
Art & Culture
Concert Acoustique #4
L'AMI vous invite à son concert acoustique #4 : Mercredi 10 Janvier 2024 à 12h45 en Salle René Char !
L'Association Musicale de l'INSA vous invite à venir écouter son concert acoustique #4.
Pour une petite pause méridienne en musique, vous serez au bon endroit : les musiciens de l'AMI vous proposeront un programme riche en émotions !
Informations complémentaires
- ami.insa@gmail.com
-
Salle René Char
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Théâtre « Roméo et Juliette » (section Théâtre-études)
Du 05 au 08 maiAteliers danse avec la Cie MF
Les 15 et 22 mai 2025
Sciences & Société
[Conférence] L'Intelligence artificielle, partenaire de création pour les musiques actuelles ?
Conférencier : Benoît Carré, musicien, auteur-compositeur
Écoutez des sons et les harmonies de l'intelligence artificielle (IA), découvrez en quoi ils peuvent inspirer un musicien, bousculer ses habitudes et lui permettre de se représenter autrement dans le processus de création. En quelques exemples issus de ses expérimentations avec les prototypes qu'il a contribué à développer au sein d'une équipe de chercheurs depuis 2015, Benoit Carré vous invite à vous faire votre propre opinion sur le potentiel de l'IA dans la création.
Sur inscription
Informations complémentaires
- scd.animation@insa-lyon.fr
- https://bibliotheque.insa-lyon.fr/cms/articleview/id/6754
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Salle 202-203 - Bibliothèque Marie Curie
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Théâtre « Roméo et Juliette » (section Théâtre-études)
Du 05 au 08 maiAteliers danse avec la Cie MF
Les 15 et 22 mai 2025
Art & Culture
[Atelier] Comment programmer pour créer un instrument de musique électronique ?
Découvrez comment programmer pour créer des instruments de musique électroniques !
Sur inscription - apéritif offert
Intervenant : Yann Orlarey, ingénieur, membre de l’équipe Inria Émeraude
Découvrez comment programmer pour créer des instruments de musique électroniques ! Yann Orlarey proposera une introduction à la programmation sonore avec Faust. Même sans connaissances préalables en programmation, vous serez en mesure de réaliser un synthétiseur musical et de l'utiliser pour une improvisation musicale collective, à la fin de l'atelier.
Informations complémentaires
- scd.animation@insa-lyon.fr
- https://bibliotheque.insa-lyon.fr/cms/articleview/id/6751
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salle 131 et 132 - Bibliothèque Marie Curie
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Théâtre « Roméo et Juliette » (section Théâtre-études)
Du 05 au 08 maiAteliers danse avec la Cie MF
Les 15 et 22 mai 2025
Recherche
« La puissance de calcul numérique a modifié la façon de fabriquer la musique »
Quel est le point commun entre « l’instru » du dernier titre de Jul, la bande originale de Matrix et le générique du journal télévisé de 20h ? Ces mélodies emploient toutes des instruments de musique numériques. En effet, dans le monde de la musique, la vague de numérisation ne s’arrête pas seulement à la composition assistée par ordinateur : la lutherie a vu l’apparition d’instruments augmentés.
Au sein du laboratoire Citi1, l’équipe EMERAUDE2 s’applique à développer de nouveaux langages et des outils de programmation de traitement du signal pour les systèmes embarqués. Si ses membres ne sont pas tous musiciens, l’équipe entretient une relation particulière à la musique, par le biais d’un langage de programmation intitulé « FAUST » pour Functional AUdio STream. Inventé par Yann Orlarey, il y a une vingtaine d’années, ce langage permettant la synthèse et le traitement du son, a rendu le développement de la musique de synthèse plus accessible. Immersion dans le grand monde de l’informatique musicale avec Tanguy Risset, enseignant-chercheur et responsable de l’équipe EMERAUDE.
Qu’appelle-t-on « informatique musicale » ou « computer music » ?
L’informatique musicale, ou « musique programmable », est une discipline qui englobe la synthèse, la composition et le traitement sonore assistés par ordinateur. Elle requiert des langages de programmation et des compétences hautement techniques. Les professionnels de la « computer music » utilisent les mathématiques et des algorithmes pour produire différents sons, ambiances ou mélodies. Cette discipline a pris beaucoup de place dans notre vie quotidienne. Les premiers sons synthétisés demandaient des temps de calcul énormes sur les premiers ordinateurs. Depuis, grâce à la puissance de calcul et aux connaissances numériques, l’informatique musicale est capable d’imiter des sons d’instrument de façon très convaincante.
