
Sciences & Société
Soutenance de thèse : Éléonore GENDRY
Évolutions des régimes de travail industriel et mutations urbaines: L’exemple de l’entreprise Berliet et de l’agglomération lyonnaise : 1950-2020
Doctorante : Éléonore GENDRY
Laboratoire INSA : EVS
École doctorale : ED483 : ScSo (Histoire, Géographie, Aménagement, Urbanisme, Archéologie, Science Politique, Scociologie, Anthropologie)
Les relations entre l’activité et l’urbanisation sont aussi anciennes que l’existence des villes. Si ces liens ont particulièrement été étudiés pour les périodes du XIXe siècle et du début du XXe siècle, leur observation n’est que peu détaillée après-guerre. Or, l’industrie n’a jamais été aussi présente dans notre environnement dessinant des sociétés hyper- industrielles caractérisées par un continuum entre la production de biens et de services, la consommation de masse, les industries financières et culturelles, engendré par le développement du numérique. Pour saisir plus précisément les transformations urbaines héritées des évolutions de l’industrie, cette recherche s’intéresse aux mutations du travail ; ces dernières étant elles aussi liées aux changements industriels.
L’étude porte plus particulièrement sur l’usine de production de véhicules industriels Berliet implantée depuis 1917 sur les communes de Vénissieux et de Saint-Priest dans l’agglomération lyonnaise. Pour appréhender les mutations du travail au sein de cette entreprise, l’enquête s’intéresse à l’évolution de la production des moteurs Berliet entre 1950 et 2020 à l’aide des traces laissées par ces changements : journaux d’entreprise, correspondances, rapports et ouvrages spécialisés, plans ou encore photographies. Des entretiens menés auprès d’actuels ou d’anciens salariés de l’entreprise explicitent certaines traces lacunaires.
À l’issue de cette enquête, les transformations urbaines liées aux mutations du « travail industriel » s’observent autour de l’organisation et de la distribution de l’appareil productif, de l’habitat et des infrastructures de transport. Considérant l’observation de ces interdépendances entre l’industrie et la ville, il peut être avancé que des états urbano-industriels se distinguent au sein de l’agglomération lyonnaise simplifiés en deux morphologies urbaines idéales-typiques : l’une industrielle (1950-1973), l’autre hyper- industrielle (2000-2020). L’observation de ces états, caractérisés par des encastrements multiples entre industries, logements, infrastructures, etc., incite à concevoir les politiques industrielles comme une politique globale s’intéressant à l’activité productive, mais aussi aux questions du logement ou des déplacements.
Informations complémentaires
-
Amphithéâtre Ouest, Bâtiment des Humanités, INSA-Lyon (Villeurbanne)
Derniers évènements
Ateliers danse avec la Cie MF
Les 15 et 22 mai 2025
Sciences & Société
Le réaménagement de la rive droite du Rhône à Lyon
Conférence de Marjorie Salles, Directrice de projet, Agence BASE
Dans le cadre des midis de l’aménagement, organisés par le département GCU et la composante EVS de l’INSA Lyon, nous recevons Marjorie Salles, Directrice de projet au sein de l’Agence BASE pour nous parler de la requalification des berges du Rhône à Lyon.
Le projet de réaménagement de la Rive droite du Rhône, porté par la Métropole de Lyon, a été conçu par l’agence de paysage et d’urbanisme BASE. Ce réaménagement vise à renouveler le lien entre le fleuve et la ville. Il s’agit de faire des berges un lieu à la fois de vie sociale, de loisirs et de biodiversité. Le nouvel aménagement, qui s’étendra sur 2,5 km, comprendra des terrasses et des belvédères ; environ 1200 arbres seront aussi plantés.
Le chantier débutera en 2025 pour une fin attendue en 2030.
