Egalité Femmes-Hommes

19 mar
19/mar/2024

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« La parité n’est pas encore atteinte mais nous menons des actions pour valoriser les carrières scientifiques »

Marie Curie, Ada Lovelace, Émilie du Châtelet, Eunice Foote, Katherine Johnson ou Rosalind Franklin… Ces grandes figures ont contribué dans leurs domaines respectifs, à faire avancer la connaissance scientifique. Les femmes scientifiques ayant contribué aux grandes avancées de la science sont nombreuses. Pourtant, leurs noms résonnent peu dans la mémoire collective. Mais surtout leur place a été chaotique à prendre. La journée des droits des femmes le 8 mars dernier donne l’occasion de s’interroger sur l’évolution de la mixité dans les sciences et la recherche. Regards croisés avec la directrice de la Recherche et de la Valorisation, et quatre directrices de laboratoire de l'INSA Lyon. 

« Il est plus facile de désagréger un atome qu'un préjugé ! »1

Les stéréotypes de genre ont la peau dure. Une étude menée par des scientifiques du Laboratoire de Psychologie Sociale et Cognitive (CNRS/Université Clermont Auvergne), du Laboratoire de Psychologie Cognitive (CNRS/Aix-Marseille Université), et de l’Université de British Columbia (Canada), en 2019, a démontré que le concept de science demeure beaucoup plus fortement associé au masculin qu’au féminin dans les esprits2. Ce biais automatique, déjà identifié dans la population générale, est aussi présent chez la plupart des scientifiques sans que les intéressés n’en aient forcément conscience. Est-ce dû à un manque de représentations culturelles ? Car avec le prisme recherche, on imagine tout de suite le savant fou avec ses cheveux blancs et sa barbe, ou désormais le geek ou le nerd pour les sciences qui ont trait à l’informatique. « Et pourtant, les politiques se sont emparés de ce sujet depuis plus de 20 ans. Une mission pour la parité en sciences et en technologie a été créée en France, la Commission européenne a donné des directives concernant la représentativité des femmes dans les hautes instances, les Nations Unies ont proclamé le 11 février comme Journée internationale des femmes et des filles de science afin de donner un espace médiatique et une visibilité aux femmes, la parité est devenue priorité du quinquennat du gouvernement… Cependant, beaucoup de choses se jouent au quotidien dans les familles où le rôle et la place de la femme sont souvent inscrits dans les non-dits » souligne Marie-Christine Baietto, Directrice de la Recherche et de la Valorisation à l’INSA Lyon. En retraçant la place des femmes dans les sciences tout au long de l’Histoire, on s’aperçoit qu’elles ont longtemps, comme pour tout ce qui a trait à la connaissance, été exclues3. « Exclues, spoliées ou effacées de leurs travaux ! Il y a d’ailleurs un terme pour cela : l’effet Matilda ! », commente Marie-Christine Baietto. 


« L’esprit n’a point de sexe »4 

Le temps de l’exclusion est pourtant révolu. Aujourd’hui, les jeunes femmes excellent dans leurs études. En 2021, la proportion de lauréates au baccalauréat est supérieure de dix points à celle des garçonsavec un taux de 47 % de filles dans les études scientifiques6. À l'université, les femmes représentent 56 % des étudiants, mais seulement 31 % en sciences fondamentales. Toutes formations confondues, la part des femmes diplômées d'un titre d'ingénieur en 2020 est seulement de 28 % et en 10 ans cette part n’a progressé que de 2 points. En 2019, 39 % des enseignants-chercheurs titulaires dans la filière universitaire sont des femmes. Elles représentent 63 % des enseignants-chercheurs titulaires dans les disciplines des langues et littératures et seulement 19 % dans celles des sciences de l'ingénieur. En 2017, dans le domaine des mathématiques et de l'informatique, 15 % des chercheurs sont des femmes7.

« Les compétences et les qualités ne sont pas valorisées de la même manière selon que l’on soit une fille ou un garçon. De plus, les filles ont tendance à opérer leurs choix d’orientation sur des critères de responsabilité sociétale. Cela induit que les filles ont plus de difficultés à choisir des filières scientifiques qui sont plus caractérisées comme “masculine”. On constate que les jeunes femmes s’orientent plus vers des domaines qui ont trait au vivant : médecine, biologie, agronomie, vétérinaire. Les facultés de médecine et les grandes écoles d’agronomie ont actuellement des taux de filles supérieurs à ceux des garçons », explique Valérie Sartre, Professeure des Universités, Directrice du Centre d’Énergétique et de Thermique de Lyon (CETHIL). Ainsi, le choix d’orientation pour les jeunes femmes serait biaisé.


Chercheur recherche la parité

Et dans la recherche ? Dans la majorité des entités de recherche, scientifiques ou techniques, la part des femmes augmente significativement d'année en année. Et l’INSA Lyon n’est pas en reste : on estime à 32 % le nombre de femmes qui travaillent dans la recherche9. Mais les choses n’évoluent pas de la même manière dans toutes les branches scientifiques. « À mon arrivée en 1986 en tant que doctorante au LMC (laboratoire de mécanique des contacts, aujourd’hui le LaMCoS), nous étions deux doctorantes », se souvient Marie-Christine Baietto. « De mon côté, quand je suis arrivée au laboratoire, en 1990, nous étions trois femmes. Aujourd’hui, nous sommes quatre dans une équipe de 33 chercheurs », souligne Valérie Sartre pour le CETHIL. « Bien que les jeunes femmes soient bien représentées dans la population de nos doctorants (37 % en 2024), le nombre de chercheuses n’évolue quasiment pas dans notre laboratoire ».

