Sport

01 déc
Du 01/12/2021 20:00
au 02/12/2021 01:00

Sport

Nuit du Volley

Amateur de volley, ne manquez pas la nuit du volley du 1er décembre au Gymnase de l'UFRAPS !

Un évènement sportif mais pas que, car ce sera aussi l'occasion de profiter de crêpes et de croques monsieur ! 

Deux poules seront proposées : une compétition et une loisir avec des récompenses à la clé pour les gagnants. Un prix spécial sera décerné à l'équipe avec le meilleur déguisement !!! 

Si vous êtes intéressé, inscrivez-vous avec votre équipe de 6 à 8 personnes : 

📍 Où : Permanences au RI matin et soir du 22 au 30 novembre. Inscription : 2 € / joueur

⚠️ Attention nombre de places limité. Passe sanitaire obligatoire

06 oct
06/10/2021 17:30

Sport

Course folklorique en hommage à Lionel Manin

Organisée par le Club INSA Athlétisme - CIA en hommage au professeur en Génie Mécanique Lionel Manin, décédé dans une avalanche au printemps dernier.

Lionel Manin appréciait particulièrement la course folklo du cross de l'INSA, donc osez tous les déguisements et venez nombreux !

🏁 Course de 4km
🏅 Récompenses pour les 3 meilleurs déguisements et la plus grande équipe inscrite
☕ Ravitaillement à l'arrivée
⌚ Retrait des dossards 17h30-18h15
Départ de la course 18h30
🎫 Inscription 3€ : https://eqrcode.co/a/BPHg8u
❗ Passe sanitaire obligatoire ❗

30 sep
30/sep/2021

Formation

« Faire du mieux possible : c’est ainsi que je souhaite mener ma carrière de basketteuse-ingénieure » 

À tout juste 25 ans, Clarisse Legrand, diplômée du département génie mécanique de l’INSA Lyon, signe son premier contrat de basketteuse professionnelle au Basket Club de Montbrison. Après un cursus aménagé, cette ancienne élève de la section sport de haut-niveau s’est retrouvée propulsée en ligue féminine 2, une chose rare dans le monde du basketball professionnel qui recrute généralement ses joueuses plus jeunes. Pour Clarisse, « rien ne sert de courir, il faut partir à point ».

Après sept années de « double vie » d’élève-ingénieure et sportive de haut-niveau, vous voilà désormais diplômée et basketteuse professionnelle. Briller en sport collectif est déjà une prouesse, et vous l’avez fait en même temps que vos études. Quel est votre secret ? 
Effectivement, j’ai longtemps mené deux parcours de front, entre l’INSA et le centre de formation de l’ASVEL ou l’équipe professionnelle de Charnay. Ça n’a pas toujours été facile de concilier les deux, malgré l’aménagement de mon cursus, car le sport collectif à haut niveau est contraignant en termes d’organisation avec les entraînements à heure fixe et les déplacements réguliers. Au milieu de mes études, j’ai d’ailleurs dû faire un choix : continuer en ligue professionnelle et mettre mes études de côté, ou redescendre de niveau pour continuer à vivre les deux. Et lorsque l’on fait un choix de ce type, on n’a jamais la certitude de pouvoir revenir à haut-niveau, plus tard. J’ai fait mon choix en toute conscience à l’époque : j’ai choisi les études d’ingénieure mécanique pour la simple raison que s’assurer un métier qui nous plaît vraiment pour le reste de sa vie, c’est important. Ensuite, j’ai eu la chance qu’un agent croit en mon projet à la sortie de mes études. Autant sportivement qu'humainement, mon profil était attractif et s’accordait bien avec les autres filles de l’équipe. C’est très important de faire corps avec son équipe dans notre sport.

