EVS

04 déc
Du 04/12/2023 12:30
au 04/12/2023 13:30

Sciences & Société

Conférence – Le projet urbain du quartier Terraillon (Bron)

Dans le cadre des midis de l’aménagement, organisés par le département GCU et la composante EVS de l’INSA Lyon, Elvan Arik, Directeur Adjoint Politique de la Ville de Bron interviendra pour parler du projet urbain du quartier Terraillon à Bron.

Construit dans les années 1960 au nord de Bron, 6 700 personnes résident aujourd’hui dans le quartier Terraillon. Depuis 2008, un important projet urbain mené par la Métropole de Lyon, la Ville de Bron et l’État, a déjà profondément modifié la configuration de ce quartier. Cette transformation va se poursuivre jusqu’en 2030 dans le cadre du Nouveau programme national de renouvellement urbain. Son objectif est de rendre le quartier plus animé, plus dynamique et plus attractif (d’après le site de la Métropole de Lyon).

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21 nov
Du 21/11/2023 12:30
au 21/11/2023 13:30

Sciences & Société

Conférence – Les Voies Lyonnaises

Dans le cadre des midis de l’aménagement, organisés par le département GCU et la composante EVS de l’INSA Lyon, Guillaume Julien Neveu, Directeur projet des Voies Lyonnaises, à la Métropole de Lyon interviendra pour parler de ce projet.

Le réseau des Voies Lyonnaises représentera 250 kilomètres en 2026, et 355 kilomètres en 2030. Il comprend 12 lignes et est pensé comme un réseau en commun qui reliera le centre de l’agglomération aux communes périphériques et inversement. Il doit encourager la pratique du vélo en assurant la sécurité des cyclistes (d’après le site de la Métropole de Lyon).

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24 juin
24/06/2022 14:00

Sciences & Société

Soutenance de thèse de doctorat par la VAE : Jérémie DESCAMPS

De l'accélération urbaine chinoise. Effets, contre-effets, représentations

Doctorant : Jérémie DESCAMPS

Laboratoire INSA : EVS

Ecole doctorale : ED483 : ScSO

À partir de la seconde moitié du XXe siècle, particulièrement après 1980, la Chine connait une accélération de son urbanisation sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Malgré son ampleur, ce phénomène d’accélération reste mal connu. L'urbanisation chinoise apparaît autant intriquée dans le processus d'accélération de la modernité que puissamment stimulée par l'alliance État-Parti / libéralisation du marché. Cette thèse affirme que l'urbanisme en Chine, traditionnellement descendant et mû par une pensée de la planification, est amené à se renouveler substantiellement à l'aune de l'accélération urbaine, et tente de comprendre les mécanismes d'accélération qui président à une telle transformation. Une approche macroscopique a permis d'identifier les grands mécanismes d'accélération et de compression qui conditionnent l'urbanisation, avec une première hypothèse qui considère l'urbanisation tout à la fois cause et corollaire de l'accélération sociale en Chine, permettant de (re)penser le rôle spécifique de l'urbain dans la réification et la dynamisation de l'espace-temps. Une seconde hypothèse envisage l'accélération urbaine comme étant à l'origine de la montée en puissance d’acteurs non étatiques, architectes d’avant-garde, universitaires, artistes, internautes, ONG, habitants, journalistes, amenés à se positionner contre un processus d’urbanisation devenu pour eux ambivalent. Leurs représentations montrent que les risques inhérents à l’accélération urbaine sont au cœur de leurs préoccupations. Ces nouvelles implications, où expérimentations, informalité, illégalité, activisme, positions intellectuelles, pratiques en ligne, revendications habitantes se côtoient, introduisent le concept « d’urbanisme » en Chine au sens politique, actoriel et projectuel du terme. Conflictuelle comme opportune, l’accélération provoquerait le passage d’une planification urbaine par le haut à un urbanisme dans lequel la société est engagée et partie prenante. Un ensemble de travaux transcalaires, transdisciplinaires, transmédias réalisés entre 2000 et 2020 s’intéressant aux acteurs et aux représentations de l’urbain en Chine contemporaine est parvenu à déterminer l’accélération urbaine chinoise comme un processus contradictoire d’accélération de et par l’urbanisation.