Aujourd’hui, il est facile d’accéder à un titre via des applications de streaming depuis son smartphone ou son ordinateur. Concrètement, comment sont traduites les informations lues numériquement avant d’arriver jusqu’aux oreillettes de nos écouteurs filaires ?
La musique que nous écoutons via nos smartphones ou nos ordinateurs transite entre l’analogique et le numérique et vice versa. Grâce à des « codecs » qui sont des traducteurs d’informations comme les cartes son par exemple, l’information est transformée, passant d’un état analogique à un état numérique et inversement. En fait, ce codec produit la tension électrique utilisée par les haut-parleurs. Avant les technologies numériques, on produisait analogiquement des formes d’ondes ; le numérique est seulement une autre technologie pour enregistrer la musique : les sons étaient reproduits de façon analogique, c’est-à-dire qu’à une vibration correspondait un signal électrique ou un champ magnétique que l’on représente par une courbe. Pour le numérique, les informations sont aussi représentées par une courbe similaire, à la différence que pour un ordinateur, cette courbe est constituée de points qui, liés entre eux, reproduisent la courbe. Chacun de ces points est codé avec des bits, seize par exemple pour les CD. Les langages de programmation, comme « FAUST », sont les outils nécessaires pour coder ces points.
En 2001, Yann Orlarey, membre de l’équipe EMERAUDE, créait le langage FAUST à l’Institut GRAME. Pouvez-vous nous décrire cet outil dont l’objectif est de rendre le traitement et la synthèse de sons plus accessibles ?
Il existe une pluralité de langages de programmation qui se succède depuis les années 1960. C’est la beauté du langage de programmation : derrière les boutons, il y a énormément d’informations. Cependant, avant les années 2000, les langages existants à l’époque étaient très verbeux et très difficiles d’accès pour les programmateurs en herbe. « FAUST » est né d’une volonté de faciliter l’usage des utilisateurs non-informaticiens, fournissant une alternative simple et de haut-niveau, offrant les mêmes niveaux de performance que les langages de programmation traditionnels. Ce langage s’est beaucoup développé depuis sa création, donnant des collaborations avec l’Université de Stanford, très impliquée en matière d’informatique musicale. Il a aussi servi de support à des projets de médiation, et d’autres applications artistiques et industrielles. Aujourd’hui, il est toujours disponible en open-source3.
Depuis 20 ans, le langage FAUST est utilisé par la communauté d’informatique musicale et sert aussi pour la recherche. Quelle est la suite de l’histoire ?
Effectivement, « FAUST » est utile à une communauté d’académiques, d’informaticiens ou de musiciens. En plus de vingt ans, l’écosystème s’est agrandi : désormais, il est possible de développer en « FAUST » sur tout type d’environnement. Un outil aussi modulaire nécessite forcément une maintenance rigoureuse. Du côté de la recherche et des applications industrielles, au sein de l’équipe EMERAUDE, plusieurs applications sont en cours, notamment sur des compilations sur FPGA4. FAUST ouvre de nouvelles possibilités pour des systèmes vibratoires, de l’acoustique embarquée ou développer de nouveaux outils musicaux pour des compositeurs ou même des amateurs éclairés.
Le Gramophone, dispositif de médiation conçu par l’Institut GRAME : une application
concrète de concepts scientifiques utilisant la création musicale et la programmation informatique. (Crédits : GRAME)
_________
[1] Centre d’Innovation en Télécommunications et Intégration de services (INSA Lyon/INRIA/Université de Lyon)
[2] EMERAUDE : Embedded Programmable Audio Systems
[3] Faustdoc.grame.fr
[4] FPGA est l'abréviation de « Field-programmable gate array », ce qui peut être traduit en français par « réseau de portes programmables sur site ».
Art & Culture
SELIL en finale du Tremplin Pulsations : Finale nationale – Concerts de sélection 01/06 et 02/06 à 20h
SELIL a besoin de vous ! Vote et retransmission en direct de la finale du tremplin musical étudiant Pulsations, au Mac3 à Bordeaux les 1er et 2 juin !
SELIL, créé au sein de la filière Musique-études de l'INSA Lyon il y a 4 ans, a été sélectionné pour la finale du tremplin pulsation à Bordeaux !
Le vote du public compte est nécessaire pour accéder au second tour le vendredi 2 juin puis à la victoire.
Les prix permettrons de financer leurs projets de créations (enregistrements en studio, concerts, vidéos etc.)