En parlant d’équipe, vous suivez actuellement un Executive Master en management à distance. Vous avez des projets en vue ?
Je voudrais que ma carrière d’ingénieure puisse me permettre de combiner mes compétences techniques d’ingénieure au côté humain, qui me tient à cœur car j’aime collaborer en équipe. Et ce diplôme de management à distance était parfait, car il me permet d’étudier à mon rythme. Je crois aussi que je me suis lancée dedans pour préserver un certain équilibre personnel, car bien que j’adore mon sport, il est important de pouvoir compter sur une autre activité pour penser à autre chose et prendre de la distance. Pour le moment, je n’ai pas encore de projet professionnel bien défini concernant ce que je ferais après ma carrière de basketteuse. Il faut parfois savoir se laisser guider par le temps. Même si j’espère faire encore quelques saisons en tant que sportive professionnelle, je ne me fais pas d’illusions : vivre du basket féminin est encore très difficile. 

Est-il plus facile de vivre du basket masculin ? La question de l’égalité des genres est-elle une question qui vous tient à cœur ?
D’un point de vue médiatique, la différence est flagrante. Avez-vous déjà vu un match de basket féminin à la télévision ? Il y en a, bien heureusement, mais c’est rare. C’est qu’il y a encore beaucoup de progrès à faire en matière de représentation des femmes dans le sport, et le basket ne fait pas exception. Contractuellement parlant, c’est aussi plus compliqué pour une femme de vivre de son activité sportive. Contrairement au basket masculin, il n’y a pas de convention collective qui encadre un minimum de revenu pour une basketteuse professionnelle par exemple. Dans le basket, il y a beaucoup de joueuses professionnelles qui défendent nos droits. Je serai peut-être l’une d’elles un jour, mais aujourd’hui, je débarque tout juste dans ce monde. Il me faut du temps pour en comprendre les rouages. Dans tous les cas, je suis consciente que les inégalités ne s’arrêtent pas au basket ; elles existeront aussi dans ma carrière d’ingénieure ou elles auront diminué d’ici-là, j’espère.

N’existe-t-il pas des similitudes plus réjouissantes entre la carrière de basketteuse et celle d’ingénieure ?
Je crois qu’il y en a un point commun évident et qui cadre parfaitement avec la personne que je suis : le travail d’équipe. J’aime l’idée que, dans le basket ou dans une entreprise, le groupe soit la concentration de différents potentiels individuels qui, s’ils sont correctement exploités, fassent avancer la machine. Je suis une sportive alors j’aime que les choses bougent et qu’il y ait un mouvement perpétuel avec des objectifs à atteindre. Finalement, en sport ou ingénierie, lorsque l’on manque un objectif, on a cette possibilité de décortiquer le mouvement ou le système de jeu pour comprendre, rebondir et faire mieux la prochaine fois. C’est ce qui me guide dans la vie : toujours faire du mieux possible.

 

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04 oct
04/10/2021 18:30

Sport

Mécasport - AG de recrutement

L'association de sport mécanique de l’INSA recrute !

Mécasport est l'association INSA Lyon qui regroupe les passionnés du sport automobile et de la mécanique. Grand passionné du sport auto ou juste curieux de découvrir ce domaine, venez rencontrer les membres à l'occasion de l'assemblée générale de rentrée.

De nombreux évènements sont organisés tout au long de l'année : sorties karting, visites de salons d'autos, courses, etc...

01 sep
01/sep/2021

Vie de campus

Les pieds dans l’eau, la tête dans les étoiles

Romain, 22 ans et Mathis, 18 ans, sont frères. Dans la vie, ils partagent deux choses : l’amour de la technique et la recherche de sensations qu’ils vivent quotidiennement en équilibre sur leurs planches à voile. Tous deux élèves-ingénieurs et sportifs de haut-niveau, c’est à l’INSA Lyon qu’ils ont trouvé le bon « spot » pour continuer de vivre leur passion pour la voile, tout en suivant leurs études d’ingénieurs entre la côte d’Azur et le campus de la Doua. Rencontre avec deux frères un peu siamois, mais pas tant que ça. 