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  • Salle de réunion GCU (Bâtiment Charlotte PERRIAND) - (Villeurbanne)

02 sep
02/sep/2021

Recherche

« Face aux modes de travail qui évoluent, il faut s’attendre à ce que la ville se transforme »

Le télétravail pourrait-il modifier l’organisation des villes ? Au sein du laboratoire Environnement Ville et Société, Éléonore Gendry, doctorante, étudie de près les mutations urbaines de la Métropole de Lyon. Depuis l’invention de la machine à vapeur, les territoires semblent avoir évolué au rythme des révolutions techniques. Et si leur organisation était désormais concernée par les nouveaux modes de travail de plus en plus numérisés ? Sous la direction de Jean-Yves Toussaint, enseignant à l’INSA Lyon et responsable scientifique et technique du Labex Intelligences des Mondes Urbains, dont est labellisé son sujet de thèse, Éléonore construit des ponts entre la ville et les habitudes de travail. Elle explique.  

Votre sujet de recherche consiste à mettre en parallèle les évolutions des modes de travail et celles de la morphologie de la Métropole de Lyon. Pourquoi ?
Notre étude s’appuie sur l’hypothèse que le travail joue un rôle important sur la transformation de nos villes. Aujourd’hui, les zones industrielles telles que nous les connaissons incluent des commerces ou des restaurants, des infrastructures de transport en commun ou des espaces verts, mais il y a cinquante ans, une toute autre organisation urbaine existait. Face aux prochaines mutations du travail, il faut s’attendre à ce que les aménagements de la ville évoluent aussi. Mon travail de thèse s’attarde à étudier le territoire lyonnais de 1950 à aujourd’hui, pour en tirer des conclusions et imaginer, en toute humilité, ce à quoi elle pourrait ressembler dans plusieurs années. Et notre ville a déjà connu de beaux exemples de mutations de territoire par le travail.


Vue aérienne de l’usine de Vénissieux, 1950
Fondation de l’automobile Marius Berliet - Lyon (1950)

Quels types de mutations par exemple ?
Lorsque l’on s’attarde sur l’histoire de la société des automobiles de Marius Berliet, aujourd’hui Renault Trucks, on s’aperçoit que la construction de l’usine avait non seulement impacté le quartier Monplaisir sur lequel elle se trouvait, mais également les alentours des sites de production. Il a notamment fondé la « Cité Berliet », aujourd’hui à Saint-Priest qui s’inspirait des travaux de l’architecte Tony Garnier. Cette cité-ouvrière est née d’une politique sociale visant à offrir aux employés toutes les commodités dont ils pouvaient avoir besoin comme un logement, une crèche, des jardins, une bibliothèque, une école primaire… Aujourd’hui, le groupe Berliet a été racheté et le territoire même s’il a évolué, a gardé des traces de son histoire. D’ailleurs, vous connaissez certainement la rue du 8
e arrondissement qui porte son nom. C’est une belle mise en abyme pour celui qui y avait transformé le paysage en y implantant une des plus grandes usines de son époque.


Vue aérienne de l’usine Renault Véhicules Industriels à Vénissieux 
et de la cité Berliet à Saint-Priest, 1980-1990
Fondation de l’automobile Marius Berliet - Lyon (1980-1990)

Comment étudie-t-on l’évolution urbaine des villes ? Existe-t-il une méthode particulière ? 
L’objectif du laboratoire dont je fais partie s’applique à analyser les dynamiques de changement entre environnement, ville et société. Notre antenne à l’INSA Lyon est spécialiste des objets urbains qui sont un prisme intéressant pour étudier l’évolution des pratiques. Dans le cas de Berliet, c’est à travers le moteur que nous allons tenter de décrypter l’histoire. Marius Berliet a construit son premier moteur en 1894 et en tant qu’objet d’ingénierie, il permet d’expliquer des dynamiques globales. Son évolution technique et mécanique a induit des changements de fabrication, qui ont eux-mêmes induit des changements d’organisation des usines, du nombre d’ouvriers nécessaires pour produire, etc. Par extension, il se peut qu’un nouveau moteur ait impacté le paysage urbain. Notre expertise se situe à la confluence de l’ingénierie et des sciences sociales. Quant à la méthode, nous récolterons dans un premier temps des données d’archives et mènerons des enquêtes terrain notamment auprès d’anciens employés. De cette base, nous croiserons les informations morphologiques du territoire pour essayer de déterminer les mutations futures éventuelles de notre ville au regard de l’évolution de l’industrie, qui n’est plus du tout la même qu’autrefois.  


