L’exposition Râtelier propose une mise en espace singulière des productions des étudiants et étudiantes de la section Arts Plastiques Études de l’INSA, en transformant les murs en un vaste râtelier visuel.

À raison d’une œuvre par mètre carré, chaque mur devient un territoire d’expérimentation où se mêlent les traces du travail en atelier et la diversité des médiums explorés au cours de l’année : sculpture métal et céramique, peinture, dessin, maquettisme d’architecture, gravure, photographie argentique et numérique. À l’image du râtelier d’un atelier, où les outils sont suspendus une fois le travail terminé, cette exposition évoque la clôture des enseignements tout en préservant l’énergie. Chaque pièce accrochée dialogue parmi les instruments de travail qui l’ont rendue possible : ciseaux à bois, équerres, pinceaux, pinces, grattoirs, poudres et pigments, révélateurs et bains chimiques. Ce tissage entre œuvres et outils rappelle que toute création est aussi une affaire de gestes, d’empreintes et de matières. En parsemant les productions étudiantes d’objets issus des différents champs de pratique, Râtelier met en lumière la pluralité des savoir-faire et l’interconnexion des disciplines. L’exposition devient ainsi une cartographie murale du processus de fabrication artistique, une mémoire matérielle du geste créatif. Elle invite à voir au-delà des œuvres exposées pour percevoir la fabrique de l’art elle-même, entre rigueur technique et exploration sensible.

Venez découvrir comment les photographes de Graines d'Images et les danseurs et danseuses de RAGDA donnent vie aux 4 éléments (Eau, Feu, Terre, Air)

Exposition réalisée par l'association de photographie Graines d'Images sur le thème des 4 éléments : L'eau, le feu, la terre et l'air.

En collaboration avec l'association de danse RAGDA et la Bibliothèque Marie Curie (BMC)

Exposition encadrée par Murielle Andrieu-Le Gall - créations par les membres du cours de peinture du CASI (Comité d'Action Sociale de l'INSA Lyon)

Ne pas oublier les femmes artistes, et pas seulement en mars mois de lutte pour les droits des femmes, c’est ce qu’invite à faire cette exposition.

Malgré leur talent de dessinatrice et peintresse, malgré leurs contributions à des grands mouvements novateurs bien peu d’entre elles sont connues du grand public, elles ont parfois littéralement été effacées de l’histoire de l’art après avoir été interdites dans les écoles d’art et à l’Académie.

Murielle Andrieu-Le Gall, artiste plasticienne et intervenante, travaille depuis un an à la réalisation de linogravures s’inspirant de portraits et autoportraits de femmes artistes. Elle a proposé à ses élèves du CASI et de l’association Oz’ateliers du 4 août de réaliser des peintures, dessins, pastels "à la manière de" ces artistes femmes. Depuis plusieurs mois à l’atelier, chacune et chacun découvre et fait découvrir le travail de ces femmes artistes. Des noms issus d’articles, de revues, de livres, d’encyclopédie en ligne, du site AWARE resurgissent et vont probablement continuer à le faire, les commissaires d’expositions s’emparant aussi du sujet.

Une exposition, trois lieux :

• Du 8 au 28 mars au Café Asso de la MIETE 150 rue du 4 août - Villeurbanne pour l’exposition des créations de l'atelier Oz’ateliers du 4 août.
• Du 11 au 28 mars à la galerie des Humanités - INSA Lyon pour l’exposition du CASI.
• Du 11 au 21 mars dans le kiosque de la bibliothèque Marie Curie pour l'exposition des linogravures de Murielle Andrieu-Le Gall.
  • Démonstration de la technique de linogravure et explication de l'exposition
    Mardi 11 mars à 16h30, Kiosque ou salle 027 (sur inscription) avec Murielle Andrieu LeGall
  • Permanences de Murielle Andrieu Le Gall sur place :  Vendredi 14 mars  14h-16h et mardi 18 mars 12h-14h

Exposition encadrée par Murielle Andrieu-Le Gall - créations par les membres du cours de peinture du CASI (Comité d'Action Sociale de l'INSA Lyon)

Ne pas oublier les femmes artistes, et pas seulement en mars mois de lutte pour les droits des femmes, c’est ce qu’invite à faire cette exposition.

Malgré leur talent de dessinatrice et peintresse, malgré leurs contributions à des grands mouvements novateurs bien peu d’entre elles sont connues du grand public, elles ont parfois littéralement été effacées de l’histoire de l’art après avoir été interdites dans les écoles d’art et à l’Académie.

Murielle Andrieu-Le Gall, artiste plasticienne et intervenante, travaille depuis un an à la réalisation de linogravures s’inspirant de portraits et autoportraits de femmes artistes. Elle a proposé à ses élèves du CASI et de l’association Oz’ateliers du 4 août de réaliser des peintures, dessins, pastels "à la manière de" ces artistes femmes. Depuis plusieurs mois à l’atelier, chacune et chacun découvre et fait découvrir le travail de ces femmes artistes. Des noms issus d’articles, de revues, de livres, d’encyclopédie en ligne, du site AWARE resurgissent et vont probablement continuer à le faire, les commissaires d’expositions s’emparant aussi du sujet.