Informations complémentaires
- sophie.vareilles@insa-lyon.fr
- https://objeturba.hypotheses.org/1034
-
Amphi Freyssinet, INSA Lyon, bâtiment E. Freyssinet, 8 rue des sports, 69 100 Villeurbanne
Mots clés
Derniers évènements
Ateliers danse avec la Cie MF
Les 15 et 22 mai 2025
Sciences & Société
La “ville perméable”. Le cas de la Métropole de Lyon
Conférence de Christian Arlet, Direction du cycle de l’eau, Métropole de Lyon
Dans le cadre des midis de l’aménagement, organisés par le département GCU et la composante EVS de l’INSA Lyon, nous recevons Christian Arlet, responsable de l’équipe “Ville perméable” de la Direction du cycle de l’eau de la Métropole de Lyon pour nous parler de la politique de gestion des eaux urbaines de l’agglomération lyonnaise. La Métropole de Lyon est reconnue pour sa gestion intégrée des eaux urbaines, notamment son utilisation des techniques alternatives au réseau d’assainissement depuis les années 1990. En 2014, la Métropole de Lyon lance le projet “Ville perméable”.
Ce projet vise à désimperméabiliser les sols urbains et à privilégier l’infiltration des eaux pluviales sur site. Au cours de la période 2017-2019, la collectivité territoriale a désimperméabilisé 113 ha. D’ici 2026, il s’agira de désimperméabiliser 400 ha supplémentaires : voirie, cours d’école et de collège, cours d’immeubles sont concernées.
Informations complémentaires
- sophie.vareilles@insa-lyon.fr
- https://objeturba.hypotheses.org/1008
-
Amphi Freyssinet, INSA Lyon, bâtiment E. Freyssinet, 8 rue des sports, 69 100 Villeurbanne
Mots clés
Derniers évènements
Ateliers danse avec la Cie MF
Les 15 et 22 mai 2025
Sciences & Société
Conférence – Le projet urbain du quartier Terraillon (Bron)
Dans le cadre des midis de l’aménagement, organisés par le département GCU et la composante EVS de l’INSA Lyon, Elvan Arik, Directeur Adjoint Politique de la Ville de Bron interviendra pour parler du projet urbain du quartier Terraillon à Bron.
Construit dans les années 1960 au nord de Bron, 6 700 personnes résident aujourd’hui dans le quartier Terraillon. Depuis 2008, un important projet urbain mené par la Métropole de Lyon, la Ville de Bron et l’État, a déjà profondément modifié la configuration de ce quartier. Cette transformation va se poursuivre jusqu’en 2030 dans le cadre du Nouveau programme national de renouvellement urbain. Son objectif est de rendre le quartier plus animé, plus dynamique et plus attractif (d’après le site de la Métropole de Lyon).
Informations complémentaires
- sophie.vareilles@insa-lyon.fr
- https://objeturba.hypotheses.org/758
-
Salle IOA, 1er étage, INSA Lyon, bâtiment E. Freyssinet, 8 rue des sports, 69 100 Villeurbanne
Mots clés
Derniers évènements
Ateliers danse avec la Cie MF
Les 15 et 22 mai 2025
Sciences & Société
Conférence – Les Voies Lyonnaises
Dans le cadre des midis de l’aménagement, organisés par le département GCU et la composante EVS de l’INSA Lyon, Guillaume Julien Neveu, Directeur projet des Voies Lyonnaises, à la Métropole de Lyon interviendra pour parler de ce projet.
Le réseau des Voies Lyonnaises représentera 250 kilomètres en 2026, et 355 kilomètres en 2030. Il comprend 12 lignes et est pensé comme un réseau en commun qui reliera le centre de l’agglomération aux communes périphériques et inversement. Il doit encourager la pratique du vélo en assurant la sécurité des cyclistes (d’après le site de la Métropole de Lyon).