Près de Marseille, c’est combinaisons collées au corps et casques vissés sur la tête que les deux frères s’en vont rejoindre leur terrain de jeu favori. Au bord de la Méditerranée, Romain Ghio, l’aîné de la fratrie, tente une explication. « Je fais du windfoil, tandis que Mathis fait du wingfoil. À une lettre près, ce sont deux planches assez différentes. » La nuance, bien que fugace, souligne le caractère presque versatile d’une discipline qui n’a eu de cesse de se réinventer depuis son apparition dans les années soixante. « Le windfoil ressemble plus à ce que l’on appelle communément une planche à voile, avec une voile reliée au flotteur par un mât. Pour le wingfoil, celle de Mathis, la voile est tendue sur des boudins gonflables, plus légère et séparée de la planche. C’est un nouveau type de matériel, qui a émergé il y a moins de deux ans », poursuit Romain. Parmi les évolutions récentes dans les sports aquatiques, le « foil » qui placé sous la planche, fend l’eau et donne des ailes aux fanatiques de glisse. « Le foil est quelque chose d’incroyable. C’est un bras en carbone qui ressemble à des ailes d’avion et qui permet de répartir les forces verticalement. En faisant glisser la planche à un mètre au-dessus de l’eau, les sensations sont magiques. On se sent léger, comme libéré de l’attraction terrestre. D’ailleurs, les prochaines planches aux Jeux Olympiques seront équipées d’un foil », ajoute Mathis. 

 

Le petit monde de la planche à voile, les deux frères y baignent depuis leur plus jeune âge, grâce à leurs parents. D’ailleurs, le père de la famille a aussi repris la compétition lorsque Romain et Mathis ont commencé à prendre du galon, mais « sur une vraie planche à voile », précise le paternel qui ne semble pas partager le même goût pour le « foil » que ses deux fils. « Le foil engendre de très grandes vitesses. En pointe, Romain peut aller jusqu’à 60 km/h avec sa planche. Moi, je vais un peu moins vite, il n’empêche que ça peut vite être dangereux sans un minimum de connaissances », explique Mathis. Et les bases techniques de la discipline, les frères Ghio les ont surtout expérimentées à force de navigation. « Nous avons eu quelques interventions théoriques par la fédération de voile, mais en réalité, il y a des milliers de paramètres à prendre en compte sur le terrain. C’est un peu ce qui fait la magie de notre sport : parfois, une mauvaise appréhension de la forme d’un nuage ou d’un changement de vent selon la côte, peut peser dans une compétition. C’est un sport de nature et de sciences, finalement. L’effet venturi et les forces, j’en entends parler depuis que je suis gamin, alors j’ai souri lorsque l’on a abordé ces notions en cours », ajoute Romain, étudiant au département sciences et génie des matériaux.

Mathis avait jusqu’alors suivi les pas de son grand-frère en matière de sport. Mais depuis l’arrivée du wingfoil sur le bord des eaux, le jeune sportif de haut-niveau a changé de cap. « Je me consacre désormais à la wing, même s’il n’y a pas encore de lien aboli avec le sport de haut-niveau pour ce type de planche. Mais on en a vu tellement sur les plages cet été que la fédération n'a pas tardé à ajouter cette discipline dans ses clubs de voile », explique-t-il. « Ce qu’il oublie de dire aussi, c’est qu’il est officiellement passé pro, avec des sponsors et tout ! Et ça, c’est quelque chose », s’empresse d’ajouter Romain, l’air fier. 

