
Vie de campus
Sportive et Sportif de l'année 2022-2023
🏆 Pas loin de 3 000 membres de la communauté INSA Lyon se sont prononcés pour élire la sportive et le sportif de l’année 2022 - 2023 de la section sportive de haut-niveau.
Les titres reviennent cette année à :
- Camille Droguet en 5e année de génie mécanique et championne du monde de basket ⛹️♀️🏀de moins de 23 ans (3x3)
- Mathis Ghio en 2e année au département FIMI et champion du monde 2022 Elite de Wingfoil race ⛵️

Sport
Basket // Tournoi International INSA Lyon
Le TIIL, Tournoi International INSA Lyon, est le premier tournoi de basket international organisé sur le campus de l'INSA par l'association BASIC ! Du 28 avril au 1er mai, venez profiter d'une ambiance festive et d'activités uniques autour d'une compétition sportive de haut niveau !
L'association de basket de l'INSA Lyon, BASIC, organise pour la première fois en cette année 2023 le Tournoi International INSA Lyon.
Cet évènement sportif de haut niveau, labellisé Génération 2024, réunira des équipes de basket venant d'universités de toute l'Europe, et offrira des animations sur le campus de l'INSA tout au long du weekend.
Toutes les rencontres sportives et activités seront accessibles au public : buvette, finales du tournoi le dimanche soir, show des Crazy Dunkers, soirée de clôture... et plus encore !
Un rendez-vous à ne pas manquer !
Informations complémentaires
- assobasic@gmail.com
- https://tiiltournament.wordpress.com/
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Campus INSA Lyon
Mots clés
Derniers évènements
Journées Transmissions Mécaniques 2025
Du 16 au 17 juil
Vie de campus
Que font nos étudiants cet été ?
Les dernières copies sont rendues et les turnes vidées de leurs habitants ; le campus est désormais déserté par les 6 000 étudiants qui le parcourent quotidiennement durant l’année. Nous sommes allés à la rencontre de plusieurs étudiants de l’INSA Lyon pour leur poser la question suivante : « qu’est-ce que vous faites pour les vacances ? ». Au programme : recherche de sens, volonté de réduire son impact environnemental et belles rencontres.
Noëlie vient de passer son échange Erasmus à Trondheim, en Norvège. Étudiante en 4e année de génie énergétique et environnement, elle n’a pas souhaité prendre l’avion pour le trajet retour. Cette jeune fondeuse amatrice de vélo a profité de l’occasion pour vérifier l’adage qui prétend que le chemin est plus important que la destination. « Dès le 22 juillet, je rentrerai en France à vélo, en longeant la côte de la mer Baltique. Cette décision vise à réduire l’impact carbone total de mon échange universitaire, et est en lien avec le PassCarbone mis en place par notre département de formation qui nous incite à calculer notre empreinte sur l’environnement », explique Noëlie Maurin. Désireuse de donner un double sens à son voyage, elle souhaite également partager l’aide reçue sur sa route. « J’aimerais pouvoir transformer chaque coup de pouce en un don à l’association Solidarité Eau Sud qui agit pour le développement de l’accès à une eau de qualité. Ainsi, chaque repas, accueil, aide mécanique ou don financier permettra de soutenir les activités de l’association. » Noëlie a prévu d’arriver à destination en septembre prochain. Avec un calendrier plus large que celui dont elle aurait normalement besoin pour parcourir les 4 000 kilomètres qui la séparent de son arrivée, elle prendra le temps d’aller à la rencontre des gens et espère pouvoir mener des échanges sur les enjeux liés à l’eau.
Noëlie Maurin rentrera de son échange Erasmus à vélo dès le 22 juillet.