Informations complémentaires
- sophie.vareilles@insa-lyon.fr
- https://objeturba.hypotheses.org/736
-
Salle IOA, 1er étage, INSA Lyon, bâtiment E. Freyssinet, 8 rue des sports, 69 100 Villeurbanne
Mots clés
Derniers évènements
Ateliers danse avec la Cie MF
Les 15 et 22 mai 2025
Recherche
« Face aux modes de travail qui évoluent, il faut s’attendre à ce que la ville se transforme »
Le télétravail pourrait-il modifier l’organisation des villes ? Au sein du laboratoire Environnement Ville et Société, Éléonore Gendry, doctorante, étudie de près les mutations urbaines de la Métropole de Lyon. Depuis l’invention de la machine à vapeur, les territoires semblent avoir évolué au rythme des révolutions techniques. Et si leur organisation était désormais concernée par les nouveaux modes de travail de plus en plus numérisés ? Sous la direction de Jean-Yves Toussaint, enseignant à l’INSA Lyon et responsable scientifique et technique du Labex Intelligences des Mondes Urbains, dont est labellisé son sujet de thèse, Éléonore construit des ponts entre la ville et les habitudes de travail. Elle explique.
Votre sujet de recherche consiste à mettre en parallèle les évolutions des modes de travail et celles de la morphologie de la Métropole de Lyon. Pourquoi ?
Notre étude s’appuie sur l’hypothèse que le travail joue un rôle important sur la transformation de nos villes. Aujourd’hui, les zones industrielles telles que nous les connaissons incluent des commerces ou des restaurants, des infrastructures de transport en commun ou des espaces verts, mais il y a cinquante ans, une toute autre organisation urbaine existait. Face aux prochaines mutations du travail, il faut s’attendre à ce que les aménagements de la ville évoluent aussi. Mon travail de thèse s’attarde à étudier le territoire lyonnais de 1950 à aujourd’hui, pour en tirer des conclusions et imaginer, en toute humilité, ce à quoi elle pourrait ressembler dans plusieurs années. Et notre ville a déjà connu de beaux exemples de mutations de territoire par le travail.
Vue aérienne de l’usine de Vénissieux, 1950
Fondation de l’automobile Marius Berliet - Lyon (1950)
Quels types de mutations par exemple ?
Lorsque l’on s’attarde sur l’histoire de la société des automobiles de Marius Berliet, aujourd’hui Renault Trucks, on s’aperçoit que la construction de l’usine avait non seulement impacté le quartier Monplaisir sur lequel elle se trouvait, mais également les alentours des sites de production. Il a notamment fondé la « Cité Berliet », aujourd’hui à Saint-Priest qui s’inspirait des travaux de l’architecte Tony Garnier. Cette cité-ouvrière est née d’une politique sociale visant à offrir aux employés toutes les commodités dont ils pouvaient avoir besoin comme un logement, une crèche, des jardins, une bibliothèque, une école primaire… Aujourd’hui, le groupe Berliet a été racheté et le territoire même s’il a évolué, a gardé des traces de son histoire. D’ailleurs, vous connaissez certainement la rue du 8e arrondissement qui porte son nom. C’est une belle mise en abyme pour celui qui y avait transformé le paysage en y implantant une des plus grandes usines de son époque.
Vue aérienne de l’usine Renault Véhicules Industriels à Vénissieux
et de la cité Berliet à Saint-Priest, 1980-1990
Fondation de l’automobile Marius Berliet - Lyon (1980-1990)
Comment étudie-t-on l’évolution urbaine des villes ? Existe-t-il une méthode particulière ?
L’objectif du laboratoire dont je fais partie s’applique à analyser les dynamiques de changement entre environnement, ville et société. Notre antenne à l’INSA Lyon est spécialiste des objets urbains qui sont un prisme intéressant pour étudier l’évolution des pratiques. Dans le cas de Berliet, c’est à travers le moteur que nous allons tenter de décrypter l’histoire. Marius Berliet a construit son premier moteur en 1894 et en tant qu’objet d’ingénierie, il permet d’expliquer des dynamiques globales. Son évolution technique et mécanique a induit des changements de fabrication, qui ont eux-mêmes induit des changements d’organisation des usines, du nombre d’ouvriers nécessaires pour produire, etc. Par extension, il se peut qu’un nouveau moteur ait impacté le paysage urbain. Notre expertise se situe à la confluence de l’ingénierie et des sciences sociales. Quant à la méthode, nous récolterons dans un premier temps des données d’archives et mènerons des enquêtes terrain notamment auprès d’anciens employés. De cette base, nous croiserons les informations morphologiques du territoire pour essayer de déterminer les mutations futures éventuelles de notre ville au regard de l’évolution de l’industrie, qui n’est plus du tout la même qu’autrefois.