Une exposition, trois lieux :

• Du 8 au 28 mars au Café Asso de la MIETE 150 rue du 4 août - Villeurbanne pour l’exposition des créations de l'atelier Oz’ateliers du 4 août.
• Du 11 au 28 mars à la galerie des Humanités - INSA Lyon pour l’exposition du CASI.
• Du 11 au 21 mars dans le kiosque de la bibliothèque Marie Curie pour l'exposition des linogravures de Murielle Andrieu-Le Gall.
  • Démonstration de la technique de linogravure et explication de l'exposition
    Mardi 11 mars à 16h30, Kiosque ou salle 027 (sur inscription) avec Murielle Andrieu LeGall
  • Permanences de Murielle Andrieu Le Gall sur place :  Vendredi 14 mars  14h-16h et mardi 18 mars 12h-14h

Pour célébrer ses 25 ans, AMERINSA présente une exposition autour du travail photographique de trois jeunes lyonnais partis sur les hauts plateaux andins pour documenter les enjeux liés à l'eau dans cette région-là.

Carla Lesueur, Carolina Lestienne et Enzo Baudino sont 3 jeunes photographes partis à la découverte des hauts plateaux andins au Pérou et en Bolivie. Ils ont certes été émerveillés par des paysages grandioses et des populations accueillantes mais aussi déçus par les conditions de vie difficiles et notamment l'accès à l'eau, son exploitation, la pollution de celle-ci, etc.

Une trentaine des clichés et leurs témoignages serviront à nous faire voyager dans ces terres mythiques et leurs défis actuels.

Grandir, se construire et vieillir en tant que personne LGBTQIA+ : Revendiquons ensemble le droit au bonheur et au bien vieillir

Max Boisson, Marianne Gaillard, Augustin Grandvaux, François Nze-Maure et Solène Skoczek sont cinq étudiants de l’INSA Lyon particulièrement touchés par les problématiques LGBTQIA+.

Dans le cadre de leur dernière année d’études, ils organisent une exposition explorant le caractère intergénérationnel de la communauté. La communauté des personnes LGBTQIA+ séniors est extrêmement peu représentée dans les espaces et les discours publics. Le but de cette exposition, et leur motivation pour ce projet, est donc de lutter contre les LGBTphobies en rendant visible le caractère intergénérationnel de la communauté.

L'intergénérationnalité se montre à travers deux expériences différentes, une personne âgée et une personne jeune. En tant que porteurs de projets, ils ont fait le choix d’être présents dans les œuvres pour apporter leur sensibilité au projet, mais aussi dans une optique de partage et de convivialité avec les modèles séniors. La mise en scène des photographies permet de mettre en valeur le lien entre les deux personnes, qui peut relever de l’expérience commune, de passions partagées, ou encore de soutien émotionnel pour n’en citer que quelques-uns.

Les photos ont été prises par la photographe professionnelle Aurélie Rivierez, aussi connue par son nom d’artiste Flinalune, qui est très impliquée dans la dimension artistique du projet.

Les objectifs de ce projet sont multiples :

• ouvrir des perspectives d’avenir joyeuses aux personnes LGBT+ jeunes et marginalisées,
• apporter de la représentation positive pour les personnes LGBT+ séniors, montrer que l’orientation sexuelle ou l’identité de genre n’est pas un phénomène de mode propre à notre génération, mais bien une vérité humaine et intergénérationnelle
• et enfin encourager un apaisement des discours publics envers la communauté LGBTQIA+ en la rendant visible dans l’espace public.

L'exposition "Art'in la Doua" s’inscrit dans un cycle plus vaste dédié à l’exploration de l’Anthropocène qui désigne ce moment où les humains exercent une influence majeure sur la planète.

Nous sommes ravis de vous inviter à « L'Art à La Doua », une exposition captivante qui réunit l'art et la science d'une manière unique et inspirante. Organisée à la Bibliothèque Marie Curie (INSA) sur le campus de La Doua, elle présente 33 œuvres d'art remarquables - des vidéos et des images issues de recherches scientifiques de pointe menées par des doctorants, des postdoctorants, des chercheurs et des ingénieurs du campus. Cet événement spécial est l'occasion de célébrer l'intersection de la créativité et de la connaissance avec les artistes et les scientifiques à l'origine de ces œuvres époustouflantes. L'entrée est gratuite et ouverte à tous. De plus, les visiteurs peuvent voter pour les œuvres qu'ils préfèrent.

L'exposition s'ouvre avec un vernissage le 3 février à 18h00, où les prix de sélection du jury seront annoncés.

Depuis quelque temps, la couverture médiatique sur la santé mentale des jeunes augmente. Comment rendre ce sujet moins froidement factuel ou médical mais plus sensible, plus artistique ?

