
Sciences & Société
Villes et genres : changements de regards sur le partage de l’espace ?
Ce séminaire organisé par l'UMR 5600 Environnement Ville Société sera consacré à la question du partage de l’espace urbain selon le genre.
Depuis une trentaine d’années, les travaux corrélant les pratiques urbaines et les rapports sociaux de genre se sont développés, et le constat que la ville reste sexiste et androcentrée demeure collectivement partagé. Ce séminaire permettra d’enrichir les réflexions déjà menées sur les normes de genre dans la prise en compte des politiques publiques et de réfléchir aux manières de co-construire une ville plus juste, plus égalitaire et plus accessible pour tous et toutes.
Trois intervenant·es présenteront leurs travaux :
- Amandine Chapuis, « Revendiquer la place des femmes dans la ville. Approche géographique d’une action collective de femmes »
- Camille Martinez, « De quel projet politique les politiques urbaines genrées sont-elles le nom ? »
- Yves Raibaud, « Genre, sport et villes »
Plus d'informations et présentation des interventions : https://atelier3.hypotheses.org/1450
Légende de la photo : Quand les violences domestiques s’inscrivent dans l’espace public. Rue Gay Lussac, Paris, 12 octobre 2019 ©D. Chevalier
Informations complémentaires
- sophie.vareilles@insa-lyon.fr
- https://atelier3.hypotheses.org/1450
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UMR 5600 EVS, Université Lyon 3, salle 604, 18 rue Chevreul, 69007 Lyon.
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Formation
Isabelle Collet : la voix et la plume des oubliées du numérique
Informaticienne, professeure, chercheuse et écrivaine, Isabelle Collet a beaucoup de cordes à son arc. Dans son dernier ouvrage « Les oubliées du numérique » (éd. Le Passeur), elle aborde l’informatique pour la deuxième fois dans un de ses livres et surtout la place des femmes dans cette discipline. Entretien avec une femme très engagée dans la question du genre et de la mixité, également Vice-présidente du Conseil d'Administration de l'INSA.
Comment la question du genre est-elle devenue centrale dans votre vie ?
« Elle est devenue primordiale quand je n’ai pas trouvé de travail. J’avais une licence d’informatique en Traitement du Signal en poche et je pensais être au maximum de mes capacités. J’avais envisagé de poursuivre en Master mais il y avait peu de femmes et comme je n’ai pas forcément été poussée, je me suis dit que je n’avais pas les épaules. J’étais 4e de ma promotion.
J’arrive donc sur le marché du travail au début des années 90, mariée sans enfant, et j’enchaine les contrats temporaires. Je deviens maman ensuite et je suis mon mari qui trouve du travail sur Paris. Je prends des cours à l’Université Paris Nanterre et l’un d’entre eux porte sur les rapports sociaux de sexe dans l’éducation. Petit à petit, je comprends. J’avais vécu cette censure sociale que vivent les femmes et les filles, qui sont amenées soient à douter de leurs compétences, soient à penser qu’elles ont de meilleures compétences ailleurs. J’ai fait ma thèse là-dessus. »
Votre livre « Les oubliées du numérique » porte un sous-titre : « L’absence des femmes dans le monde digital n’est pas une fatalité ». On parle carrément d’absence ?
« Quand on est sur des pourcentages de 10/12 %, on parle d’absence oui. Dans le cœur technique du numérique, les femmes sont représentées à 15%, et dans les secteurs qui ont le vent en poupe comme le big data ou la cyber sécurité, on tombe à 11%. Dans le numérique, plus on est sur des secteurs de pointe, moins il y a de femmes. Et chaque fois qu’un champ de savoir prend de l’ampleur, les hommes s’y engouffrent. Les femmes sont sociabilisées à penser qu’elles vont se réaliser en famille.
Mais aujourd’hui, je pense qu’on tend vers un équilibre. Nous avons de bonnes raisons de penser que cela bouge. Il y a quantité d’initiatives pour attirer les femmes dans le numérique, et certains indicateurs sont intéressants, comme le pourcentage des filles dans les trois plus gros masters en informatique de gestion, qui se situe entre 30 et 40% cette année. »
Vous êtes Vice-présidente du Conseil d’Administration de l’INSA Lyon depuis un an. Quel regard vous portez sur la présence des filles à l’INSA ?
« Il y 43 % d’élèves-ingénieures en première année à l’INSA Lyon, c’est encourageant ! C’est une école qui s’intéresse depuis longtemps à la question de la mixité et qui peut en retirer les bénéfices. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles j’ai accepté de rejoindre le CA de cet établissement. Je savais que le discours de mixité sociale et de genre était réellement porté. Je le sais depuis longtemps parce ma sœur a fait l’INSA et j’avais moi-même postulé. L’INSA met les moyens sur ces questions et a même aujourd’hui un Institut Gaston Berger pour étudier cela. »
Selon vous, où se trouvent les réponses pour favoriser la mixité ?