Malgré les fortes chaleurs, il semblerait que le trajet « actif » ait le vent en poupe cet été. Dimitri Lazarević, Walid Da Costa, Antoine Sermet, Maximilien Tessier et Benjamin Marre ont eux aussi été séduits par l’idée de la traversée à faible impact. Avec leur projet intitulé « la course pour le climat », les élèves-ingénieurs ont traversé la France, de Lyon à Paris, avec une ambition : militer pour la nécessité de changer de modèle de société tout en présentant des alternatives de vie durables et souhaitables pour l’avenir de la planète. Dès le 20 juin, le petit peloton de coureurs et cyclistes, a pris le temps du voyage pour aiguiser ses réflexions personnelles et collectives sur la question du climat. « Sur le trajet, nous avons été accueillis par des mairies, des campings et des particuliers sensibles à notre cause. Ce fut l’occasion de dialoguer mais aussi de réfléchir à nos perceptions et nos ressentis sur le sujet. Nous avons publié plusieurs vidéos sur les réseaux sociaux qui font office de carnets de voyage, où l’on aborde autant nos petites galères techniques que des vrais sujets de fond. Cela nous a permis de partager les idées associées à notre aventure plus largement possible », explique Dimitri Lazarevic, porteur du projet. Rejoints par d’autres courageuses et courageux sur le trajet, les étudiants de génie civil et urbanisme sont arrivés 17 jours plus tard à la capitale, accueillis par la directrice de l’Académie du Climat et un adjoint à la mairie de Paris chargé de l’écologie et de l’énergie.
L’équipe étudiante de la « course pour le climat » arrivée
à Souppes sur Loing (Seine-et-Marne) pour leur 14e étape.
Pour les basketteuses de l’INSA Lyon, l’été 2022 sera l’occasion d’enfin participer aux EUSA Games 2022, en Pologne, une compétition reportée depuis la crise sanitaire. Qualifiées en 2019, les joueuses, vice-championnes de France de basket universitaire, n’avaient pas encore eu l’occasion d’affronter leurs homologues européennes. Leur coach et directrice du centre des sports de l’INSA Lyon, Caroline Bessac est admirative et fière de son équipe. « Notre école peut compter sur de nombreux champions en sport individuel mais il est assez rare qu’une équipe soit qualifiée à un tel niveau de compétition en sport collectif. Pour se hisser à cette qualification, nous avons dû nous mesurer à des équipes universitaires de grande taille. Malgré la crise sanitaire, la situation internationale et l’évolution des parcours personnels de chacune, nous avons réussi à nous retrouver à Lodz. Désormais, l’objectif est d’aller le plus loin possible dans la compétition. » Objectif : championnes de l’EUSA 2022 donc, pour les basketteuses insaliennes qui espèrent pouvoir fêter leur victoire à leur retour sur le campus insalien, après le 31 juillet.
L’équipe de basket féminin lors d'un stage de préparation physique aux Saisies.
Côté campus, Ariane Desclaux, élève-ingénieure en 4e année de génie industriel, a décidé de consacrer une partie de son été à accueillir ses nouveaux camarades arrivant à l’INSA. Coordinatrice des écoles d’été, elle veillera durant le mois d’août à ce que chacun des nouveaux arrivants soit bien installé. « Je devrais m’assurer que tout soit prêt, que tout le monde ait les bonnes infos et qu’aucun détail ne soit négligé ! », explique-t-elle. L’école d’été accueillera ainsi les étudiants étrangers, les élèves de la formation active en sciences et les admis directs en deuxième année. En journée, des cours de FLE pour les étudiants internationaux, des mathématiques, des sciences élargies et un module « diversité ». « En plus de ce programme pédagogique, les équipes du BdE proposeront une activité chaque soir et week-end. Du sport, des jeux de société, des quizz, des buffets, des séjours à thèmes… L’idée est de ne laisser personne de côté, tout en faisant vivre le campus souvent vide à cette époque de l’année ». Ce job étudiant a un sens tout particulier pour Ariane, qui originaire de l’île de la Réunion, se souvient de ses premières semaines à l’INSA Lyon. « J’ai moi-même eu l’occasion de participer à l’école d’été lorsque je suis arrivée sur le campus alors je sais ce que c’est que d’arriver pour plusieurs années dans un endroit qui se trouve loin de chez soi ! Je veux faire au mieux pour que chacun se sente bien dans son nouvel environnement et puisse attaquer la rentrée en beauté », conclut Ariane.