« Au contraire, dans notre laboratoire, les choses évoluent », poursuit Federica Calevro, Directrice de Recherche INRAE et Directrice du laboratoire Biologie fonctionnelle, insectes et interactions (BF2i). « À mon arrivée au BF2i, en 2001, j’étais la seule maîtresse de conférences sur douze chercheurs et enseignants-chercheurs. Je suis aussi la première DR et Directrice d’Unité femme au BF2i en 64 ans d’existence. Aujourd’hui, nous sommes 4 femmes pour un total de 10 chercheurs et enseignants-chercheurs, et notre comité de direction compte trois femmes sur quatre membres. Je suis persuadée que le recrutement de femmes a un effet levier pour d’autres recrutements féminins ».

Au laboratoire Ingénierie des Matériaux Polymères (IMP) avec à sa tête Jannick Rumeau, la proportion de femmes chercheuses est de 29 % : « Aujourd'hui, ce sont 15 femmes sur les 51 chercheurs/enseignants chercheurs que compte le laboratoire. Et sur les 15 chercheuses-enseignantes et chercheuses, 7 sont professeur ou DR CNRS. Nous sommes maintenant 4 femmes professeurs, mais nous sommes restées 2 pendant très longtemps. Je suis bien sûr la première directrice de l'IMP et au comité de direction de l'IMP, nous sommes 3, dont deux femmes : j'ai un adjoint et une adjointe ».

« La parité n’est pas encore atteinte, mais nous menons des actions pour valoriser les carrières scientifiques. Il me semble important d’encourager les jeunes femmes à postuler sur des postes de professeur sans auto-censure, à se positionner sur des postes de responsable d’équipe, de directrice adjointe d’unité et de directrice d’unité. Une femme a toutes les qualités et compétences pour occuper ces fonctions. J’ai ainsi demandé, par exemple, de veiller à la parité quand cela est possible dans les équipes de direction des laboratoires de l’INSA Lyon. Nous essayons aussi grâce aux dispositifs récemment mis en place, la promotion locale, de promouvoir des femmes à des postes de professeures » formalise Marie-Christine Baietto. 

Aujourd’hui, à l’INSA Lyon, nous comptons 4 Directrices d’Unité et 7 Directrices d’Unité Adjointes, soit 11 femmes à des postes de direction de laboratoires pour nos 22 laboratoires, et 26 responsables ou responsables adjointes d’équipes sur les 80 équipes composant ces laboratoires. « Il y a encore beaucoup à faire, néanmoins ces chiffres sont très positifs », commente Marie-Christine Baietto.   

 

Échecs en Maths 

« Lorsque j’ai commencé ma thèse, en 1995, j’ai beaucoup entendu dire à propos de la place des femmes dans la recherche en mathématiques “ça s’arrange“. J’ai pris cela comme un encouragement et j’ai trouvé que c’était positif. Malheureusement, le constat, presque 30 ans plus tard, est que la situation n'évolue que très lentement, trop lentement », nous fait part Véronique Maume-Deschamps, Directrice de l'Institut Camille Jordan. Le pourcentage de femmes professeures des universités en mathématiques est passé de 11 % en 2013 à 13,5 % en 2021 ; celui des femmes maîtresses de conférences en mathématiques de 26,6 % en 2023 à 27,5 % en 2021. La situation est même critique en « mathématiques fondamentales » où la proportion de femmes est passée de 6,7 % en 2013 à 6,5 % en 2020 et 7,2 % en 2021. Pourtant, depuis 30 ans, de nombreuses actions ont été menées10.

« Nous devons reconnaître qu’elles n’ont pas produit leurs effets. Sans une très forte volonté politique, je crains que dans 20 ans, nous fassions le même constat. Il faut d’abord « aller chercher les femmes » : solliciter des candidatures féminines, les encourager à faire des thèses de mathématiques, les inviter à des conférences et des séminaires. Les viviers de femmes existent pour le moment, mais nous constatons que les femmes sont moins souvent candidates que les hommes. Au-delà de l’incitatif, probablement que pour une phase transitoire, il faudrait des mesures actives », continue Véronique Maume-Deschamps, « comme attribuer des bourses de master de mathématiques pour les femmes comme ce qui est proposé par la Fondation Mathématique Jacques Hadamard, proposer des candidatures prioritaires pour les femmes sur les concours d’enseignantes-chercheuses comme cela est fait dans certaines universités étrangères11, avoir des objectifs contraignants de femmes en option mathématiques et mathématiques expertes dans les lycées ; ; attribuer des bourses d’études pour les femmes en sciences dès le lycée pour retrouver et dépasser les effectifs de 2019 de femmes formées en mathématiques au lycée. Ces effectifs ont dramatiquement chuté avec la réforme du lycée ». Car ce manque de féminisation dans les mathématiques fondamentales aura forcément des conséquences. 


