Exposition des étudiants de la section Arts Plastiques Études

Pendant plusieurs jours, des étudiants APE (Arts Plastiques Etudes) ont suivi une initiation à la technique de la gravure sous la direction de l’artiste invitée Silène Audibert.

La gravure est un terme générique, déterminée par le support employé, la lithographe pour la pierre, la xylogravure pour le bois, la taille-douce pour le métal. Il s’agit de créer une matrice, d’entamer la surface, par la taille ou un acide, afin de la marquer pour qu’une fois encrée, elle restitue le dessin sur le papier, l’estampe.

Les étudiants ont travaillé sur un thème libre, l’initiation étant technique et portant sur la gravure de plaques de cuivre, qui ont été ensuite tirées sur différents papiers à l’aide de la presse présentée dans le Hall d’exposition du service culturel. L’exposition donne une place importante au processus de production des images, présentant différentes étapes intermédiaires, des variations de tirage sur une même plaque, accompagnées des différents instruments, outils et consommables nécessaires, présentées dans les vitrines.

La série d’estampes exposée a été retirée pour les besoins de l’exposition sur un même format par l’artiste Silène Audibert à partir des plaques originales, incisées par les étudiants: Lisa Nicvert, Clara Ampe, Titouan Poquillon, Guadalupe Vinado-Buil, Lucie Michaud, Camille Develay, Marc Romagne, Marius Lelouard, Cécile Poupon, Victor Egana, Achille Foncel et Roxanne Debord.

Silène Audibert est née en 1981 à Marseille, vit et travaille à Lyon. Diplômée de l’Ecole des Beaux-Arts de Besançon, son travail a été montré dans différents lieux d’expositions comme le musée des moulages (Lyon), la galerie Jean Greset (Besançon), la galerie Jean Louis Ramand (Aix-en-Provence) et au conseil général de Franche-Comté. Sa pratique est essentiellement portée sur le dessin et la gravure. Elle développe des séries distinctes, avec une attention notable aux matières et aux reliefs qu’un graphisme minutieux et détaillé permet de développer dans des grands formats. La composition dense et concentrée en un élément souvent informe, vaguement organique, peut rappeler les états de chairs, d’épiderme, de poils, de plumes dans un règne animal indéfini, tels des fragments de chimères, de mythologies pluriculturelles sans silhouette mais débordants de détails. Des chrysalides ramassées sur elles-mêmes, des cocons en éruption. Des jaillissements, des boursouflures. Des métamorphoses. D’un état à un autre. Toujours en mouvement.

Exposition des étudiants de la section Arts Plastiques Études

Pendant plusieurs jours, des étudiants APE (Arts Plastiques Etudes) ont suivi une initiation à la technique de la gravure sous la direction de l’artiste invitée Silène Audibert.

La gravure est un terme générique, déterminée par le support employé, la lithographe pour la pierre, la xylogravure pour le bois, la taille-douce pour le métal. Il s’agit de créer une matrice, d’entamer la surface, par la taille ou un acide, afin de la marquer pour qu’une fois encrée, elle restitue le dessin sur le papier, l’estampe.

Les étudiants ont travaillé sur un thème libre, l’initiation étant technique et portant sur la gravure de plaques de cuivre, qui ont été ensuite tirées sur différents papiers à l’aide de la presse présentée dans le Hall d’exposition du service culturel. L’exposition donne une place importante au processus de production des images, présentant différentes étapes intermédiaires, des variations de tirage sur une même plaque, accompagnées des différents instruments, outils et consommables nécessaires, présentées dans les vitrines.

La série d’estampes exposée a été retirée pour les besoins de l’exposition sur un même format par l’artiste Silène Audibert à partir des plaques originales, incisées par les étudiants: Lisa Nicvert, Clara Ampe, Titouan Poquillon, Guadalupe Vinado-Buil, Lucie Michaud, Camille Develay, Marc Romagne, Marius Lelouard, Cécile Poupon, Victor Egana, Achille Foncel et Roxanne Debord.

Silène Audibert est née en 1981 à Marseille, vit et travaille à Lyon. Diplômée de l’Ecole des Beaux-Arts de Besançon, son travail a été montré dans différents lieux d’expositions comme le musée des moulages (Lyon), la galerie Jean Greset (Besançon), la galerie Jean Louis Ramand (Aix-en-Provence) et au conseil général de Franche-Comté. Sa pratique est essentiellement portée sur le dessin et la gravure. Elle développe des séries distinctes, avec une attention notable aux matières et aux reliefs qu’un graphisme minutieux et détaillé permet de développer dans des grands formats. La composition dense et concentrée en un élément souvent informe, vaguement organique, peut rappeler les états de chairs, d’épiderme, de poils, de plumes dans un règne animal indéfini, tels des fragments de chimères, de mythologies pluriculturelles sans silhouette mais débordants de détails. Des chrysalides ramassées sur elles-mêmes, des cocons en éruption. Des jaillissements, des boursouflures. Des métamorphoses. D’un état à un autre. Toujours en mouvement.

« Comment illustreriez-vous vos mécanismes de pensée ? »

Aurélie Rivierez, étudiante en 5^e année GE, exposera les œuvres (objets, dessins et peintures) réalisées lors de son PPH, encadré par Michel Faucheux, enseignant aux Humanités. « Comment illustreriez-vous vos mécanismes de pensée ? »

C’est la question à laquelle ont tenté de me répondre une centaine de personnes venant d’horizons divers. Au fil des réponses, mon esprit se remplissait d'images, de formes et de mouvements. C’est de cette manière que m’est venue l’idée de proposer un parcours de découverte de l’esprit de « l’autre » à travers des réalisations artistiques. L'exposition Pensées en images est le fruit d'une réflexion d'un an où je tente d'illustrer la pensée à travers une douzaine d’œuvres inspirées des réponses reçues à ma question.