Comme si tout se jouait en équipe dans la vie des deux frères, ils suivent leur scolarité dans la même école, à l’INSA Lyon. Mathis est en 2e année de FIMI, formation initiale aux métiers d’ingénieur et Romain, en 3e année de sciences et génie des matériaux. Conscients de la singularité de leur duo, ils nuancent tout de même. « Il est vrai que l’on est très complice dans la vie quotidienne, et finalement, nous avons tous les deux choisi l’INSA pour la même raison : continuer à mener nos études et notre carrière sportive en toute sérénité. Donc étudier dans la même école n’est peut-être pas un coup du destin », rit le cadet. « Je ne sais pas si on est partis pour suivre le même chemin, mais si Mathis choisit le même département de spécialité que moi, je commencerais à me poser des questions », poursuit l’aîné. 
Aussi bien sur l’eau que sur les bancs de l’école, les deux frères s’estiment heureux de pouvoir compter sur le regard de l’autre pour avancer. « On se pousse sans cesse, il n’y a pas de compétition entre nous. Si l’un gagne, l’autre avance aussi. C’est une histoire d’équipe, la famille », ajoutent-ils. 

Alors que les plages se vident et que les jours raccourcissent, les frères Ghio voient se profiler à l’horizon une rencontre qu’ils attendent avec une curieuse impatience : la rentrée des classes, en présentiel, un peu loin de la mer, mais les pieds bien sur terre. 

 

Pour aller plus loin sur le sujet : 
Podcasts « Les cœurs audacieux » -  Saison 1 / Épisode 7 - 8 juillet 2021
 

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07 juil
07/juil/2021

Vie de campus

« L’esprit de partage olympique me fait rêver »

Koceila Mammeri, badiste et élève-ingénieur en section sportive de haut-niveau à l’INSA Lyon, a vécu les derniers mois en montagnes russes. Alors qu’il était pressenti pour représenter l’Algérie aux prochains Jeux Olympiques, la crise sanitaire a finalement eu raison de sa participation : Tokyo lancera la cérémonie d’ouverture des JO le 23 juillet prochain, sans lui et son partenaire de double. Si les annulations et reports de qualifications dans plusieurs sports ont mis à rude épreuve le moral de beaucoup d’athlètes, l’étudiant franco-algérien en 3e année de génie mécanique prend la chose avec philosophie et se promet de revenir dans trois ans, encore « plus vite, plus haut et plus fort », comme le dit la devise.

Il y a quelques semaines, vous avez appris l’annulation des derniers tournois qui auraient pu vous qualifier pour les Jeux Olympiques de Tokyo 2021. Le moral, ça va ?
Pour être honnête, une fois le sentiment d’injustice passé, ça va ! On a surtout eu du mal à comprendre la décision de la BWF, la Fédération Internationale de badminton, d’annuler tous les tournois quand la plupart des sports reprennent, mais on relativise vite. Nous avions déjà bouclé nos valises quand on a su que les trois derniers tournois qui devaient se dérouler en Asie avaient été annulés… Pour l’Inde, on s’en doutait avec la dégradation de la situation sanitaire du pays, mais pour la Malaisie et Singapour, les chiffres de la Covid laissaient entrevoir un espoir. De toute façon, même si nous nous entraînions depuis longtemps pour l’objectif olympique, la qualification en 2021 n’aurait été que du bonus pour Sabri, mon coéquipier, et moi car nous visions surtout 2024. Ça fait partie de l’aventure aussi, j’imagine.

Comment fonctionnent les qualifications pour accéder aux JO en badminton ?
Pour être qualifiés, il fallait remplir deux conditions : être n°1 du continent africain et classé dans le top 50 mondial. Nous n’en étions pas loin : grâce à un beau tournoi gagné au Pérou fin avril, nous étions passés 46
e à la Race to Tokyo, mais il nous restait encore une paire africaine à dépasser… Nous avons raté la qualification de 800 points et de deux places. C’est vrai que c’est un peu rageant dit comme ça. Même si les JO de cette année risquent d’être très spéciaux, à cause de la crise sanitaire, j’aurais bien évidemment aimé y participer !