Les concerts sont retransmis en direct sur Instagram, Facebook et YouTube.
La musique de SELIL puise son inspiration et son identité artistique dans le jazz, le hip-hop, la house ou encore l’afrobeat. Le groupe s’imprègne de multiples influences, notamment celles de la scène anglaise actuelle (Yussef Kamaal, Joe Armon Jones...) mais également chez Herbie Hancock et Chris Dave. SELIL fait de la scène son point fort, en proposant un set très énergique mélangeant interplay jazz et dynamiques venant des musiques de club. Fort d'un premier EP, de concerts et premières parties marquantes (Alfa Mist, Emile Londonien), le groupe a sorti un 2nd EP en mars 2023, lui permettant ainsi d'enchaîner sur une tournée avec à la clef de belles dates parmi lesquelles figure par exemple le FIMU 2023, le piñata radio festival, un coplateau avec Jasual Cazz...
À son échelle, le jeune groupe lyonnais essaie désormais de s'inscrire dans cette nouvelle dynamique initiée par les nouveaux artistes de jazz français que l'on a pu retrouver récemment sur la compilation Past & Future de Jazz À Vienne (Léon Phal, Emile Londonien, Jasual Cazz...).
Informations complémentaires
- mathieu.salse@insa-lyon.fr
- https://campulsations.com/evenement/tremplin-pulsations-finale-nationale-concerts-selection/
-
Mac 3 – (S)pace’ Campus – 18 avenue Bardanac – 33600 Pessac (retransmis en direct)
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Théâtre « Roméo et Juliette » (section Théâtre-études)
Du 05 au 08 maiAteliers danse avec la Cie MF
Les 15 et 22 mai 2025
Vie de campus
Dans les coulisses des 24 heures de l'INSA
À quelques jours de la 48e édition du festival des 24 heures de l’INSA, les équipes « orgas » se pressent pour finaliser l’arrivée de plusieurs milliers de participants. Courses, animations, concerts : l’ambiance folle des « 24 » dépasse depuis bien longtemps les frontières du campus de la Doua. Comment cet évènement est-il devenu aussi populaire, tant auprès des insaliens que des jeunes lyonnais ? « Grâce à l’investissement de ses membres et bénévoles, sans aucun doute », répondraient les orgas impliqués dans la grande aventure. Mais derrière cette grande famille de jeunes gens dévoués à l’organisation d’un des plus grands festivals étudiants de France, se cache une mécanique bien huilée, beaucoup de traditions et une forte culture de la transmission. Immersion au cœur des coulisses des 24 heures de l’INSA.
Qui aurait parié qu’un défi entre deux étudiants lancé il y a presque cinquante ans, deviendrait la coqueluche des festivals étudiants ? Depuis la première course lancée autour des résidences A et B, l’organisation a évolué au cours des dernières décennies ; désormais, près d’une centaine d’étudiants dévoués font vivre le festival des 24 heures de l’INSA, presque tout au long de l’année scolaire. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que devenir « orga » développe le sens de la contribution. « Une fois qu’on est entré dans la machine, on comprend que l’on va œuvrer pour un truc beaucoup plus gros que nous. Dès la première réunion, on s'aperçoit qu’il y a des règles bien précises à suivre, des traditions joyeusement ancrées et un niveau de rigueur très élevé. C’est rodé », explique l’un des membres du bureau actuel. Et pour cause, élaborer un festival accueillant près de 400 coureurs et 10 000 personnes par soir sur un campus, ne se sort pas du chapeau. « Chaque année, les membres du bureau et les organisateurs changent. Il y a quelque chose de très incrémental dans la façon de faire vivre l’association des 24h. Les passations de fin d’année sont primordiales. On se repose sur près de 50 ans d’expérience des anciens organisateurs, car on arrive souvent sans trop rien savoir faire ! Petit à petit, il faut trouver sa place. »
Le recrutement des bénévoles. (©24 heures de l’INSA)
Et pour trouver sa place dans l’organisation « des 24 », il ne faut pas chercher longtemps. Du maniement de la perceuse au développement de logiciels informatiques, en passant par l’art de l’intelligence émotionnelle, « aux 24h », les compétences des futurs ingénieurs sont mises à profit. Ainsi, dix commissions aux noms rocambolesques, sont chargées d’imaginer et mener à bien chaque trait en vue du week-end : la « Decom’ » est chargée de la décoration, les « pédales » sont en charge des courses, la « comsa » des services informatiques… « Le langage des 24h du côté des orgas est parfois un peu hermétique, il faut bien le reconnaître », avoue un membre du bureau. « Mais étonnamment, tout le monde a les mêmes références, on s’en aperçoit dès le premier jour : les membres ont déjà l’impression de se connaître depuis toujours, alors qu’ils se rencontrent pour la première fois ». Les origines de cette culture commune ? Des références transmises par « les anciens, qui parlent souvent plus fort » que les petits nouveaux, précise-t-il.