L’école d’été de l’année 2021-2022

Sport
Nuit du basket
Rendez-vous à l'UFRAPS pour une soirée de tournois 3x3 pour seulement 2€ avec un ÉCOCUP !! Créez votre team de 3 à 6 personnes et venez défier les autres teams inscrites !
Accessible pour tous niveaux avec un tournoi plutôt chill et un tournoi compétition. Un évènement sportif mais pas que, si la situation sanitaire le permet, petite restauration. Lots à gagner.
Seulement 2€ + ÉCOCUP.
Informations complémentaires
- fanny.cremier@insa-lyon.fr
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UFRAPS - Terrains de sport
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Du 16 au 17 juil
Formation
« Faire du mieux possible : c’est ainsi que je souhaite mener ma carrière de basketteuse-ingénieure »
À tout juste 25 ans, Clarisse Legrand, diplômée du département génie mécanique de l’INSA Lyon, signe son premier contrat de basketteuse professionnelle au Basket Club de Montbrison. Après un cursus aménagé, cette ancienne élève de la section sport de haut-niveau s’est retrouvée propulsée en ligue féminine 2, une chose rare dans le monde du basketball professionnel qui recrute généralement ses joueuses plus jeunes. Pour Clarisse, « rien ne sert de courir, il faut partir à point ».
Après sept années de « double vie » d’élève-ingénieure et sportive de haut-niveau, vous voilà désormais diplômée et basketteuse professionnelle. Briller en sport collectif est déjà une prouesse, et vous l’avez fait en même temps que vos études. Quel est votre secret ?
Effectivement, j’ai longtemps mené deux parcours de front, entre l’INSA et le centre de formation de l’ASVEL ou l’équipe professionnelle de Charnay. Ça n’a pas toujours été facile de concilier les deux, malgré l’aménagement de mon cursus, car le sport collectif à haut niveau est contraignant en termes d’organisation avec les entraînements à heure fixe et les déplacements réguliers. Au milieu de mes études, j’ai d’ailleurs dû faire un choix : continuer en ligue professionnelle et mettre mes études de côté, ou redescendre de niveau pour continuer à vivre les deux. Et lorsque l’on fait un choix de ce type, on n’a jamais la certitude de pouvoir revenir à haut-niveau, plus tard. J’ai fait mon choix en toute conscience à l’époque : j’ai choisi les études d’ingénieure mécanique pour la simple raison que s’assurer un métier qui nous plaît vraiment pour le reste de sa vie, c’est important. Ensuite, j’ai eu la chance qu’un agent croit en mon projet à la sortie de mes études. Autant sportivement qu'humainement, mon profil était attractif et s’accordait bien avec les autres filles de l’équipe. C’est très important de faire corps avec son équipe dans notre sport.
En parlant d’équipe, vous suivez actuellement un Executive Master en management à distance. Vous avez des projets en vue ?
Je voudrais que ma carrière d’ingénieure puisse me permettre de combiner mes compétences techniques d’ingénieure au côté humain, qui me tient à cœur car j’aime collaborer en équipe. Et ce diplôme de management à distance était parfait, car il me permet d’étudier à mon rythme. Je crois aussi que je me suis lancée dedans pour préserver un certain équilibre personnel, car bien que j’adore mon sport, il est important de pouvoir compter sur une autre activité pour penser à autre chose et prendre de la distance. Pour le moment, je n’ai pas encore de projet professionnel bien défini concernant ce que je ferais après ma carrière de basketteuse. Il faut parfois savoir se laisser guider par le temps. Même si j’espère faire encore quelques saisons en tant que sportive professionnelle, je ne me fais pas d’illusions : vivre du basket féminin est encore très difficile.