Temps de rencontre avec la créatrice : 

• Jeudi 17 janvier 2019 de 14h à 18h
• Samedi 19 janvier 2019 de 9h à 12h et de 14h à 17h
• Jeudi 24 janvier 2019 de 16h à 18h et de 20h à 22h

Une manifestation conjointement organisée par l'association FreeLUG et l'association étudiante Génie Mécanique de l'INSA Lyon

Une convention 100% Lego pour venir admirer de nombreuses créations avec au programme des conférences sur inscription le samedi de 10h à 17h et une exposition tout public le dimanche de 9h à 17h.

Les formulaires d'inscriptions seront bientôt disponibles. 

MAMO : Multiple Art sur Machine Outil, un projet qui rassemble 10 étudiants des sections arts-études (arts-plastiques, danse et musique), pour une représentation-exposition.

Multiple Art sur Machine Outil, une expérience originale de détournement d'usage des machines outils par des étudiants des sections Arts-études, ou comment transformer un atelier en lieu de représentation et d'exposition.

De Mai 68, seules quelques traces ont été retrouvées dans les archives de l’INSA : des lettres de parents et des élèves, un écriteau « Visites féminines totalement interdites » posé à l’entrée d’une résidence et des numéros du journal étudiant appelé Le Spin.

L’exposition "Mai 68, l’engagement insalien" a été l’occasion de contacter des protagonistes de cette époque dont Francis Pithon, en 2^e année Chimie et Marie-Noelle Mille, en 1^re année. Les affiches exposées proviennent du fonds privé de M. Pithon conservées aujourd’hui aux Archives départementales du Rhône et de la Métropole au titre d’utilité historique.

Par ailleurs, des recherches dans Le Progrès et Le Journal du Rhône à la Bibliothèque municipale de Lyon ont permis de mettre en évidence le traitement de cet évènement par la presse locale.

Exposition des travaux réalisés par les étudiants préparant le Diplôme Supérieur d’Arts Appliqués Design, du Lycée La Martinière Diderot ; avec le soutien du Service Culturel de l’INSA Lyon.

Exposition du 22 novembre 2018 au 31 janvier 2019.

Du lundi au jeudi de 9h00 à 17h00 et le vendredi de 9h00 à 16h00

En partenariat avec l’IAC Villeurbanne. Dans le cadre du projet Collection à l’étude, parcours d’art contemporain à Villeurbanne

Guillaume Perez fixe l’immatérialité, arrête le temps, surprend l'inutile dans sa capacité à rayonner, à s'affirmer dans sa fragilité. Il s'agit là d'une trace définitive au prolongement impossible et à la genèse disparue. C'est en quelque sorte l'indice d'une disparition, une résistance précaire qui reconnaît son ineficacité, son absence de capacité à se transformer, à devenir autre chose et à rester sur le seuil de ce qui la constitue.

A la découverte du patrimoine artistique de l'INSA : quelques œuvres du FACI

A l'occasion des journées du Patrimoine, l'INSA propose de mettre en valeur ses acquisitions par la présentation de quelques œuvres choisies dans son fonds d'art contemporain (FACI).

Depuis les années 80, l'INSA et le centre des Humanités soutiennent la scène artistique contemporaine en proposant un cycle d'expositions annuel et réalisent des acquisitions d’œuvres d'art régulièrement exposées sur le campus. En écho à l’acquisition de la photographie de M. BIDULE des artistes Romuald et PJ..., le centre des Humanités et la bibliothèque Marie Curie exposent, dans le kiosque de la bibliothèque, du 18 septembre au 4 octobre, un ensemble d’œuvres récemment acquises. Différentes pratiques artistiques sont mises en valeur : photographies, dessin, peinture, design ... et nous invitent à nous interroger sur des questions de perception, de regard et sur le rapprochement entre l'art et la science.

Ils sont deux artistes à l'honneur aux salons de l'INSA Lyon : du 7 au 22 juin 2018, David Mansot et Élise Benoit-Gonin Mansot expriment leur art à travers l'exposition "Regards croisés".

Vous êtes invités au vernissage de l'exposition,
le jeudi 7 juin à 17h30 aux salons de l'INSA Lyon.

Cabanes rêvées de David Mansot

David Mansot, artiste lyonnais, accroche ses cabanes à rêver aux murs de nos maisons. Il suspend ses oeuvres fabriquées à partir de matériaux récupérés dans les forêts, sur les chemins d'hier et d'aujourd'hui. Une architecture merveilleuse, pour des lieux réels ou fantastiques. Ces cabanes sont comme des projets magiques ou des madeleines de Proust. Elles touchent l'innocence qui somnole en nous.
 

Paysages Hybrides - Rêves sauvages d'Élise Benoit-Gonin Mansot
Dessins, peintures & curiosités textile

Le travail d'Elise Benoit-Gonin Mansot convoque des paysages "hybrides" et des personnages anthropomorphes très inspirés des figures pariétales et archaïques représentant l’homme à l’état sauvage. Elle porte une affection particulière pour les jungles du Douanier Rousseau, les arts premiers (Inuit et Amérindien), le dessin naturaliste et les ours. Ses pistes de recherches sont multiples : dessin naturaliste (faune, flore, minéraux) travail de la matière et des couleurs (huile, gouache, acrylique, pastels gras) curiosités textiles où se mêlent dessin sérigraphié sur tissu, broderie et feuille d’or. L’émerveillement au contact de la nature est sa principale source d’inspiration.