« Partout. Elles se trouvent à tous les niveaux. Il faut lutter contre les inégalités de représentation sexuée des disciplines dès la maternelle et jusqu’à l’enseignement supérieur. C’est dans l’éducation, les médias, la culture d’entreprise, partout ! »
Crédits photos ©Sabine Papilloud

Vie de campus
Bâtiments : objectif parité atteint
Le verdict est tombé : sur 28 bâtiments INSA, 14 vont porter des noms de femmes. Le bâtiment Coulomb est le premier bâtiment à être renommé, en hommage à Charlotte Perriand, illustre architecte et designer française.
C’est officiel, l’objectif parité sur le terrain est atteint à l’INSA Lyon grâce à l’opération renommage des bâtiments. Personnels et étudiants ont été consultés en février dernier pour mener à bien ce projet.
Leur mission : voter pour des noms de femmes qui ont contribué à des avancées scientifiques, humanistes ou technologiques majeures avec des parcours exceptionnels.
1300 personnes se sont exprimées et à l’issue de cette consultation, 9 nouveaux noms de femmes vont désormais orner certains édifices de notre campus. Un nom de femme viendra symboliser l’axe vert qui le parcoure, provisoirement nommé Olympe de Gouges.
Le premier bâtiment nouvellement féminisé a été inauguré le jeudi 5 septembre et porte désormais le nom de Charlotte Perriand, architecte et designer française.
Découvrir Charlotte Perriand
La Fondation Vuitton lui consacre une exposition pour découvrir toutes les facettes de son talent et de ses engagements.
Le monde nouveau de Charlotte Perriand
Fondation Louis Vuitton
8, avenue Mahatma Gandhi, 75116 Paris (Bois de Boulogne
Du 2 octobre 2019 au 24 février 2020
Sur arte.tv/perriand à partir du 2 octobre 2019
Design signé Perriand
Episode 1 : Augustin Trapenard et la bibliothèque Tunisie
Episode 2 : Fanny Herrero et le bureau Boomerang
Episode 3 : Claire L. Evans et la chaise pivotante
Sur ARTE dimanche 13 octobre 2019 à 17h35
Charlotte Perriand, pionnière de l’art de vivre
Charlotte Perriand, révolutionnaire de l’intérieur
Télérama n°36-37 du 28/09 au 04/10

Institutionnel
Journée sur l'égalité professionnelle dans l'Enseignement supérieur et la Recherche 2019
Depuis la loi du 22 juillet 2013, chaque université, école et organisme de recherche développe une mission dédiée à l'égalité. Depuis 2014, le Ministère co-organise chaque année une journée nationale dédiée aux questions d'égalité des sexes au sein de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Pour sa 5e édition et dans le cadre de l'accord relatif à l'égalité professionnelle dans la fonction publique, la journée nationale des chargé.e.s de mission et référent.e.s égalité sera dédiée à l'égalité professionnelle.
Journée co-organisée par le Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, les universités Lyon 1, Lyon 2, Lyon 3 et l'INSA Lyon, ainsi que la Conférence permanente des chargé.es de mission Égalité et Diversité (C.P.E.D.), la Conférence des Directeur/trices des écoles françaises d'ingénieur.es (C.D.E.F.I.), la Conférence des grandes écoles (C.G.E.) et la Conférence des président.es d'université (C.P.U.).
Informations complémentaires
- https://www.univ-lyon2.fr/actualite/inscription-a-la-journee-egalite-professionnelle--806550.kjsp
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Université Lumière Lyon 2 - 18 quai Claude Bernard, 69365 Lyon
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INSA Lyon
En route vers l’égalité femmes-hommes
Ma fille, tu seras informaticienne, mécanicienne ou même ingénieure si tu le souhaites ! À l’heure où l’Académie Française adopte un rapport sur la féminisation des noms de métiers de la langue française, l’INSA Lyon, déjà bien engagé sur la notion de problématiques de genre, souhaite rebaptiser la moitié des bâtiments de son campus avec des noms de femmes scientifiques aux parcours d’excellence. Une opération collaborative qui prend racine dans les fondements de son modèle et qui vise à faire entrer dans les mœurs, le droit d’existence des femmes dans la sphère scientifique et technique.
Ça n’est pas parce qu’on ne les connaît pas, qu’elles n’existent pas !