Est-il plus facile de vivre du basket masculin ? La question de l’égalité des genres est-elle une question qui vous tient à cœur ?
D’un point de vue médiatique, la différence est flagrante. Avez-vous déjà vu un match de basket féminin à la télévision ? Il y en a, bien heureusement, mais c’est rare. C’est qu’il y a encore beaucoup de progrès à faire en matière de représentation des femmes dans le sport, et le basket ne fait pas exception. Contractuellement parlant, c’est aussi plus compliqué pour une femme de vivre de son activité sportive. Contrairement au basket masculin, il n’y a pas de convention collective qui encadre un minimum de revenu pour une basketteuse professionnelle par exemple. Dans le basket, il y a beaucoup de joueuses professionnelles qui défendent nos droits. Je serai peut-être l’une d’elles un jour, mais aujourd’hui, je débarque tout juste dans ce monde. Il me faut du temps pour en comprendre les rouages. Dans tous les cas, je suis consciente que les inégalités ne s’arrêtent pas au basket ; elles existeront aussi dans ma carrière d’ingénieure ou elles auront diminué d’ici-là, j’espère.
N’existe-t-il pas des similitudes plus réjouissantes entre la carrière de basketteuse et celle d’ingénieure ?
Je crois qu’il y en a un point commun évident et qui cadre parfaitement avec la personne que je suis : le travail d’équipe. J’aime l’idée que, dans le basket ou dans une entreprise, le groupe soit la concentration de différents potentiels individuels qui, s’ils sont correctement exploités, fassent avancer la machine. Je suis une sportive alors j’aime que les choses bougent et qu’il y ait un mouvement perpétuel avec des objectifs à atteindre. Finalement, en sport ou ingénierie, lorsque l’on manque un objectif, on a cette possibilité de décortiquer le mouvement ou le système de jeu pour comprendre, rebondir et faire mieux la prochaine fois. C’est ce qui me guide dans la vie : toujours faire du mieux possible.

Sport
Nuit du Basket (BASIC) - Labellisé 60 ans de l'AS
En partenariat avec l'AS INSA Lyon pour ces 60 ans, l'association BASIC [Basket Insa Club] organise sa traditionnelle nuit du basket sous format 3v3.
Cette année encore, l'association BASIC de basket de l'INSA Lyon organise sa traditionnelle nuit du basket ! Quel que soit ton niveau, viens défier les autres équipes en 3v3 en tournois loisirs ou compet', par équipe de 3 à 5 🏀
Pour seulement 1€ de cotisation par personne (en liquide ou par Lydia), BASIC t'offre crêpes et boissons gratuitement ! Alors viens te dépenser en musique avec tes potes 🔥 Que ça soit pour te défouler ou tout gagner.
Informations complémentaires
- basic@asso-insa-lyon.fr
- https://www.facebook.com/events/173333380755259/
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GYMNASE DE l'UFRAPS - 20h30
Mots clés
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Journées Transmissions Mécaniques 2025
Du 16 au 17 juil
Vie de campus
Gaëtan Charlot élu "Sportif de l'année" par la communauté INSA.
Chaque mois un étudiant sportif de haut niveau (SHN) est élu « sportif du mois ». Depuis 4 ans maintenant la communauté INSA élit le sportif SHN de l'année parmi les sportifs du mois !
Cette année, ils étaient 10 à concourir pour le titre de sportif de l’année, remporté en 2017 par Thibault Colard en aviron pour sa médaille olympique aux JO de Rio, en 2016 par Fanny Gibert en escalade pour son titre de championne de France élite sénior de Bloc et en 2015 par Sophia Bouderbane championne d'Europe Espoir de Karaté.
Gaëtan Charlot en 2e année au Premier cycle a été élu avec 23.02% des 1985 voix recueillies !