 

 

Justement, comment imaginez-vous les Jeux Olympiques ? C’est un rêve d’enfant d’y participer ?
C’est le rêve de tout sportif, je crois. En tout cas, c’est une sacrée consécration sportive. On dit de cette compétition que c’est l’expérience d’une vie et j’y crois. Je ne saurais pas comment décrire cela, mais imaginez un endroit où vous rencontrez des sportifs de tous les horizons, très différents et avec qui vous partagez la même passion : ça a quelque chose de magique, non ? Il y règne un esprit de partage et de solidarité et ça fait rêver. J’espère voir ça de mes propres yeux, presque à domicile en 2024 ! On va s’entraîner dur pour y arriver, d’autant que j’ai rejoint le programme spécifique mis en place au sein de l’école, « Projet Olympique 2020-2024 ». On met toutes les chances de notre côté.

Cette dernière année a-t-elle été difficile pour vous en termes d’entraînement ? Comment avez-vous tenu le coup pendant les différents confinements ? 
En tant que sportif de haut-niveau, j’ai finalement été bien loti car les salles ont rapidement rouvert, en mai 2020. Le premier confinement a été l’occasion de tester ma motivation, mais avec un gros objectif comme la qualification pour les JO, quand le cerveau hésite, c’est l’instinct qui prend le dessus. Je faisais des séances de sport à la maison et de la course pour être physiquement prêt dès la reprise des entraînements, mais qu’on se le dise, rien ne remplace le fait de pouvoir pratiquer dans un gymnase. Tous mes partenaires ont joué le jeu, mon club à Oullins, la section Sport de Haut-Niveau de l’INSA et Babolat, mon sponsor équipementier, m’ont toujours bien accompagné. D’ailleurs, merci encore à eux car en individuel ou en collectif, le sport est un travail d’équipe !

En parlant de partenaires, vous ne jouez pas seul, puisque vous concourrez en double-hommes avec Sabri Medel, qui vit en Algérie. Les restrictions sanitaires n’ont pas altéré la complicité de votre jeu ? 
Avec Sabri, on s’est rencontré par hasard, à l’occasion d’un championnat africain et par l’intermédiaire d’un entraîneur qui officie en France. On a joué ensemble, et ça a super bien fonctionné dès le début puisqu’on a remporté un tournoi. Il est gaucher, je suis droitier et sur le terrain, on se complète très bien : on a nos automatismes et nos petites « combines ». À cause des restrictions internationales, nous n’avons pas pu jouer ensemble pendant près d’un an, c’était long, mais on a l’habitude, lui étant en Algérie et moi à Lyon. D’habitude, nous voyageons beaucoup et nous essayons de faire des entraînements communs en fonction des endroits où nous nous trouvons : par exemple, je pars en échange Erasmus au Danemark à la rentrée prochaine. Comme c’est un pays phare du badminton en Europe, il me rejoindra. Cela fait cinq ans que notre duo fonctionne ainsi, et plutôt bien, alors confinement ou pas, je saurais toujours vous dire où il se trouve sur le terrain même en fermant les yeux !

 

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02 avr
Du 02/04/2021 16:00
au 02/04/2021 17:15

INSA Lyon

Think & Play Sport Webinar

Think & Play Sport : le sport INSA en avant sur la scène internationale

Si la période n’est pas vraiment propice au sport, cela n’empêche pas le Centre des Sports et la Direction des Relations Internationales de l’INSA Lyon de lui faire honneur en organisant un webinaire international Think & Play Sport, avec le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes.

Rendez-vous en ligne le vendredi 2 avril à 16h sur YouTube.

Toute la communauté, y compris les étudiants étrangers et universités internationales, sont invités à découvrir cette dimension forte de notre institution et composante de son ADN depuis 1957. Le sport étant obligatoire dans le cursus insalien, les options restent nombreuses et adaptées à tous les niveaux : cours spécialisés, loisirs, handisport, accueil d’athlètes internationaux, section sportive de haut niveau...

L’événement marquera aussi le coup d'envoi de la course INSA Global Race !

En équipe de 5, cette course virtuelle sur une application comptabilise vos pas quotidiens pour vous faire progresser sur une carte du monde, traverser des villes olympiques ont des étudiants INSA ont brillé, jouer à un quizz et gagner des équipements sportifs !