C’est une opération « coup de poing » menée par l’Institut Gaston Berger (IGB) en mars 2017 qui a donné naissance à cette démarche de renommage. Durant la nuit du 7 au 8 mars 2017, dix-sept bâtiments avaient vu fleurir leur façade de pancartes portant des noms de femmes scientifiques, avec pour objectif de faire émerger une prise de conscience de la communauté INSA sur l’égalité des genres. Le directeur de l’établissement, Éric Maurincomme s’était alors engagé à rebaptiser la moitié des bâtiments du campus au féminin. La démarche s’est organisée de façon collective puisque chaque département de formation a proposé des noms de personnalités scientifiques féminines en vue d’une consultation des étudiants et du personnel. Le renommage progressif des bâtiments s’étalera ensuite jusqu’en septembre 2021.
Une action de communication et pas seulement.
L’INSA est une structure d’enseignement public dont le modèle, défini par le philosophe et haut-fonctionnaire français Gaston Berger, défend l’ouverture des études d’ingénieur et de docteur à toutes et tous. En tant qu’établissement public, l’INSA porte les valeurs de la République Française et se doit d’offrir la garantie d’un environnement de travail sain, bienveillant et respectueux de la dignité humaine. L’égalité femmes-hommes est une question dont s’est emparée Florence Françon, chargée de mission en études de genre et promotion de l’égalité à l’IGB.
« Renommer la moitié des bâtiments de notre campus est un acte symbolique qui a toute son importance dans un établissement engagé depuis sa création dans le respect des individualités. Cela nous donne l’occasion de parler des problématiques de genre tout en valorisant le travail de ces femmes scientifiques trop souvent oubliées ou même cachées. En renommant nos bâtiments, nous revendiquons leur droit d’exister dans le paysage scientifique. »
L’Institut Gaston Berger (IGB), gardien d’une politique d’égalité au sein de l’INSA Lyon
Structure unique dans l’enseignement supérieur et intégrée à l’INSA, l’Institut Gaston Berger accompagne l’école dans son développement au moyen d’activités de veille et d’actions sur des thématiques de société. La démarche est transversale comme l’explique Florence Françon :
« Pointer du doigt des stéréotypes, ça n’est pas les soigner. Loin de prôner un discours moralisateur, notre mission est de sensibiliser, d’accompagner et de former les acteurs de notre environnement. La question de la représentativité des sexes dans les domaines professionnel et scientifique est une des thématiques centrales de l’IGB. »
Ateliers, séminaires, cycles d’évènements… Les actions sont à destination des lycéens, des élèves-ingénieurs et des entreprises. Un cours à la carte sur le genre, porté par le Centre des Humanités, a également vu le jour l’an passé : comment repérer, analyser et déconstruire les stéréotypes de genre et leurs effets ? Comment mobiliser l’approche intégrée de l’égalité dans les entreprises et les pratiques des ingénieurs ? Le cours « Le genre en jeu » propose d’ouvrir les yeux sur des réalités que l’on devine mais qui manquent de vision globale. Il propose aux étudiants de se positionner en acteur et actrice pour agir face à des problématiques fortement ancrées dans la société.
Défenseur d’un modèle d’éducation original, l’INSA Lyon s’applique à former les ingénieurs de demain, observateurs et observatrices du monde environnant, en soutenant les évolutions du métier face aux enjeux contemporains grâce à une politique d’ouverture et d’égalité.

Sciences & Société
Table-ronde et ateliers : L’INSA Lyon, une école mobilisée pour l’égalité
Le cycle d'événements Genre ... on en parle ? revient à l'INSA Lyon, à l'occasion du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes.
Dans le cadre du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, l'Institut Gaston Berger organise plusieurs rencontres en collaboration avec la Bibliothèque Marie Curie (BMC) : exposition, conférence gesticulée, projection, table-ronde et ateliers animés par les associations étudiantes !
- 12h30-13h45 – Agora : table-ronde « Ce que le genre fait aux choix d’orientation, aux trajectoires étudiantes et à une organisation ».
- 14h15-16h30 – Salles BMC : ateliers au choix « Comment se saisir des problématiques de genre dans une école d’ingénieur·e·s ? ».
En savoir plus et s'inscrire : http://institut-gaston-berger.insa-lyon.fr/content/genre-en-parle-1
Informations complémentaires
- florence.francon@insa-lyon.fr
- http://institut-gaston-berger.insa-lyon.fr/content/genre-en-parle-1
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INSA Lyon - Campus LyonTech-La Doua Agora et Bibliothèque Marie Curie
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Sciences & Société
#genreonenparle - Les filles et les sciences
En partenariat avec la bibliothèque Marie Curie
Organisé dans le cadre du la journée internationale des femmes et des filles de sciences.
« Genre... On en parle ? » proposé par l'Institut Gaston Berger : un événement qui portera sur les femmes et les sciences.
Au programme :
- Une exposition de 6 posters, 6 portraits de femmes - Infinités plurielles les filles et la science
- Une exposition de livres
- La projection du film « Les figures de l'ombre » le jeudi 7 février à 14h00
Informations complémentaires
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NSA Lyon Bibliothèque Marie Curie

Sciences & Société
Genre… on en parle ?