Il revient sur son parcours :
« Handicapé de naissance, diplégique exactement ; je souffre d’une malformation neurologique qui entraine une sorte de déconnexion musculaire de mes membres inférieurs qui m’empêchent de marcher. Je peux me déplacer sur quelques mètres grâce à un médicament, le baclofène, diffusé en permanence dans mon corps grâce à une pompe placée sous ma peau.
J’ai découvert l’escrime par hasard à 7 ans et petit à petit, grâce à ce sport d’opposition, d’assauts de duels, d’analyse, j’ai pris confiance en moi. L’escrime a été précurseur ; ça a été ma première activité où j’ai pu me confronter aux autres et au monde valide, où je me suis rendu compte qu’à égalité, assis dans un fauteuil, je pouvais faire face aux situations et jouer d’égal à égal. Ça m’a libéré…
Ensuite, j’ai enchainé les activités. J’ai effectué à peu près tout ce qu’une personne en situation de handicap est capable de réaliser : basket, ping-pong, ski, fauteuil tout terrain, handi-wake, canoë-kayak, jet-ski, quad, tir-à-l’arc… Au final, j’ai gardé l’escrime, ma discipline principale et le basket, mon activité de loisir.
D'abord fleurettiste, je me suis orienté vers l'épée. J'adore cette activité car le respect de l'adversaire en constitue l'essence. Il combine finesse, pugnacité, réflexion, vitesse et spontanéité, soit une panoplie de qualités à maitriser qui en font un sport très complet. D'autre part – contrairement à l'escrime valide où les compétiteurs passent beaucoup de temps à avancer et reculer tout en sautillant sans croiser le fer – être en fauteuil fait que l’on est constamment à portée de son adversaire. La pratique en « handi » en fait un sport beaucoup plus spectaculaire et cela est plus que rare pour être signalé.
J'ai intégré l’an dernier l’INSA, filière SHN en 2016. En émettant le vœu de rejoindre cette école, j’espérais mener à bien mon double projet : ingénieur et sportif de haut niveau avec en point de mire l'objectif de participer aux jeux paralympiques de Tokyo en 2020 ou Paris 2024.
Aujourd’hui, après bientôt deux ans de présence au sein de cette école, je me rends compte que j’ai vraiment fait le bon choix. Tout est mis en œuvre ici pour réussir dans les deux domaines, reste pour ma part à travailler et faire les efforts nécessaires.»
Si Gaëtan a été élu sur ses performances de mai 2017, il enchaîne les beaux résultats en 2018. Il a terminé 2e par équipe et 8e en individuel à la coupe du monde qui a eu lieu à Montréal en avril 2018. Il a également remporté 3 étapes du circuit national dont la dernière victoire date du 3 juin 2018 à Bordeaux. Il a joué la finale face à Romain Noble, 7e mondial, sûrement une de ses plus belles victoires.
« Lors de cette finale, je n’ai pas explosé sur les premières touches et ai fait jeu égal en début d’assaut (2-2) ; c’est alors que j’ai sorti le grand jeu et à la surprise générale pris le dessus ! Le public attendait un retour de l’adversaire que l’on pensait inéluctable. Le suspens était terrible car le score semblait irréaliste mais je n’ai rien lâché. La dernière touche était magique : la pointe de mon épée a effleuré la main de mon adversaire au moment où celui-ci allait m’asséner un de ses coups dont il a le secret. Trop tard, la lampe verte s’est allumé, synonyme de victoire. Je n’en revenais pas, j’ai dû regarder le score avant d’éclater de joie ; je venais de battre l’icône de l’handi escrime français, champion paralympique par équipe à Rio. »
Cet exploit vient consolider sa première place au classement en cours des épéistes français et illustre la grande qualité de nos sportifs !
Félicitations à lui pour le titre de sportif de l’année et aux SHN pour leurs résultats d’exception et un grand merci à tous ceux qui participent aux élections des sportifs du mois !