  • Pour recevoir le lien du webinaire, veuillez vous inscrire ici avant le 2 avril 15h (heure locale)

Evénement soutenu et co-financé par 

 

09 déc
09/déc/2020

Sport

Les derniers résultats sportifs de nos athlètes

Section Sport de haut-niveau -  septembre 2020

Sylvain Cachard – 3-4  IF – Course de montagne

Après une 8e place en 2018 et une 2e en 2019, Sylvain a remporté le championnat de France de course en montagne fin septembre à Superdévoluy. Il revient sur sa course :
« Le parcours, long de 12km et avec 800m de dénivelé, présentait trois différentes difficultés. Une première bosse de 300m de dénivelé, une deuxième très raide de 100m et pour finir la dernière de 400m de dénivelé avant de plonger vers la ligne d’arrivée. Durant la course, je me suis concentré sur mes sensations et je me suis retrouvé finalement assez vite en tête. Possédant une avance d’une trentaine de secondes à mi-course, j’ai tout donné dans la deuxième moitié pour ne pas me faire rattraper ; j’ai franchis finalement la ligne en première position avec 40 secondes d’avance. Ce premier titre élite est pour moi une très grande satisfaction et je suis vraiment très content d’avoir réussi à gérer cette pression de résultat assez nouvelle pour moi.
A l’approche de cette compétition qui était l’objectif principal de ma saison, j’étais pour la première fois au regard de mon début de saison 2020. L’air de rien, ce statut a été un petit peu dur à gérer et m’a demandé beaucoup d’énergie en amont de la course. De plus, la saison ayant été tronquée, ces championnats de France étaient la seule grande course encore maintenue. De ce fait, absolument tous les principaux candidats au titre étaient présents et au sommet de leur forme. De cette manière, c’était une compétition vraiment très stimulante et enrichissante pour la suite de ma carrière.
»
Depuis, Sylvain a enchaîné les victoires au mois d’octobre en remportant les Troféo Nasego et Smarna Gora. 

Jeanne Roche – 1FIMI – Aviron

Jeanne a participé aux Championnats d’Europe Junior le week-end du 26 et 27 septembre qui se sont déroulés à Belgrade en Serbie. Avec son équipe elle a remporté sa première médaille internationale. Elle nous explique le dérouler de la compétition :
« La compétition se joue en 3 étapes. D’abord des séries qualificatives, deux courses avec six bateaux alignés, les deux premiers bateaux sont automatiquement qualifiés pour la grande finale le lendemain, les autres doivent se disputer les deux dernières places pour la finale lors d’une course de repêchages l’après-midi. Nous avons terminé 2e de notre série à 3 dixièmes de seconde des troisièmes ! C’était une belle course qui nous a évité de justesse les repêchages. Le lendemain nous avons couru la finale qui grâce à une super couse nous a permis de nous classer 3e de ces championnats d’Europe et d’obtenir chacune notre première médaille internationale ! »
La saison est désormais terminée pour Jeanne qui reprendra le chemin des sélections nationales et des compétitions au printemps prochain.

Luca Priore – 2FIMI – Cyclisme sur piste

Luca a participé à plusieurs compétitions en septembre ; il est arrivé 3e de la course sur route de Mâcon et a remporté le challenge Gaby Coche de Lyon.