Ne pas être absente de l’équation

Les femmes sont plus présentes dans les domaines scientifiques liés au soin comme la médecine par exemple, alors que les hommes le sont plutôt dans les domaines comme la robotique, les mathématiques, le numérique ou encore la physique des hautes énergies12. Sur 115 disciplines scientifiques, 85 d’entre elles sont majoritairement dominées par les hommes13. Elles restent encore peu présentes en sciences, particulièrement en mathématiques et en physique ou encore en astrophysique. Et pourtant, le regard des femmes est primordial sur ces sujets. À titre d’exemple, dans l’intelligence artificielle, une vision du monde exclusivement masculine peut engendrer des biais sexistes dans les algorithmes. Ainsi, on constate que les logiciels de reconnaissance faciale, développés majoritairement par des hommes, sont plus performants pour faire la différence entre des visages d’hommes qu’entre des visages de femmes. Leur absence impacte nécessairement la performance des recherches, mais également notre vision de la société.

« La mixité a forcément des impacts positifs dans les recherches et la science en général. Je le constate tous les jours dans notre pratique scientifique : plus les équipes sont diversifiées, avec des hommes et des femmes, des scientifiques plus jeunes et moins jeunes, issus de différents horizons, cultures et formations, plus elles s'enrichissent et progressent par le partage des idées, des points de vue, et des ressentis… Le travail collectif sur l’ensemble des domaines fait avancer la recherche », assure Marie-Christine Baietto. 


Lever les barrières 

Pendant longtemps, les carrières scientifiques étaient réservées aux hommes, trop contraignantes avec une vie de famille. « Lorsque je suis arrivée au laboratoire, nous ne devions pas compter nos heures… Plus tard, j’ai demandé un temps partiel pour m’occuper de mes enfants, c’était la première fois qu’on faisait cette demande dans le laboratoire », se souvient Valérie Sartre. Aujourd’hui, les femmes peuvent exercer dans la recherche, sans craindre pour leur équilibre vie professionnelle et vie de famille. Plusieurs schémas Directeur ont été mis en place.  
La compétence est encore aujourd’hui une barrière à lever : « Les femmes souffrent souvent du syndrome de l’imposteur. Je pense que cela est en partie lié au fait que la société est souvent plus critique envers les femmes qu’envers les hommes. Et la conséquence est qu’elles peuvent ne pas se sentir à la hauteur », remarque Federica Calevro.


La mixité au service du collectif 

« Dans une équipe aussi c’est primordial d’avoir une mixité. Cela nourrit nos échanges et nos regards. Chacune et chacun apporte son vécu et ses compétences, ses qualités. C’est comme cela qu’on avance, qu’on atteint la réussite. La mixité aide aussi dans la gestion RH, car on a souvent besoin de visions très différentes pour assister les collègues en difficulté, ou résoudre un litige. En travaillant en binôme avec des hommes à la direction de mon labo (le Directeur d’Unité dont j’étais la Directrice d’Unité Adjointe, ou le Directeur d’Unité Adjoint actuel de mon labo), j’ai pu voir comment on se complète, on se tempère, on arrive à se mettre des limites réciproquement, et ça marche », assure Federica Calevro.

« La diversité a du bon ! En tant que chercheuse, j'ai toujours apprécié de travailler avec des hommes. Pour moi, la difficulté d'interagir avec l'autre ne relève pas d'une différence de sexe, de couleur ou de nationalité mais celle de ne pas partager les mêmes valeurs. Peu m'importe que mon collaborateur soit fille ou garçon ou non genré, du moment que nos valeurs sont communes. Mais force est de constater les chiffres. Et de se dire qu'il y a de l'autocensure », complète Jannick Rumeau. 


Éviter l'auto-censure

Les femmes sont proportionnellement moins nombreuses dans le métier de chercheuse (29 %) que dans les professions de soutien à la recherche (42 %). Et lorsqu’on s’intéresse aux postes à responsabilité le chiffre est assez bas. « Je ne pensais pas que j’étais capable de prendre des fonctions de direction », commente Valérie Sartre « C’est grâce au soutien d’une autre femme, Marie-Christine Baietto, que j’ai franchi le pas de candidater à cette fonction ». Car pour prendre des fonctions de direction, il faut avoir bien évolué dans sa carrière. Pour la direction d’un laboratoire, par exemple, cela correspond à avoir déjà été promu dans le corps des Professeurs des universités ou Directeur de recherche. Et les femmes sont souvent moins nombreuses dans ces corps.

« De mon côté, lorsque je pose la question concernant des prises de fonction à responsabilité à des collègues d’autres laboratoires, alors qu’elles auraient les capacités pour diriger une structure, je constate qu'elles s'autocensurent. Elles pensent, à raison, qu’elles seront soumises à une pression supérieure que leurs collègues hommes, en recouvrant des fonctions de direction. Une femme se doit d’être compétente et organisée, il y a rarement la place pour une erreur, pour un faux pas, pour un moment de fatigue. Elles seront aussi critiquées plus facilement lors de leur prise de parole. Dans le cas d’une discussion, je vois encore des hommes couper la parole aux femmes, lever la voix pour couvrir leur voix. Je pense que certains ne s’en rendent même pas compte. Cela peut décourager les collègues » nous partage Federica Calevro. 