Ligne de montage des moteurs de cylindrées 120*140 de l’usine Berliet
Source : usines d’aujourd’hui, numéro spécial, octobre 1958

À quoi ressemble l’industrie de nos jours ? A-t-elle toujours sa place dans les villes ? 
Aujourd’hui, l’industrie n’est plus uniquement les haut-fourneaux, en tout cas à l’échelle urbaine. Les industries actuelles tendent à lier production de biens, services, connexions et informations (numériques) et « culture » (design, style de vie…). Ces industries, qui concernent de plus en plus de populations de travailleurs cadres, redéfinissent les catégories de planification urbaine en répartissant les activités primaires, secondaires et tertiaires. Au cœur du processus d’hyper-industrialisation, ces industries conduisent les villes à se mettre en réseau. Mon travail de thèse s’inscrit dans une dynamique financée par la Métropole de Lyon dans le cadre d’un projet de Territoire Innovant de Grande Ambition (TIGA). En 2018, Lyon a présenté un projet dans le cadre de l’appel à manifestation d’intérêt
1, intitulé « L’industrie intégrée (re)connectée à son territoire et ses habitants ». Si le projet a été lauréat, c’est parce qu’il propose de mettre en lien industrie et habitants pour répondre aux différents enjeux que suppose la révolution industrielle que nous vivons. C’est d’ailleurs pour cela que nous travaillons avec le service de prospective de la Métropole : pour permettre à l’industrie lyonnaise, de continuer à exister dans la ville et d’être un véritable facteur de développement pour la vie des habitants. 

Robots servant à positionner à l’horizontale et sur un axe les moteurs. Renault Trucks, Vénissieux, Photo Le Progrès, Christophe Gallet, 2020

Votre travail tombe à point nommé puisque le télétravail dû à la situation sanitaire s’est développé, amorçant peut-être une nouvelle révolution dans les modes de travail. Peut-on dire que la Covid ait déjà impacté nos territoires urbains ?
C’est pour l’instant assez dur à dire, mais c’est une question intéressante. Ce qui est drôle, c’est que mon sujet de thèse a été pensé bien avant la crise Covid ; c’est encore la preuve que le travail est un vecteur très intéressant pour comprendre la ville. Nos déplacements sont principalement fondés sur ce besoin d’aller là où le travail se trouve et le télétravail, s’il parvient à être généralisé dans les entreprises, aura certainement un impact. Seulement, ces changements ne seront visibles que dans plusieurs décennies. Rome ne s’est pas construite en un jour. La ville de demain non plus !

 1 Territoires d’innovation de grande ambition

 

Mots clés

30 juin
30/06/2021 15:00

Sciences & Société

Soutenance de thèse : Neptune PRINCE

Soutenance d'une thèse de doctorat de l’Université de Lyon en cotutelle internationale entre l’Université Quisqueya (Port-au-Prince, Haïti) et l’INSA Lyon

Fabrication des bidonvilles dans les pays du Sud, jeux d'acteurs et modalités d'habiter. Le cas du quartier de Canaan (Port-au- Prince-Haiti) 

Doctorant : Neptune PRINCE

Laboratoire INSA : Environnement ville société (EVS)

