dessins, de volumes et d’installations. Il pourra faire l’objet d’une collection.
En prolongement de cette résidence, une création continue se développera durant l’année. Plusieurs restitutions rythmeront les rencontres avec le public de juin 2019 à juin 2020. 

Les deux artistes se sont rencontrées en 2009 au Festival Carne à Paris, présentant des dessins pour l’une, des sculptures pour l’autre. Elles ont reconnu chez l’autre quelque chose de familier voire de parent, dans leurs pratiques, dans l’usage de représentations hybrides, symboliques, qui produisent une sensation d’étrangeté parfois teintée d‘un humour décalé.

Pour Silène Audibert, cela se passe dans l’espace de la feuille, par la matière du trait, en noir et blanc comme en couleur. Elle sature ses formes souvent très ramassées en danses sensuelles qui provoquent une sorte de transe pour l’œil, et crée un débordement qui s’échappe du cadre. De là, elle fait vibrer la pulsion d’être au monde.

Chez Elodie Lefebvre, dans ses vidéos comme dans ses sculptures et ses installations, le travail s’établit sur la dualité, de sens et de forme. Elle travaille « au-delà du vu » lorsqu’elle interroge les rapports de force et les ambiguïtés qui animent les relations humaines, ou lorsqu’elle explore la vision animale avec des professeurs de l’université du Minais Gérais au Brésil.

Marie-Pierre Escudié (membre de l’Institut Gaston Berger) travaille actuellement sur un corpus de textes écoféministes et sur la question de la responsabilité et de l’éthique de l’ingénieur. Cette recherche nourrit des « cours à la carte » en sciences humaines et sociales, enseignés au Centre des Humanités (cours à la carte sur le genre depuis 2018 et projet sur le thème de l’amour).

Exposition annuelle des travaux des étudiants de la section arts plastiques études.

A l’occasion de l’ouverture de l’exposition de fin d’année de la section Arts-Plastiques-Etudes dans ses ateliers, les étudiants de l’atelier sculpture/céramique de Guillaume Le Moine exposent une série inédite et produite pour cette occasion de serre-livres en céramique et porcelaine. Ils sont exposés et mis en situation parmi les rayons d’art de la Bibliothèque Marie Curie, temporairement relocalisés en salle de lecture.

L’atelier Architecture de Blandine Lamotte présente une série de maquettes, agencées en alignement, telle une rue embrassant des échelles improbables, avec, comme toile de fond, la vue sur l’extérieure du domaine universitaire.
Prolongeant les maquettes de carton plume ivoirin, de petits formats colorés (Atelier Peinture d'Emilie Peythieu) représentant des façades de bâtiments modernistes, pouvant rappeler des peinture géométriques abstraites par le travail d'aplat et l'incertitude d'échelle, sont accrochés parmi des dessins et les études des étudiants de Blandine Lamotte.

Exposition annuelle des travaux des étudiants de la section arts plastiques études à l'atelier arts plastiques, rez-de chaussée de la résidence B.

Ce sera l'occasion de découvrir une sélection de travaux des étudiants de la section, exposés dans l'atelier et son parterre. Un buffet festif sera proposé, ambiance musicale et barbecue jusqu'à 22h.

En parallèle seront présentés d'autres travaux à la BMC, du 20 mai au 14 juin, dans une scénographie originale autour de l'architecture.

Artiste associée de la Section Danse études, avec la chorégraphe Blandine Martel Basile.

Garance Li a accompagné pendant deux années les étudiants de la section danse-études dans leur travail de recherche et d’expérimentation chorégraphique. Le projet de création intègre image et danse, sur scène comme dans la photographie.

Le danseur et le spectateur sont à l’intérieur et à l’extérieur. L’image se démultiplie, depuis la focale de la scène, depuis celle de la photographe. Le spectateur sort de l'espace scénique et découvre un nouveau point de vue.

Dans la galerie comme sur scène, le spectateur découvre du live mais aussi le récit du processus de création en lui-même. L’exposition On the stage et le spectacle "Sens dessus dessous" se répondent, nous répondent.

Artiste associée de la Section Danse études, avec la chorégraphe Blandine Martel Basile.

Garance Li a accompagné pendant deux années les étudiants de la section danse-études dans leur travail de recherche et d’expérimentation chorégraphique. Le projet de création intègre image et danse, sur scène comme dans la photographie.

Le danseur et le spectateur sont à l’intérieur et à l’extérieur. L’image se démultiplie, depuis la focale de la scène, depuis celle de la photographe. Le spectateur sort de l'espace scénique et découvre un nouveau point de vue.

Dans la galerie comme sur scène, le spectateur découvre du live mais aussi le récit du processus de création en lui-même. L’exposition On the stage et le spectacle "Sens dessus dessous" se répondent, nous répondent.

L'édition 2019 des JACES (Journées des arts et de la culture dans l’enseignement supérieur)

Durant trois jours, près de 40 manifestations (majoritairement gratuites) : expositions, concerts, spectacles, rencontres... ???

Sur le Campus LyonTech - la Doua  https://bit.ly/2C4s3bx

?Le programme complet ? www.universite-lyon.fr/jaces