 

L’importance du Rôle modèle

Dès le plus jeune âge, il faut sensibiliser et montrer aux jeunes filles qu’elles peuvent embrasser une carrière scientifique. « D’ailleurs, je suis souvent intervenue pour présenter mon parcours au sein des lycées afin de témoigner de la possibilité d’être chercheuse, femme et mère » fait part Marie-Christine Baietto. « Les femmes, mais également les personnes issues de milieux sociaux moins favorisés, ne devraient pas s’exclure automatiquement des parcours scientifiques prestigieux » nous rappelle Valérie Sartre. « Il manque une représentativité pour encourager les profils compétents à embrasser une carrière scientifique ». Une partie se joue dès l’enfance et une autre au sein même de l’INSA. « Le fait que la Direction de la Recherche INSA soit assurée par une femme, qui est largement reconnue pour ses compétences et ses qualités à prendre des décisions, a un effet positif sur les motivations des jeunes chercheuses et enseignantes-chercheuses à prendre des responsabilités. Nous voyons en Marie-Christine un exemple très positif de réussite féminine » complète Federica Calevro.  


Plus largement, ce problème de représentativité, même si cela évolue, se retrouve dans les prises de parole médiatique. Les hommes occupent beaucoup plus cet espace. Certaines études, notamment celle de l’Observatoire des inégalités, confirment que les femmes sont présentes dans une bien moindre proportion que les hommes, qui dominent. Globalement, les hommes sont plus souvent invités par les journaux, on retrouve plus d’articles publiés par des hommes que par des femmes et celles-ci sont également beaucoup moins citées que les hommes. Et cela n’aidera pas à se débarrasser de notre savant fou… « Alors oui, il faut continuer à se battre en science et en recherche pour la génération suivante », conclut Jannick Rumeau.

 

L’INSA Lyon a fait de l'égalité professionnelle un engagement fort. Sa démarche repose sur trois piliers : favoriser la mixité dans les métiers, appliquer le principe d'égalité de rémunération et d'évolution professionnelle entre les hommes et les femmes, enfin favoriser et promouvoir la conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle pour chaque salariée et salarié. 

____________________________

[1] Aphorisme attribué à Albert Einstein – dont on se questionne aujourd’hui sur le rôle de sa femme dans ses recherches. 
[2] Cette étude montre que, de la physique des particules aux sciences sociales, les scientifiques, hommes et femmes, associent pour la plupart « science » et « masculin » dans leur mémoire sémantique (la mémoire des concepts et des mots). Ce stéréotype est implicite, c’est-à-dire que, le plus souvent, il n’est pas détectable au niveau du discours. Et il est équivalent à celui observé dans la population générale. Et ce biais influence les jurys. 
[3] Au Moyen Âge, la religion et la culture empêchent l’éducation et la participation des femmes dans les sciences. 
[4] Citation du philosophe Poullain de la Barre (1647-1723), ardent défenseur de la cause féminine. 
[5] Sources : MESRI - État de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation en France n°16
88 % contre 78 % . En 2019, avant la réforme du baccalauréat, elles étaient 47,5% en filière scientifique. En 2021, plus que 44,7% suivent un parcours scientifique au lycée.
[6] À nuancer avec la mise en place du nouveau baccalauréat. Les derniers chiffres concernant la nouvelle réforme montrent un net recul de la parité dans les matières scientifiques, surtout les maths.
[7] Discours : Frédérique Vidal rappelle son engagement pour favoriser la place des femmes dans les filières scientifiques
[8] À retrouver : Pourquoi les filles sont-elles toujours minoritaires dans les écoles d’ingénieurs ?
[9] Moyenne CNRS 34, 4 % en 2021 contre. 30,6% en 2001
[10] CNRS Mathématiques :Effectifs permanents en mathématiques produit
L’association : « Femmes & Mathématiques 
[11] Par exemple l’université technologique de Eindhoven, sur certains postes, pendant six mois, a mis un système où seules les femmes peuvent candidater, si à l’issue des six mois le poste n’est pas pourvu, les candidatures sont ouvertes à tous et toutes.
[12] Rapport 2020 – MESRI- Indépendamment de leur secteur d’emploi, public ou privé, le rapport femmes-hommes diffère principalement par le domaine de recherche. La parité est acquise dans les domaines de la santé et de la chimie, débouchés de disciplines de formation où la proportion de femmes est élevée. En revanche, la parité reste très éloignée dans l’aérospatial, l’énergie nucléaire et les technologies du transport et du numérique.
[13] Étude menée par l’université de Melbourne.

 

Mots clés

28 fév
28/fév/2023

Vie de campus

La journée internationale des droits des femmes à l’INSA Lyon

A l'occasion du 8 mars, journée internationale des droits des femmes, la communauté INSA Lyon propose différentes activités. Tour d'horizon des initiatives de l’édition 2023.  

Opération Rubans violets par les Sang-Culottes 

L’association étudiante les Sang-culottes lance une grande campagne de sensibilisation sur les Violences Sexistes et Sexuelles (VSS), à l’occasion de la journée du 8 mars. Une vente de rubans violets proposés à prix libre se tiendra sur le campus dès le 2 mars 2023 au profit de l’association VIFFIL, qui accueille des femmes et leurs enfants victimes de violences intrafamiliales à Villeurbanne.

 

Exposition Karine PRIOT : Tous les droits, de quels droits ?

