Podcast

10 oct
10/oct/2024

Vie de campus

Découvrez le 1er épisode du nouveau podcast de l'INSA Lyon

Aujourd'hui, c'est la journée mondiale de la santé mentale 🫀🧠
L’occasion toute indiquée pour découvrir le nouveau podcast de l’INSA Lyon : « Dans la turne d’à-côté » 🎧

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Dans la vie, il y a des moments qui marquent, et la période des études supérieures en est souvent un. 🌱 Dans les esprits, les cœurs, les corps, de nouvelles sensations apparaissent et des défis sont à apprivoiser.
Nous avons rencontré cinq élèves-ingénieurs de l’INSA Lyon qui nous ouvrent la porte de leur « turne » et ont partagé leurs joies, leurs peurs, leurs ambitions et leurs espoirs 🌟


🔗 Découvrez le premier épisode de « Dans la turne d’à-côté » : 

Clara est une grande sportive. Compétitrice, chaque activité qu’elle entreprend est l’occasion de se dépasser. Seulement, un jour, elle s’aperçoit que ce perfectionnisme lui joue des tours. À la puberté, elle connaît « la triade de la femme athlète », un symptôme sournois qui touche de nombreuses sportives, engendre troubles du comportement alimentaire, troubles du cycle menstruel et baisse de la densité minérale osseuse. Des premières injonctions intérieures, à aujourd’hui, elle nous raconte son histoire, qu’elle a également documenté dans son livre intitulé « Regarder devant », paru aux éditions Michalon.

 

⚠️ Les discussions et informations partagées dans ce podcast sont destinées à sensibiliser sur la santé mentale. Elles ne remplacent en aucun cas les conseils, diagnostics ou traitements fournis par des professionnels de la santé. Si vous traversez une période difficile ou avez des inquiétudes concernant votre santé mentale, nous vous encourageons vivement à consulter un professionnel qualifié. Prendre soin de soi est essentiel, et demander de l’aide est un signe de force.

➡️ Si vous êtes étudiante ou étudiant à l’INSA Lyon, le service CAP (Conseil et Accompagnement Personnalisé) et le Centre de santé se tiennent à votre disposition pour vous accompagner.

 

Mots clés

15 jan
Du 15/01/2024
au 25/01/2024

Art & Culture

Nuits de la lecture : Le corps et l’âme (podcasts)

Par Louis Charentus, étudiant en ingénierie à l'INSA de Lyon est passionné de contes et légendes.

Ici, dans ces épisodes hors-séries, nous nous attacherons à approfondir une thématique particulière, le corps. Je vous invite avec moi dans cet élément qui nous concerne tous. En partant de la peau, passant par les vaisseaux sanguins, les os ou encore les nerfs, nous voyagerons à travers chaque parcelle de ce corps. Qui sait… Avec un peu de chance, nous découvrirons peut-être l’âme. Je souhaite en tout cas vous faire découvrir cette thématique du corps à travers les contes et légendes de différentes cultures de notre monde. Ce projet s'oriente donc autour de cinq podcasts où je raconte à chaque fois une histoire tirée d'une des nombreuses cultures de l’humanité.

Écouter les podcasts
Hors série 1 : La plus belle des Reines
Hors série 2 : Le dauphin Boto
Hors série 3 : Le Farfadet de Fern-Dern
Hors série 4 : La femme d'argile
Hors série 5 : Un éléphant ça trompe énormément

En parallèle avec l’exposition sur le corps.

Louis Charentus, étudiant en ingénierie à l'INSA de Lyon est passionné de contes et légendes.
« Sur mon podcast "Contes et Voyages" sur Spotify, je vous emmène explorer le monde à travers des histoires de différentes cultures. En cinq histoires, ici, nous explorerons le corps humain, de la peau aux nerfs et peut-être atteindrons-nous l’Âme. Mon objectif est de raviver la tradition orale du conte et de faire rêver petits et grands. Rejoignez-moi dans ce voyage captivant ! »

Informations complémentaires

08 avr
08/avr/2020

Recherche

Thèse et confinement : comment garder le cap ? 

Doctorante en deuxième année au laboratoire MATEIS1 et professeure vacataire au département FIMI, Mathilde Maillard est également l’animatrice des podcasts « Bien dans ma thèse ». Représentante des doctorants de son laboratoire à l’École Doctorale Matériaux2, elle a dû réagir tout de suite pour accompagner ses collègues doctorants dans la continuité de leurs travaux de recherches, à distance. Podcasts ou rendez-vous live, elle a pris à bras le corps les problématiques auxquelles sont confrontés les doctorants confinés : organisation de travail bouleversée, vie académique à l’arrêt et motivation parfois en rémission. Interview.
 