« C’était un retour à la compétition après 6 mois sans course. 3 épreuves d’endurance (pas ma spécialité) étaient au programme : course aux points, élimination et scratch. Peu de concurrents étaient présents, ce qui m’a permis de mieux contrôler la course pour essayer d’obliger mes concurrents à arriver au sprint sur les différentes épreuves, pour pouvoir jouer sur mes points forts. J’ai réussi à appliquer cette stratégie lors des deux premières courses en menant le peloton, j’ai pu contrôlé les éventuelles attaques et imprimer le rythme que je souhaitais. Lors de la troisième épreuve, mes adversaires ont tenté de m’attaquer en accélérant le rythme, mais j’ai réussi à les contenir pour arriver au sprint. J’ai remporté ainsi les 3 épreuves et donc le challenge Gaby Coche. C’était une super journée de compétition très appréciée après une longue période d’entraînement, qui m’a permis de me rassurer et de me situer pour la suite des échéances. »
Après cette course, Luca est arrivé 3e de la course sur route de Mâcon avec plus de 50 participants à l’arrivée, malgré une pluie torrentielle ! C’est donc en confiance qu’il abordera les prochaines compétitions. Malheureusement son objectif de saison, les championnats de France sur piste ont été annulés.

 

 

Mots clés

07 sep
07/sep/2020

INSA Lyon

Les brèves de la quinzaine

Innovation. Le diplômé INSA 2012, Raphaël Vullierme, a cocréé « Luko », une application mobile dont l’ambition est de réinventer l’assurance habitation. Ses maîtres mots : simplicité, utilité et transparence.

Sport. Sylvain Cachard, l’étudiant sportif de haut niveau, se place en 4e position de la Fletta Trail Maschile, qui a eu lieu en Italie en août dernier. Même si la victoire était proche pour l’élève-ingénieur, il signe tout de même deux performances de niveau mondial qui font de lui « l’homme fort de la discipline en France. »

Recherche. Alors que le laboratoire DEEP s’applique à développer son programme de valorisation de sédiments pluviaux nommé DESIR, le bassin de rétention expérimental de l’observatoire de terrain en hydrologie urbaine (OTHU) à Chassieu a accueilli de nouveaux pensionnaires, tout droit sortis… D’un cirque.

Vie associative. Nommé en mars dernier, le président d’ETIC INSA Technologies, Erwan Cavelier, s’est rendu sur le plateau de la chaîne spécialisée BFM Business pour présenter le cœur de métier de la junior-entreprise.

Exposition. Seul, en collectif, de jour comme de nuit, en loisir ou en compétition, le sport occupe une place de choix à l’INSA. Depuis 60 ans, l’association sportive (AS) porte haut et fort des valeurs qui lui sont chères : partage, solidarité, diversité et courage. Du 10 au 29 septembre 2020, l’AS revient sur soixante années de défis et d’aventures, à travers une exposition photos itinérante aux quatre coins du campus.

 

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26 mar
26/mar/2020

Vie de campus

Le programme sportif 100% INSA

La pratique sportive fait partie intégrante du modèle INSA. En ces temps de confinement, il est plus que nécessaire de l’adapter au quotidien des élèves et des personnels. C’est la mission que relève le centre des sports de l’INSA Lyon. Échange avec Caroline Bessac, directrice du centre des sports. 

Comment avez-vous vécu l’annonce du confinement ?
L’annonce du confinement total est arrivée pour moi par vagues successives, chacune apportant son lot d’informations sur le virus, les restrictions et les risques. À chaque vague, je comprenais de plus en plus et prenais conscience du mode de vie que nous allions devoir adopter. Lorsque l’annonce est tombée, j’étais avec mes équipes de basket. Alors que nous parlions de nos projets pour les mois à venir comme les championnats de France des Grandes Ecoles et les EUSA Games à Belgrade, nous avons compris que nous ne pourrions certainement pas les réaliser. Une fois le confinement mis en place, je me suis préoccupée des conditions de travail de tous mes collègues, de la continuité des enseignements et surtout l'envie de garder le lien avec nos élèves !

Pourquoi conseillez-vous de faire du sport ?
La pratique sportive est difficile à réaliser en période de confinement, mais l’activité physique devient encore plus indispensable. Elle permet de se dépenser, de structurer sa journée en variant ses activités et de mobiliser son corps soumis à plus de sédentarité. Autrement dit de contribuer à son bien-être. Cependant, je tiens à rappeler qu’il ne faut pas le pratiquer de façon trop sollicitante pour le système cardio vasculaire lorsqu’on est fiévreux et malade. Il faut également respecter une certaine progressivité, être à l’écoute de ses sensations et s’octroyer des temps de récupération.