Du Mardi 7 au Vendredi 10 mars 2023 - Galerie des expositions du Centre des Humanités
Vernissage le Mercredi 8 mars à 12h30

Cette exposition propose de questionner les droits des femmes au regard des normes sociales explicites et implicites, et interroge les clichés qui s’imposent à la condition des femmes.

Entrée libre

 

Rencontre débat autour du langage inclusif par les Sang-Culottes 

8 mars – A partir de 20h - Salle de créativité 202-203 de la Bibliothèque Marie Curie

L’association étudiante les Sang-culottes vous propose une rencontre et un échange avec autour du langage inclusif avec Tiphaine D autrice, comédienne, metteuse en scène, chroniqueuse média, formatrice, coach, influenceuse, conférencière engagée pour les Droits des Femmes, des Enfants, l'antispécisme et l'écologie. 

"Elle était une fois, une langue émancipée". Il s'agit d'une "mise au point humoristique et poétique sur l'écriture inclusive, la Féminine Universelle, et l'histoire de la masculinisation du langage aux l'origine de l'académie française..." Tiphaine D 


Jeu "Sexisme sans façon" par l'Institut Gaston Berger

9 mars 12h45 -13h45 - Salle de créativité de la Bibliothèque Marie Curie

L'Institut Gaston Berger vous propose, sous un format ludique, de mieux identifier les situations de sexisme au travail et dans la vie quotidienne. En effet, le jeu vous met dans la peau de salarié d'un restaurant. Vous devez servir des commandes constituées d'entrées, de plats, de desserts et de boissons, en répondant avec succès aux questions et épreuves proposées. Ces dernières sont fictives et s'inspirent de situations de travail ordinaires ...

 

Fresque des féminismes par l'Institut Gaston Berger

9 mars à 14h00-16h00 - Salle de créativité de la Bibliothèque Marie Curie

Souvent simplifié et caricaturé, le terme féminisme peut rapidement cristalliser les discussions et empêcher la réflexion. Les mouvements féministes sont en effet complexes et pluriels. Ils s’inscrivent dans des contextes historiques et politiques bien particuliers pouvant parfois soulever des contradictions voire des incompréhensions. Participez à ce temps d'échanges en construisant vous même la fresque !

 

Conférence avec l'eurodéputée Sylvie Guillaume organisée par le CUID

9 mars - 19h /  Amphi Freyssinet 

Le CUID, association CUlture et IDentité européenne de l'INSA, propose une rencontre et un échange avec la députée européenne Sylvie Guillaume, très engagée pour la cause du droits des femmes.
C'est une belle opportunité de découvrir le parcours d'une eurodéputée au sein des institutions européennes et de discuter des problématiques liées aux droits des femmes au sein de l'UE.
Sylvie Guillaume siège en tant que députée européenne depuis 2009 et a été élue Vice-Présidente du Parlement européen entre 2014 et 2019.

Entrée libre
 

Mots clés

09 mar
09/03/2023

Sciences & Société

Sexisme et droits des femmes : se sensibiliser en jouant

A l'occasion du 8 mars, journée internationale pour les droits des femmes, l'Institut Gaston Berger vous propose deux activités ludiques pour identifier le sexisme au travail et comprendre les enjeux du féminisme.

SEXISME SANS FAÇON !
Vous êtes salarié d'un restaurant. Vous devez servir des commandes constituées d'entrées, de plats, de desserts et de boissons, en répondant avec succès aux questions et épreuves proposées. Ces dernières sont fictives et s'inspirent de situations de travail ordinaires ...

Inscrivez-vous pour participer à ce temps ludique qui vous permettra de mieux identifier les situations de sexisme au travail, et dans la vie quotidienne !

RDV le 9 mars à 12h45
Inscription => Jeu Sexisme sans façon

 

FRESQUE DES FEMINISMES
Souvent simplifié et caricaturé, le terme féminisme peut rapidement cristalliser les discussions et empêcher la réflexion. Les mouvements féministes sont en effet complexes et pluriels. Ils s’inscrivent dans des contextes historiques et politiques bien particuliers pouvant parfois soulever des contradictions voire des incompréhensions. Participez à ce temps d'échanges en construisant vous même la fresque !

RDV le 9 mars à 14h00
Inscription => Fresque des féminismes
23 nov
Du 23/11/2022 12:30
au 23/11/2022 14:00

Sciences & Société

Théâtre-Forum : Face aux violences sexistes et sexuelles agissons

Cet événement s’inscrit dans le cadre de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.

Sexisme banalisé, consentement, soirées alcoolisées, « blagues » sur le genre, l'Institut Gaston Berger vous propose de prendre part avec la compagnie Vilain.es à un spectacle vivant, sous la forme du théâtre-forum, qui ouvre à la réflexion et à l'action autour des violences sexistes et sexuelles.

Ce théâtre-forum s’adresse à tous et toutes, que vous soyez personnel, étudiant ou doctorant et joue pour vous des scènes de la vie quotidienne au travail et pendant les études.

Avec le théâtre-forum, vous pourrez réfléchir collectivement à des situations problématiques, de celles que tout le monde peut vivre. Vous aurez la possibilité de chercher ensemble des solutions et, pour les volontaires, tenter de changer le cours des évènements, en toute liberté.