Ligne de montage des moteurs de cylindrées 120*140 de l’usine Berliet
Source : usines d’aujourd’hui, numéro spécial, octobre 1958
À quoi ressemble l’industrie de nos jours ? A-t-elle toujours sa place dans les villes ?
Aujourd’hui, l’industrie n’est plus uniquement les haut-fourneaux, en tout cas à l’échelle urbaine. Les industries actuelles tendent à lier production de biens, services, connexions et informations (numériques) et « culture » (design, style de vie…). Ces industries, qui concernent de plus en plus de populations de travailleurs cadres, redéfinissent les catégories de planification urbaine en répartissant les activités primaires, secondaires et tertiaires. Au cœur du processus d’hyper-industrialisation, ces industries conduisent les villes à se mettre en réseau. Mon travail de thèse s’inscrit dans une dynamique financée par la Métropole de Lyon dans le cadre d’un projet de Territoire Innovant de Grande Ambition (TIGA). En 2018, Lyon a présenté un projet dans le cadre de l’appel à manifestation d’intérêt1, intitulé « L’industrie intégrée (re)connectée à son territoire et ses habitants ». Si le projet a été lauréat, c’est parce qu’il propose de mettre en lien industrie et habitants pour répondre aux différents enjeux que suppose la révolution industrielle que nous vivons. C’est d’ailleurs pour cela que nous travaillons avec le service de prospective de la Métropole : pour permettre à l’industrie lyonnaise, de continuer à exister dans la ville et d’être un véritable facteur de développement pour la vie des habitants.
Robots servant à positionner à l’horizontale et sur un axe les moteurs. Renault Trucks, Vénissieux, Photo Le Progrès, Christophe Gallet, 2020
Votre travail tombe à point nommé puisque le télétravail dû à la situation sanitaire s’est développé, amorçant peut-être une nouvelle révolution dans les modes de travail. Peut-on dire que la Covid ait déjà impacté nos territoires urbains ?
C’est pour l’instant assez dur à dire, mais c’est une question intéressante. Ce qui est drôle, c’est que mon sujet de thèse a été pensé bien avant la crise Covid ; c’est encore la preuve que le travail est un vecteur très intéressant pour comprendre la ville. Nos déplacements sont principalement fondés sur ce besoin d’aller là où le travail se trouve et le télétravail, s’il parvient à être généralisé dans les entreprises, aura certainement un impact. Seulement, ces changements ne seront visibles que dans plusieurs décennies. Rome ne s’est pas construite en un jour. La ville de demain non plus !
1 Territoires d’innovation de grande ambition

Recherche
Activités sociales et environnements urbains : quels effets sur les pollutions urbaines et les enjeux de santé publique ?
Ce séminaire rassemblera des interventions en urbanisme, sociologie, sciences politiques, anthropologie et sciences de l’environnement.
L'UMR 5600 Environnement Ville Société organise lundi 1er mars après-midi et mardi 2 mars matin un séminaire sur les rapports entre activités sociales, environnements urbains et pollutions – que ces activités soient de production, de consommation ou d’usage.
De quelles manières les environnements urbains et les objets qui les composent (constructions, mobiliers urbains, équipements, objets personnels, etc.) orientent-ils les pratiques sociales, sources des pollution du sol, de l’air et de l’eau ? Quel est leur rôle dans les pollutions observées et l’observation de ces pollutions ? Comment les rapports entre activités sociales, environnements urbains et pollutions sont-ils intégrés dans les politiques environnementales et de santé publique ? Par qui ? Etc.
Compte tenu de la situation sanitaire, il aura lieu en distanciel.