Un cycle d’événements porté par l’Institut Gaston Berger en 2018-2019
Les violences à l’encontre des femmes
Dans le cadre du 25 novembre, Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, l'Institut Gaston Berger propose plusieurs espaces de rencontres et d’échanges, en collaboration avec la Bibliothèque Marie Curie et le CASI.
Jeudi 22 novembre
12h30-13h45 - Kiosque de la BMC
Table-ronde sur les violences de genre en présence des associations Filactions et Impact
> Sur inscription
Jeudis 22 et 29 novembre
14h15 à 17h15 (2 ateliers de 3h)
Stage d’autodéfense pour les étudiantes. Atelier Déclic animé par l’association Impact.
> Sur inscription auprès de l’IGB
Lundi 26 novembre - 12h15-13h45
Maison des personnels (CASI)
Création théâtrale improvisée : « Les Ordinaires » par le Collectif Impro-Concept.
Représentation (1h) puis échange avec le public.
> Sur inscription
Mardi 27 novembre - 18h30
Amphi Émilie du Châtelet (BMC)
Projection de clôture « Mustang » de Deniz Gamze Ergüven (2015)
> Sur inscription
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Informations complémentaires
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Plusieurs lieux : INSA Lyon Bibliothèque Marie Curie - Maison des personnels
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INSA Lyon
Quand la question de l’égalité femmes-hommes s’affiche sur les murs du campus
À l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, l’INSA Lyon a voulu créer la surprise en menant une opération de communication décalée sur son campus. En effet, 17 bâtiments ont été rebaptisés pour l’occasion et portent le nom de femmes scientifiques triées sur le volet.
« Tou-te-s pour elles » est une opération « coup de poing » imaginée par l’Institut Gaston Berger de l’INSA Lyon pour sensibiliser la communauté INSA aux thématiques de genre.
« L’INSA Lyon est engagé depuis sa création sur les enjeux de mixité et d’accessibilité de tous les publics aux études d’ingénieurs. La thématique de l’égalité entre les femmes et les hommes est un axe majeur pour l’établissement, qui a reçu le prix de l’école d’ingénieurs la plus mobilisée en 2016 par la Conférence des Directeurs des Ecoles et Formations d’Ingénieurs. En cette journée symbolique du 8 mars, nous avions envie de marquer les esprits » explique Sonia Bechet, directrice adjointe de l’Institut Gaston Berger.
L’opération porte sur 19 bâtiments d’enseignement et de recherche de l’INSA Lyon dont 17 portent des noms d’hommes. Le 8 mars, ils porteront des noms de femmes, choisis à titre provisoire pour faire découvrir ou redécouvrir des parcours exceptionnels. Une première étape vers une réflexion plus officielle.
« Grâce à cette impulsion, j’aimerai en effet qu’une réflexion et une démarche collective soient menées dans notre établissement. Par cette action, je m’engage à ce que la moitié des bâtiments de notre campus soient renommés d’ici la fin de l’année 2018. Et ce avec la participation des personnels et des étudiants qui pourront ainsi mettre à l’honneur des femmes qui ont contribué à des avancées scientifiques ou technologiques majeurs, avec des parcours exceptionnels » précise Éric Maurincomme, Directeur de l’INSA Lyon, pour qui l’égalité femmes-hommes est un vrai cheval de bataille.
« Je souhaite que 50% des ingénieurs formés à l’INSA Lyon soient des ingénieures. Nous nous en approchons doucement mais sûrement puisqu’à la dernière rentrée universitaire, 41% des élèves de notre premier cycle à l’INSA sont des filles, une amélioration de près de 10 points en 5 ans » précise le directeur.
Une chaire institutionnelle Egalité Femmes-Hommes
Cette thématique centrale pour l’INSA Lyon a conduit l’Institut Gaston Berger, soutenu par la Fondation INSA Lyon, à créer une Chaire institutionnelle Egalité Femmes-Hommes. Objectifs : faire évoluer les réflexions et les actions de l’INSA Lyon grâce à un socle scientifique fondé sur les études de genre. À terme, l’établissement pourrait ainsi devenir un acteur majeur dans le monde des Grandes Écoles les questions de l’égalité femmes- hommes sur l’ensemble du système : de l’attractivité à l’accompagnement, de la mixité au sein de ses spécialités à la formation de ses élèves ainsi qu’à la préparation à l’insertion professionnelle au déroulement de carrière.
Un Schéma Directeur Egalité Femmes-Hommes
Dans l’esprit de la Charte pour l’Égalité des Femmes et des Hommes dans l’Enseignement Supérieur et la Recherche, un Schéma Directeur Egalité Femmes-Hommes avec un plan d’actions associé sera élaboré et présenté prochainement au Conseil d’Administration de l’INSA Lyon.