ATTENTION : Places limitées => Inscription en ligne
11 mar
Du 11/03/2022 12:30
au 11/03/2022 14:00

Sciences & Société

Mixité de genre dans les formations d’ingénieur·es : un acquis à l’INSA Lyon ?

L'Institut Gaston Berger de l'INSA Lyon (IGB) organise une conférence débat sur la mixité femme / homme à l'occasion du 8 mars, journée internationale pour les droits des femmes.

Une conférence-débat animée par Marion Erouart, Docteure en psychologie sociale et du travail, qui présentera les principales conclusions de sa thèse réalisée à l’INSA Lyon sur l’orientation genrée vers et pendant les études d’ingénieur·e·s.
S’en suivra un débat sur les principales actions déjà en place ou à mettre en œuvre, avec un regard croisé INSA Lyon x Assystem, entreprise engagée pour l’égalité femmes-hommes.

Gratuit sur inscription. Le lien d'inscription sera prochainement disponible
13 avr
13/avr/2021

INSA Lyon

« Si on ne s’attaque pas à la question de l’égalité, on verra poindre une crise dans la crise. »

Le 22 avril prochain, l’INSA Lyon accueillera l’étape lyonnaise du « Grand Tour #NotreGénérationÉgalité » qui porte une ambition forte : favoriser l’égalité réelle dans une société plus inclusive, durable et respectueuse de chacune et chacun. Pour concrétiser cette ambition, le « Grand Tour » propose une quinzaine de rendez-vous consultatifs pour connecter les préoccupations de toutes et tous à l’action diplomatique du pays en vue du sommet initié par ONU Femmes, le Forum Génération Égalité. Et la communauté de l’INSA Lyon est sollicitée. Thomas Friang, fondateur et directeur général de l’Institut Open Diplomacy, explique la démarche qui se veut participative.

Une tribune publiée dans les pages du Monde, également co-signée par l’INSA Lyon, débute sur l’idée suivante : d’un point de vue législatif, l’égalité est « en bonne voie », mais la réalité est encore toute autre. Pourquoi les lois ne suffisent-elles pas à construire une société égalitaire ?

Ce que cette idée veut surtout dire, c’est que bâtir une société exemplaire est plus difficile que de faire une loi. Bien sûr, l’arsenal législatif renforce les moyens de lutter contre les inégalités et ont des répercussions très concrètes comme la loi Veil qui a permis la dépénalisation de l’avortement ou la loi Coppé-Zimmerman qui veille à la représentation équilibrée des femmes et des hommes au sein des conseils d’administration par exemple. Ces lois existent et ont fait progresser l’égalité femmes-hommes, mais elles ne nous emmènent pas au dernier kilomètre. Ce qui prend du temps, c’est le développement d’une culture égalitaire qui n’adviendra que quand cet objectif sera partagé, non pas seulement par les pouvoirs publics, mais par la société toute entière, les entreprises et les associations autant que les collectivités publiques, par les hommes autant que par les femmes. On ne peut pas parvenir à une société égalitaire sans que chacun des acteurs ne soit impliqué dans la conception et la mise en œuvre de cette société plus juste. L’esprit et les moyens de la législation sont une chose, son appropriation par toutes les forces civiques en est une autre. Nous souhaitons passer des droits formels aux droits réels.

Le « Grand Tour » donne lieu à plusieurs grandes conférences et fera étape -virtuellement - à l’INSA Lyon le 22 avril prochain. Il convie la communauté insalienne à exprimer ses idées pour construire une société égalitaire. Ce que l’Institut Open Diplomacy nomme « la philosophie de la diplomatie participative » est donc une façon de passer du cadre législatif à une réalité plus égalitaire ? Pourquoi solliciter les établissements d’enseignement supérieur en particulier ? 

Effectivement, ces quinze rendez-vous citoyens prépareront « Le Forum Génération Égalité », un sommet initié par ONU Femmes que la France et le Mexique co-présideront en juin. Cela fait 26 ans que la « Plateforme d’action de Beijing » a été adoptée et a fixé un cadre normatif. Maintenant, il faut passer à l’action avec des engagements mesurables avec des effets prévisibles à 5 ans. Les établissements comme l’INSA Lyon sont des acteurs indispensables pour plusieurs raisons. D’abord, ces établissements sont des employeurs dont les politiques RH doivent être en phase avec l’égalité femmes-hommes. L’enseignement supérieur et la recherche sont globalement assez paritaires, même s’il y a encore beaucoup de progrès à faire à la tête des établissements. Ensuite, les écoles et universités forment des étudiants, qui sont des citoyens. Ils sont donc en capacité directe de contribuer à faire advenir « la génération égalité », car le passage à l’égalité réelle, c’est la génération qui arrive qui pourra l’atteindre. Enfin, la mission de partage de la science dans le débat public dans ces établissements est particulièrement intéressante pour contribuer à structurer le débat public. À l’INSA Lyon, l’Institut Gaston Berger va jouer un rôle très important, car l’égalité est l’une de ses raisons d’être, et travaille quotidiennement sur le sujet. Les évènements diplomatiques où la société civile est conviée sont finalement très rares et pourtant, ce que j’ai pu remarquer durant les trois premières étapes du Grand Tour, c'est que les contributions concrètes des étudiants, enseignants, chercheurs et personnels sont très écoutées par les parlementaires, présidents de Région et les ministres présents.