Ecole doctorale : ED483 : Sciences sociales

Cette thèse interroge la fabrication ainsi que les modalités d’habiter les bidonvilles en Haïti et dans les pays du Sud. Elle mobilise les « tactiques habitantes1», les jeux d’acteurs et les enjeux fonciers. Les données collectées dans le quartier de Canaan (terrain d’étude) ainsi que l’analyse du processus de bidonvilisation de la Région métropolitaine de Port-au-Prince ont permis de mettre en évidence ce que nous appelons « faire ville a posteriori ». En effet, si dans ces territoires, les populations s’installent spontanément, auto-construisent leurs habitats ; on constate dans les pays du Sud et également en Haïti qu’au bout d’un temps relativement long, il y a une forme de « normalisation », voire de reconnaissance a postériori de ces quartiers par les pouvoirs publics. Ce fut le cas du quartier de « Saint-Martin » en Haïti, créé en 1925 qui est devenu la ville de « Delmas » en 1982. A contrario, les villes planifiées sont conçues dans un processus inverse : maitrise foncière, aménagement de l’espace,
… et enfin installation des populations. Nous défendons la thèse de l’existence d’une inversion des modalités de « faire la ville » que nous désignons par « l’urbanisme inversé » correspondant à ce que nous avons observé tant en Haïti, qu’au Brésil et au Pérou. En outre, certains bidonvilles deviennent  au bout de 30 à 40 ans soit des territoires intégrés à la politique de la ville au même titre que les villes planifiées ou des quartiers ou des « villes a posteriori ».

1 Cette expression est empruntée à De Certeau.

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  • Salle Réunion 1 GCU (Villeurbanne)

20 mai
20/05/2021 14:00

Sciences & Société

Soutenance de thèse : Selma BAATI

Analyse des conditions de mise en œuvre de l'autosurveillance des réseaux d'assainissement. Le cas des agglomérations de Lyon et de Nantes dans les années 1990-2010

Doctorante : Selma BAATI

Laboratoire INSA : EVS UMR 5600

Ecole doctorale :  ED483 Sciences sociales

Ce travail de thèse s’inscrit au sein de la contribution du laboratoire EVS-INSA Lyon dans le projet MENTOR visant à mieux gérer les réseaux d’assainissement par la mise en place de dispositifs de mesure adaptés aux spécificités des sites de mesure et aux organisations impliquées dans la gestion de l’assainissement urbain. Dans ce cadre, cette thèse étudie le processus de mise en œuvre de l’autosurveillance des réseaux d’assainissement en application de la réglementation sur le contrôle continu du fonctionnement des systèmes d’assainissement. L’autosurveillance est envisagée comme un dispositif technique et organisationnel qui vise à produire les données nécessaires pour le suivi des flux transitant dans les réseaux, et l’évaluation des rejets vers les milieux récepteurs.
Pour ce faire, cette recherche s’intéresse au milieu sociotechnique nécessaire à la mise en œuvre de l’autosurveillance des réseaux à partir de deux cas d’étude : Lyon Métropole et Nantes Métropole. Le protocole d’enquête est fondé sur des entretiens et des observations au sein des organisations qui concourent au déploiement de cette autosurveillance.
Les études de cas démontrent que les données produites, en dépit de leur intérêt pour connaître les systèmes d’assainissement et optimiser leur gestion, sont utilisées essentiellement pour observer la réglementation sur l’autosurveillance des réseaux. Cela résulterait d’un désajustement entre les nouveaux dispositifs d’autosurveillance et les milieux sociotechiques dans lesquels ces dispositifs sont mis en œuvre, en particulier les organisations existantes. Celles-ci seraient incapables d’assurer un déploiement complet de l’autosurveillance en raison des moyens humains et financiers nécessaires à sa prise en charge. Ainsi, l’autosurveillance des réseaux d’assainissement marche, mais pas à la hauteur de ses possibilités d’action, selon un mode dégradé.

Mots clés : objets techniques, autosurveillance, réseau d’assainissement, diffusion, milieu sociotechnique, organisations, concrétisation, appropriation.
 

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  • Visioconférence

01 mar
Du 01/03/2021
au 02/03/2021

Recherche

Activités sociales et environnements urbains : quels effets sur les pollutions urbaines et les enjeux de santé publique ?

Ce séminaire rassemblera des interventions en urbanisme, sociologie, sciences politiques, anthropologie et sciences de l’environnement.

L'UMR 5600 Environnement Ville Société organise lundi 1er mars après-midi et mardi 2 mars matin un séminaire sur les rapports entre activités sociales, environnements urbains et pollutions – que ces activités soient de production, de consommation ou d’usage.