Comment les cours à distance en EPS sont-ils possibles ?
L'essentiel est de garder le lien avec nos élèves, de savoir s'ils vont bien et de les inciter à poursuivre leur pratique physique et sportive régulièrement. Nous diffusons au moins une fois par semaine par email et sur notre plateforme pédagogique des recommandations et des entrainements variés. Nous partageons des vidéos existantes sur internet et nous nous sommes même prêtés au jeu en élaborant nous-mêmes des programmes d’entrainement spécifiques : renforcement musculaire, méthode Pilates, exercices cardio, Crossfit, HIIT* et running. Le tout respectant bien évidemment les recommandations ministérielles de ne pas s’éloigner de son lieu de résidence et d'en limiter la durée. 
Une des finalités du Centre des Sports, est d’amener nos élèves futurs ingénieurs à l’autonomie de la pratique physique et sportive. Plus que jamais, ils prennent conscience de son importance et en deviennent responsables. 

Quelles actions concrètes avez-vous mis en place pour suivre vos élèves ?
Plusieurs initiatives ont été prises par les enseignants du centre des sports, montrant la diversité de nos approches et leur implication : fiche de suivi des programmes de préparation physique notamment avec nos élèves compétiteurs de l'association sportive, défis, vidéos des élèves pour partager leurs pratiques, cours en visio. De mon côté, j'ai donné ma première séance en visio ce lundi midi en animant un cours de sophrologie. Il s’est très bien passé et a permis à nos élèves en situation de pratique adaptée d’y participer, d’avoir un moment de la journée pour se déconnecter, se détendre et se retrouver. Les retours de nos élèves sont très positifs, ils répondent présents, se prennent en charge et apprécient notre démarche. De son côté, la Direction de la formation, a respecté le jeudi après-midi libéré de cours, pour favoriser ce temps de pratique et d'échanges entre élèves et enseignant d'EPS.

Qu’est ce qui est mis en place spécifiquement pour les personnels ?
Tout ce que nous avons fait pour les élèves est partagé aux personnels. Nous souhaitons leur proposer des entrainements plus adaptés à leur profil et leur problématique de télétravail. Certains d'entre eux sont des sportifs confirmés et ont déjà adapté leur pratique au confinement, d'autres apprécieront d'être guidés et conseillés régulièrement. Nous mettons dès à présent à disposition sur l'Intranet des exercices en fonction des besoins de chacun. Nous ferons évoluer ces programmes deux fois par semaine pour fixer un rendez-vous régulier. Nous envisageons également de proposer des cours spécifiques en visio sur des plages horaires définies. Ces rendez-vous permettront de palier à l’isolement, de décloisonner et de créer une communauté autour du sport et bien-être.

Quel est le plus gros défi à relever ? 
Entretenir les liens qui existent entre tous les acteurs de l’INSA, étudiants comme personnels. Plus que jamais, nous devons garder la fierté d’appartenance à l’INSA et inciter les actions de solidarité. Nous favorisons les échanges de bonnes pratiques pour créer de l’émulation et de l’envie. Notre contribution est de permettre à tous de suivre un programme sportif « 100% INSA » et de fixer des rendez-vous réguliers pour découvrir de nouveaux entrainements et conseils. Également, nous allons organiser des défis qui permettront à tous de s’entrainer et garder la forme. L’objectif ? Progresser et créer un réflexe quotidien ! 

Pour aller plus loin : 

Quelques liens sélectionnés pour vous :

Retrouvez les conseils et les programmes des enseignants d'EPS du centre des sports :

  • Sur l’intranet du centre des sports (accès réservé INSA) : 2 fois par semaine
  • Sur Moodle (accès réservé INSA) : Centre des sports – Continuité des activités pédagogiques en EPS – Pour rester actifs
 

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