Après le Grand Tour, les propositions seront compilées et proposées lors du « Forum Génération Égalité », présidé par le président de la République, Emmanuel Macron : la diffusion des idées citoyennes aura donc une issue concrète. Quel est le plan, ensuite ?

Le « Grand Tour » débouchera en juin sur ce sommet initié par ONU Femmes que la France préside. À cette occasion seront lancées, avec plus de 60 États partenaires, des actions concrètes à l’échelle internationale, nourries des contributions des Françaises et des Français que nous aurons recueillies. Ce que j’observe déjà, c’est que le processus lui-même est très instructif. Lorsque nous tenons les conférences consultatives région par région, je vois des ministres prendre des notes. Cela signifie que les propositions citoyennes n’attendent pas le sommet onusien pour être diffusées. Les idées qui émergent des conférences impriment déjà les esprits. C’est d’ailleurs ce que prouve la démocratie participative : le pouvoir ne réside pas qu’entre les mains des politiques, mais bien entre toutes les mains de tous les acteurs du corps social. C’est l’esprit civique qui nous anime : fournir aux Françaises et Français tous les outils pour prendre conscience de leurs rôles respectifs dans ce combat culturel et passer à l’action.

« Génération Égalité ». Ne pourrait-on pas aussi la nommer « génération environnement », « génération biodiversité » ou « génération société numérique » ? Cela fait beaucoup pour les épaules d’une seule génération, non ?

C’est une question extraordinairement difficile qui est un problème de philosophie politique. De mon point de vue, il ne faut pas voir l’enjeu de l’égalité comme une tâche supplémentaire dans la « to-do list » des gouvernements. Ce que l’on remarque à chaque crise, et la crise sanitaire en est un exemple parlant, c’est que les inégalités sont toujours plus accentuées : parmi tous ceux qui souffrent, il y a toujours une partie de la population qui paye une facture plus élevée que le reste, et c’est souvent celle qui est déjà discriminée. Si on ne s’attaque pas à la question de l’égalité, qu’elle soit de genre, raciale ou sociale, on verra poindre une crise dans la crise. Et au final, la cohésion sociale, notre atout le plus précieux pour faire face à ces défis, sera elle-même affectée. Travailler sur l’égalité femmes-hommes, y compris par temps de pandémie ou de crise climatique est un paramètre majeur pour résoudre l’équation. Mieux, c’est une opportunité pour traiter plus intelligemment la crise, y apporter une réponse plus durable et efficace. 

 

Le Grand Tour #NotreGénérationÉgalité
L’INSA Lyon accueille l’étape régionale du Grand Tour #NotreGénérationÉgalité le jeudi 22 avril 2021. Cet événement se déroulera sous la forme d’une conférence consultative en ligne de 14h à 17h.
De nombreuses personnalités échangeront autour d’idées à mettre en place pour élaborer un programme d’actions concrètes et prendre des engagements sur les cinq prochaines années afin de faire progresser durablement l’égalité femmes-hommes dans le monde. Cette étape régionale sera marquée par la participation de M. Cédric O, Secrétaire d’État chargé de la transition numérique et des communications électroniques.
Inscription : https://www.open-diplomacy.eu/grand-tour-generation-egalite 

 

Pour aller plus loin sur le sujet : 
Podcasts « Les cœurs audacieux » -  Saison 1 / Épisode 6 - 24 juin 2021
 

Mots clés

22 avr
Du 22/04/2021 14:00
au 22/04/2021 17:00

INSA Lyon

Le Grand Tour - Forum Génération Egalité

15 étapes en avril et mai 2021

En partenariat avec l’Institut Open Diplomacy, l'INSA Lyon accueille une étape du Grand Tour - Forum Génération Egalité, en présence de M. Cédric O, Secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques.

En amont du Sommet International « ONU Femmes » qui aura lieu fin juin, le Grand Tour donne lieu à 14 conférences consultatives sur tout le territoire, permettant de recueillir les réflexions des participants sur la manière de faire progresser durablement l’égalité entre les femmes et les hommes dans le monde.
Les conclusions de ces travaux seront remises au gouvernement en amont du Sommet, co-organisé par la France et le Mexique, et qui rassemblera en juin 2021, à Paris, 60 chefs d’Etat et de gouvernement. 

L’égalité femmes-hommes, constitue un enjeu majeur pour l’INSA Lyon. En nous impliquant dans le Grand Tour #NotreGénérationEgalité, nous sommes particulièrement heureux et fiers et contribuer à la dynamique internationale engagée au service de cette ambition. 