Légende de la photographie : 1-8-13, nouvelles boîtes à ordures [dépôt des poubelles sur le trottoir dans les rues de Paris] : [photographie de presse] / [Agence Rol], 1913, via Gallica
Informations complémentaires
Mots clés
Derniers évènements
Ateliers danse avec la Cie MF
Les 15 et 22 mai 2025
Sciences & Société
Villes et genres : changements de regards sur le partage de l’espace ?
Ce séminaire organisé par l'UMR 5600 Environnement Ville Société sera consacré à la question du partage de l’espace urbain selon le genre.
Depuis une trentaine d’années, les travaux corrélant les pratiques urbaines et les rapports sociaux de genre se sont développés, et le constat que la ville reste sexiste et androcentrée demeure collectivement partagé. Ce séminaire permettra d’enrichir les réflexions déjà menées sur les normes de genre dans la prise en compte des politiques publiques et de réfléchir aux manières de co-construire une ville plus juste, plus égalitaire et plus accessible pour tous et toutes.
Trois intervenant·es présenteront leurs travaux :
- Amandine Chapuis, « Revendiquer la place des femmes dans la ville. Approche géographique d’une action collective de femmes »
- Camille Martinez, « De quel projet politique les politiques urbaines genrées sont-elles le nom ? »
- Yves Raibaud, « Genre, sport et villes »
Plus d'informations et présentation des interventions : https://atelier3.hypotheses.org/1450
Légende de la photo : Quand les violences domestiques s’inscrivent dans l’espace public. Rue Gay Lussac, Paris, 12 octobre 2019 ©D. Chevalier
Informations complémentaires
- sophie.vareilles@insa-lyon.fr
- https://atelier3.hypotheses.org/1450
-
UMR 5600 EVS, Université Lyon 3, salle 604, 18 rue Chevreul, 69007 Lyon.
Mots clés
Derniers évènements
Ateliers danse avec la Cie MF
Les 15 et 22 mai 2025
Sciences & Société
Doctoriales en Sciences Sociales de l’Eau
Un événement est co-financé par les universités lyonnaises, l'EUR H20 et l'UMR 5600 EVS
Cet évènement international rassemblera des doctorant.e.s quelle que soit leur année d’inscription et de jeunes chercheur.e.s ayant récemment soutenu une thèse en sciences sociales ou humaines : économie, droit, sociologie, psychologie, anthropologie, sciences politiques, sciences de gestion, géographie, histoire, histoire de l’art, archéologie, philosophie.
L’objectif est de dresser un panorama des recherches récentes ou en cours et de mettre en réseau les jeunes chercheur.e.s sur la question « Eaux et sociétés » avec une pluralité d’approches et de questionnements. Conférences plénières, travail en sessions, film, présentation d’ouvrages etc. seront autant de formes pour en débattre.
Informations complémentaires
Derniers évènements
Ateliers danse avec la Cie MF
Les 15 et 22 mai 2025
Sciences & Société
Journées d’études « Par, à travers et avec les objets : des approches pertinentes pour les études urbaines ? »
Ces journées d'étude, organisées par l’UMR 5600 Environnement Ville Société (EVS), visent à confronter des travaux de recherche qui, partant des objets, traitent des questions sociales, urbaines et environnementales.
Ces objets se révèlent multiples dans leurs échelles et leurs fonctions : mobiliers urbains, maison, automobile, plans, etc. Ces journées d'étude n'ont pas vocation à définir une approche par les objets, mais à appréhender une pluralité d’approches et à les situer dans le champ des études urbaines et plus largement des études sur l’anthropocène. Pour cela, elles s’organisent autour d’interventions de chercheurs issus de différentes disciplines (urbanisme, philosophie, anthropologie, etc.). Les journées d’étude ont été labellisées par le CNRS dans le cadre des 80 ans de l’institution. Elles sont financées par l’UMR 5600 EVS et l’INSA Lyon.
Informations complémentaires
-
Amphi Ouest, Centre des Humanités, 1 rue des Humanités, 69100 Villeurbanne