Vous êtes actuellement doctorante en deuxième année au laboratoire MATEIS. Le confinement a bouleversé les quotidiens de chacun. Comment vous êtes-vous préparée à aborder le travail d’une doctorante confinée sereinement ? 
Il a fallu s’organiser pour gérer cette période car, contrairement à l’idée reçue, le doctorant n’est pas un scientifique isolé qui travaille toujours dans son coin ! On travaille en équipe, au sein d’un laboratoire de recherche alors, il a fallu que je réfléchisse à un nouveau plan. Je travaille sur une technique de fabrication additive pour des applications biomédicales. Comme la plupart des doctorants de deuxième année, je n’en suis pas encore à la phase de rédaction de ma thèse mais bien aux essais d’impression 3D, en laboratoire. J’aurais dû effectuer des manipulations pour générer les données qui valideront mes écrits, alors mes travaux sont très impactés par le confinement. Cependant, c’est une situation de laquelle j’essaie de tirer parti au maximum, notamment en développant mes podcasts, « Bien dans ma thèse », destinés aux doctorants et aux futurs doctorants. Aussi, je continue à me former à travers des formations en ligne. Comme le dit mon directeur de thèse, Jérôme Chevalier, c’est surtout une situation qui nous permet, pour une fois, de prendre de la hauteur vis-à-vis de nos sujets de thèses, beaucoup de recul, et de se plonger dans la recherche bibliographique pour maîtriser encore plus tous les aboutissants de notre domaine. Il faut garder le cap !
 
En collaboration avec Le Grand Labo, un média scientifique en ligne pour chercheurs et jeunes chercheurs, vous avez lancé, depuis l’annonce du confinement, « SOS Téléthèse », un live vidéo à destination des doctorants, comme vous, confinés. L’outil numérique est-il une réponse adaptée à la situation des thésards ?
Pour la recherche, tout n’est pas totalement substituable via le télétravail, comme les manipulations qui nous sont désormais impossibles. La plupart des évènements académiques ont aussi été annulés et c’est une vraie lacune pour nous car ils nous permettent d’avoir de nouvelles idées, de présenter nos travaux de thèses et surtout d’établir notre réseau entre doctorants et chercheurs. « SOS Téléthèse » est une solution qui permet de fédérer la communauté et maintenir un lien virtuel entre doctorants et jeunes chercheurs partout en France. Ça n’est pas nécessairement une réponse complète aux problématiques des doctorants confinés, mais nous savons que cela aide beaucoup de gens à se recentrer sur leurs travaux car il est parfois difficile d’y voir clair, notamment en terme d’organisation. La volonté derrière ce live est aussi de créer un espace de partage, moteur de motivation et source d’information. En parallèle, j’ai créé un espace Discord qui permet actuellement à 750 doctorants de tous les horizons de partager des ressources, d’échanger et de surtout de se soutenir, c’est important. D’ailleurs, s’il y a des doctorants qui nous lisent, n’hésitez pas à nous rejoindre !
 

En février, vous avez donné naissance à « Bien dans ma thèse », un programme de podcasts qui a pour but de casser certains clichés sur le doctorat et de parler du diplôme. En temps de confinement, le podcast est tendance. De quoi traite celui que vous animez ?
Avant de me lancer dans l’aventure doctorale il y a deux ans, je me suis aperçue qu’il y avait un réel manque d’informations sur le quotidien et les débouchés du diplôme. Comme beaucoup de gens, j’avais beaucoup d’idées reçues : « Le doctorant est un loup solitaire qui n’a pas de vie sociale », « Il n’y a pas assez de postes académiques » ou « Il faut être plus intelligent que la moyenne », des opinions dans lesquelles je ne me reconnaissais pas. Maintenant, me voilà doctorante et j’ai vraiment envie de déconstruire ces clichés. Le doctorat permet d’avoir un diplôme certes, mais c’est une véritable expérience professionnelle et « Bien dans ma thèse » a pour vocation d’apporter de l’information sur le déroulement d’un travail de thèse. D’ailleurs, beaucoup d’étudiants en Master 2 me questionnent régulièrement sur le sujet, car si on ne va pas chercher l’information, personne ne nous la donne vraiment. Le podcast a le vent en poupe et c’est un média très agile à pratiquer, il suffit presque d’un micro, d’un ordinateur et d’un invité. À travers des portraits de docteurs et doctorants de différents horizons, j’essaie d’apporter un peu de nouveauté en déconstruisant cette fausse image que l’on a de la recherche doctorale (et de ses doctorants). D’ailleurs, je prépare un épisode spécial confinement, alors restez connectés !

▪️️ Bien dans ma thèse, un podcast animé par Mathilde Maillard. Disponible sur Podcloud et Spotify
▪️️ Rejoignez Mathilde sur Twitter

▪️️ Discord : application de messagerie vocale et texte multi-plateforme
▪️️ SOS Téléthèse : continuer sa thèse en plein #CoronaCrisis ?

1Matériaux Ingénierie et Sciences (UMR 5510), INSA Lyon/CNRS/Université Lyon 1
2ED 34

 

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