Programme du jeudi 22 avril 2021 de 14h à 17h

Conférence consultative autour de M. Cédric O, Secrétaire d'Etat chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques avec : 

•    Thomas Friang, Fondateur et Directeur général de l'Institut Open Diplomacy
•    Dr. Frédéric Fotiadu, Directeur de l'INSA Lyon
•    Juliette JARRY, Vice-présidente Région Auvergne Rhône-Alpes déléguée au numérique
•    Marie-Noëlle Battistel, Députée de l'Isère, Vice-présidente de la Commission aux Affaires économiques et de la délégation aux Droits des femmes
•    Rana Hamra, Fondatrice d'Humanity Diaspo
•    Pauline Adam-Kalfon, Associée de PwC France
•    Fatima Bakthi, Secrétaire générale adjointe de Femmes Ingénieurs
•    Emmanuelle Quiles, Présidente de Janssen France
•    Sonia Bechet, Directrice de l'Institut Gaston Berger
•    SEM Delphine O, Ambassadrice et Secrétaire générale du Forum Génération Égalité
•    SEM Hans-Dieter Lucas, Ambassadeur d'Allemagne

En raison des conditions sanitaires, l’évènement sera totalement proposé en format digital.
La participation est gratuite et ouverte à toutes et tous.
Inscription obligatoire : https://www.open-diplomacy.eu/grand-tour-generation-egalite

 

30 avr
30/avr/2021

INSA Lyon

L'INSA Lyon, hôte du Grand Tour #NotreGénérationÉgalité

En partenariat avec l’Institut Open Diplomacy, l'INSA Lyon a accueilli une étape du Grand Tour - Forum Génération Egalité, en présence de M. Cédric O, Secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques.

En amont du Sommet International « ONU Femmes » qui aura lieu fin juin, le Grand Tour donne lieu à 14 conférences consultatives sur tout le territoire, permettant de recueillir les réflexions des participants sur la manière de faire progresser durablement l’égalité entre les femmes et les hommes dans le monde.
Les conclusions de ces travaux seront remises au gouvernement en amont du Sommet, co-organisé par la France et le Mexique, et qui rassemblera en juin 2021, à Paris, 60 chefs d’Etat et de gouvernement. 

L’égalité femmes-hommes constitue un enjeu majeur pour l’INSA Lyon. Cette implication dans le Grand Tour #NotreGénérationEgalité permet à la communauté INSA de contribuer à la dynamique internationale engagée au service de cette ambition. 

Voir ou revoir l'étape 6 du Grand Tour #NotreGénérationÉgalité​​​​ avec M. Cédric O

3 questions à M. Cédric O | Etape 6/14 du Grand Tour #NotreGénérationÉgalité​

L'étape 6 du Grand Tour a eu le plaisir d'accueillir, autour de M. Cédric O, Secrétaire d'Etat chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques : 
•    Thomas Friang, Fondateur et Directeur général de l'Institut Open Diplomacy
•    Pr. Frédéric Fotiadu, Directeur de l'INSA Lyon
•    Juliette JARRY, Vice-présidente Région Auvergne Rhône-Alpes déléguée au numérique
•    Marie-Noëlle Battistel, Députée de l'Isère, Vice-présidente de la Commission aux Affaires économiques et de la délégation aux Droits des femmes
•    Rana Hamra, Fondatrice d'Humanity Diaspo
•    Pauline Adam-Kalfon, Associée de PwC France
•    Fatima Bakthi, Secrétaire générale adjointe de Femmes Ingénieurs
•    Emmanuelle Quiles, Présidente de Janssen France
•    Sonia Bechet, Directrice de l'Institut Gaston Berger
•    SEM Delphine O, Ambassadrice et Secrétaire générale du Forum Génération Égalité
•    SEM Hans-Dieter Lucas, Ambassadeur d'Allemagne

Informations complémentaires

Mots clés

09 mar
Du 09/03/2020
au 19/03/2020

Sciences & Société

Numérique, en avant toutes !

15 jours d'événements autour de la présence des femmes dans l'informatique et le numérique.

Du 9 au 19 mars prochains la mission égalité-diversité de l'université Claude Bernard Lyon 1 s'associe à l'INSA Lyon, Polytech, L'IUT Lyon 1, la Fondation Blaise Pascal, L'Institut Gaston Berger et l'UFR d'informatique pour 15 jours d'événements autour de la présence des femmes dans l'informatique et le numérique

Au programme : une conférence d'Isabelle Collet, une exposition d'art numérique et poétique de l’artiste suisse Camille Scherrer, des échanges et débat sur les femmes dans le jeu vidéo et l'E-sport ou l'Intelligence Artificielle, des ateliers pour apprendre à coder, un ciné-débat...et bien d'autres moments pour réfléchir, échanger et faire bouger les lignes.

Programme complet 👉🏻 https://egalite-diversite.univ-lyon1.fr

12 nov
Du 12/11/2019 18:30
au 12/11/2019 20:30

Sciences & Société

ÉVIDENCES 2019 Lumière sur les Hommes qui s'engagent pour la mixité !

L'égalité vue par les hommes, l'égalité faite par les hommes.  Comment oeuvrent-ils ? Quel est leur rôle ? 

Grands témoins, table ronde, stands... en ouverture du Festival Lyon Gagne avec ses femmes.

Des témoignages et partages de bonnes pratiques pour construire ensemble, femmes et hommes, des sociétés plus ouvertes et collaboratives.

Cet événement sera suivi d'un cocktail networking.

*Gratuit pour les collaborateurs des sociétés membres de l'AME, les étudiants et les partenaires (sociétés membres de l'AME : Axa, bioMérieux, Casino, Caisse des Dépôts, Caisse d'Epargne Rhône-Alpes, Deloitte, EDF, Groupama, Groupe SEB, SNCF, Solvay, Sanofi, SERFIM, Total, Volvo).

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