Portée par trois insaliens en section Arts-plastiques-études, l’exposition Fissures invite à réfléchir aux complications que peuvent rencontrer les étudiants, à se questionner sur les signaux d’alarme, ou encore sur les pensées d'épisodes de mal-être. Sculptures, gravures, peintures (de Lucie Dumas, Marianne Gaillard, Yann Tobet) et poèmes (de Fatma Bouricha) dialoguent autour de ce thème.

UNE GALERIE D’AUTOPORTRAITS VIDÉO avec Le BLÖFFIQUE Théâtre dans le cadre du Festival Arts Sciences et Sociétés de l'INSA Lyon

« FLASHEZ LE QR! Chaque fois, une jeune personne vous attend (temporairement) dans votre smartphone pour se faire connaître. Chaque fois, des jeunes gens d’ici ou d’ailleurs se présentent à vous dans des autoportraits vidéo. » Le BLÖFFIQUE propose des miroirs tendus à la jeunesse. À travers elle, la compagnie souhaite se mettre à l’écoute des 16/25 ans d’aujourd’hui, constatant qu’ils et elles n’ont que très peu voix au chapitre dans l’espace social.

Cette exposition est une galerie de courts métrages réalisés à partir de fouilles dans le smartphone personnel des auteurs et autrices... Un instantané des jeunesses qui vous font face et se révèlent dans une écriture de leurs identités mobiles. Les 20 autoportraits exposés sur panneaux totems seront accessibles aux visiteurs via des QR codes. Une fois flashé, un portrait démarre sur le smartphone, provoquant la sensation d’une prise en main de l’appareil par la personne qui s’y présente. Il s’agit là de proposer une expérience de télescopage des espaces numériques et physiques et de brouillage des usages. Portraits mobiles est un protocole de documentation collaborative (intégré au triptyque à la jeunesse) proposé par Le BLÖFFIQUE dans le cadre de la création Flânerie en paysage mobile (création juin 2025).

Projet réalisé dans le cadre d’une résidence de création à l’INSA en cours Cultures Sciences et Sociétés sur l’année universitaire 2023/2024.

- Exposition du 19.11.24 au 13.12.24 Du lundi au samedi de 9h à 22h - HALL DE LA BIBLIOTHÈQUE MARIE CURIE

- Vernissage le 26 novembre 2024 à 18h00

RÉSIDENCES, CO-PRODUCTIONS ET SOUTIENS À LA CRÉATION DU TRIPTYQUE ECLAT (Aurillac), Les Ateliers Frappaz (Villeurbanne), Le Boulon (Vieux-Condé) - trois Centre National des Arts de la Rue et de l’Espace Public, Superstrat (Loire Forez), INSA Lyon, La Communauté d’agglomération de l’ouest Rhodanien, ERASME - laboratoire d’innovation numérique (Métropole de Lyon). Le Ministère de la Culture - Direction Générale de la Création Artistique, la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes (conventionnement triennal), la Préfecture du Rhône, la Métropole de Lyon, la Ville de Villeurbanne, la Fondation Humanité, Digital et Numérique.

 

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Événement porté dans le cadre du FASSIL, Festival Arts Sciences et Sociétés de l'INSA Lyon.

Ouverture du premier Festival Arts Sciences et Sociétés de l'INSA Lyon avec le spectacle Solitude.s, le vernissage de l'exposition intimeS et un verre de l'amitié.

Un premier temps de poésie ouvre ce mois et demi de partages artistiques et scientifiques. Cette soirée croisera spectacle, vernissage, restitutions, médiation, prévention et verre de l’amitié. Ce premier temps au pied du bâtiment des Humanités illustre l’univers du festival et montrera son ADN.

La compagnie La Migration débutera avec son spectacle Solitude.s, une performance circassienne qui emporte dans les imprévus d’un paysage en éveil. Ce trio musicien/circassien/structure, présentera sa création à 19h.
(Une première présentation se fera aussi en préouverture à 12h30).

L’accueil se poursuivra ensuite par un temps de présentation et d’ouverture officielle du festival par l’équipe d’organisation et la direction de l’établissement autour du bâtiment des Humanités.
Des danseurs et danseuses ouvriront ensuite l’exposition intimeS avec des visites dansées dans la Galerie des Humanités.
Ces performances dansées plongeront les visiteurs dans l’intimité de l’exposition réalisée à l’INSA sur le premier semestre de cette année universitaire. La soirée se poursuivra ensuite avec des intermèdes musicaux. Cette soirée est organisée grâce au soutien de plusieurs associations étudiantes et notamment : le collectif InciDanse / l'AS Danse du Centre des Sports de l'INSA Lyon pour les visites dansées l’Association Musicale de l’INSA pour les intermèdes musicaux.

Cette soirée est organisée grâce au soutien de plusieurs associations étudiantes et notamment :

• le collectif InciDanse / l'AS Danse du Centre des Sports de l'INSA Lyon pour les visites dansées
• l’Association Musicale de l’INSA pour les intermèdes
• musicaux
• les 24h de l’INSA pour le soutien événementiel.

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Solitude·s - Cie La Migration - ©Clémence Estingoy - Photographie 05