De quelles manières les environnements urbains et les objets qui les composent (constructions, mobiliers urbains, équipements, objets personnels, etc.) orientent-ils les pratiques sociales, sources des pollution du sol, de l’air et de l’eau ? Quel est leur rôle dans les pollutions observées et l’observation de ces pollutions ? Comment les rapports entre activités sociales, environnements urbains et pollutions sont-ils intégrés dans les politiques environnementales et de santé publique ? Par qui ? Etc.

Compte tenu de la situation sanitaire, il aura lieu en distanciel.

Programme complet et liens zoom : https://objeturba.hypotheses.org/60

Légende de la photographie : 1-8-13, nouvelles boîtes à ordures [dépôt des poubelles sur le trottoir dans les rues de Paris] : [photographie de presse] / [Agence Rol], 1913, via Gallica

22 nov
Du 22/11/2019 09:30
au 22/11/2019 12:30

Sciences & Société

Villes et genres : changements de regards sur le partage de l’espace ?

Ce séminaire organisé par l'UMR 5600 Environnement Ville Société sera consacré à la question du partage de l’espace urbain selon le genre.

Depuis une trentaine d’années, les travaux corrélant les pratiques urbaines et les rapports sociaux de genre se sont développés, et le constat que la ville reste sexiste et androcentrée demeure collectivement partagé. Ce séminaire permettra d’enrichir les réflexions déjà menées sur les normes de genre dans la prise en compte des politiques publiques et de réfléchir aux manières de co-construire une ville plus juste, plus égalitaire et plus accessible pour tous et toutes.

Trois intervenant·es présenteront leurs travaux :

  • Amandine Chapuis, « Revendiquer la place des femmes dans la ville. Approche géographique d’une action collective de femmes »
  • Camille Martinez, « De quel projet politique les politiques urbaines genrées sont-elles le nom ? »
  • Yves Raibaud, « Genre, sport et villes »

Plus d'informations et présentation des interventions : https://atelier3.hypotheses.org/1450

Légende de la photo : Quand les violences domestiques s’inscrivent dans l’espace public. Rue Gay Lussac, Paris, 12 octobre 2019 ©D. Chevalier

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05 sep
Du 05/09/2019
au 06/09/2019

Sciences & Société

Doctoriales en Sciences Sociales de l’Eau

Un événement est co-financé par les universités lyonnaises, l'EUR H20 et l'UMR 5600 EVS

Cet évènement international rassemblera des doctorant.e.s quelle que soit leur année d’inscription et de jeunes chercheur.e.s ayant récemment soutenu une thèse en sciences sociales ou humaines : économie, droit, sociologie, psychologie, anthropologie, sciences politiques, sciences de gestion, géographie, histoire, histoire de l’art, archéologie, philosophie.

L’objectif est de dresser un panorama des recherches récentes ou en cours et de mettre en réseau les jeunes chercheur.e.s sur la question « Eaux et sociétés » avec une pluralité d’approches et de questionnements. Conférences plénières, travail en sessions, film, présentation d’ouvrages etc. seront autant de formes pour en débattre.

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Mots clés

20 juin
Du 20/06/2019
au 21/06/2019

Sciences & Société

Journées d’études « Par, à travers et avec les objets : des approches pertinentes pour les études urbaines ? »

Ces journées d'étude, organisées par l’UMR 5600 Environnement Ville Société (EVS), visent à confronter des travaux de recherche qui, partant des objets, traitent des questions sociales, urbaines et environnementales.

Ces objets se révèlent multiples dans leurs échelles et leurs fonctions : mobiliers urbains, maison, automobile, plans, etc. Ces journées d'étude n'ont pas vocation à définir une approche par les objets, mais à appréhender une pluralité d’approches et à les situer dans le champ des études urbaines et plus largement des études sur l’anthropocène. Pour cela, elles s’organisent autour d’interventions de chercheurs issus de différentes disciplines (urbanisme, philosophie, anthropologie, etc.). Les journées d’étude ont été labellisées par le CNRS dans le cadre des 80 ans de l’institution. Elles sont financées par l’UMR 5600 EVS et l’INSA Lyon.

Inscription gratuite mais obligatoire : https://forms.gle/HXLASHGyovXRqqmp6 ⏳ Date limite : 17 juin 2019

Informations complémentaires

  • Amphi Ouest, Centre des Humanités, 1 rue des Humanités, 69100 Villeurbanne

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