L’annonce des artistes aux membres est souvent un moment
d’émotion dans la vie de l’association. (©24 heures de l’INSA)
Si les traditions sont si fortes, c’est aussi pour maintenir l’esprit d’équipe et une cohésion au sein des orgas. Pour faire face à la charge de travail et maintenir l’implication des bénévoles tout au long de l’année, des rituels se sont progressivement mis en place. Ainsi, chaque mardi, les commissions se réunissent. Dans le local au pied de la résidence D, les étudiants amassés sur les canapés suivent pieusement le rituel. « Chaque CDC, la chef de com, commence par un bonsoir général. Puis chaque commission a sa petite tradition. Par exemple les chargés des courses doivent littéralement courir autour du bureau avant de débuter chaque assemblée. Et puis, il y a la coutume des surnoms aussi... ». Ainsi, au cœur du folklore « des 24 » : l’usage des pseudos fait loi. Attribués en référence à une anecdote ou une situation vécue, chaque membre se voit prêter un nom de scène dont la signification finit bien souvent emportée par le temps. « Souvent, on connaît plus les gens à travers leur surnom, que leur prénom. Cette tradition est tellement ancrée que même les roadbooks contiennent d’abord les surnoms des gens, puis leurs prénoms ». Sous leurs airs ingénus, ces petits rituels constituent en réalité la base d’une acculturation fondamentale pour la bonne réussite du festival des 24 heures. « Je crois que ces petits rituels ingénus en apparence, permettent aux équipes de faire connaissance et de prendre un peu de recul sur la fastidieuse tâche qu’est l’organisation d’un festival comme les 24 heures, en parallèle d’une formation d’ingénieur. C’est aussi ici que les premiers souvenirs se créent, c’est important », ajoute un membre.
Pendant « la semaine orga », les membres et bénévoles s’activent. (©24 heures de l’INSA)
Et puis lorsque le printemps éclot, la date se rapproche. Alors que le campus se vide pour les vacances de Pâques, les membres organisateurs et les bénévoles engagés se réunissent avant la dernière ligne droite, à l’occasion de « la semaine orga ». Point de repos avant le grand saut. « C’est le moment où l’on donne vie à toutes les idées qui auraient pu germer pendant l’année. On bricole, on peint, on scie, on nettoie, on répare, on affiche dans toute la ville…. Tout devient plus concret et l’excitation monte ! ». Et bricoler sous le soleil d’avril avec ses amis d’école peut parfois donner du vague à l’âme ou susciter une mélancolie heureuse. « Pendant la semaine orga, on voit l’ampleur de ce qu’il est possible de créer ensemble, en seulement quelques mois. Organiser les 24 heures de l’INSA est une aventure unique dans une vie. On peut vivre et ressentir des choses stressantes, joyeuses, émouvantes… Pendant ma première manifestation, l’année dernière, j’ai ressenti une énergie positive que je n’avais jamais ressenti dans ma vie; et j’en suis sortie grandie », confie une membre active.
Chaque année, le visage du campus est transformé
par des structures scéniques impressionnantes. (©Luca Magnin/Graines d’Images)
Début mai, le visage du campus de l’INSA Lyon se verra transformé par les structures scéniques, les barrières et les arches gonflées au départ des courses. À leurs postes, les membres des 24 heures verront leur projet prendre vie. Dans le chalet backline, la centaine de bénévoles et techniciens craindra peut-être les imprévus de dernière minute comme une météo peu clémente, un artiste malade ou même une pandémie mondiale. Mais lorsque les balances retentiront dans les baffles du système son, les cœurs seront remplis d’excitation, d’adrénaline et de joie. Dès le vendredi soir, à 20h00 passées sur la fréquence radio des talkies-walkies, le message sera passé pour annoncer l’entrée des festivaliers. « Message à tous les orgas, ouverture de la zone, bon courage à tous et n’oubliez pas de vous amuser ». À partir de cette minute-là pour les orgas, chaque regard croisé avec l’un de ses pairs ne nécessitera pas de mot. « On se comprend d’un simple regard ».
Les « orgas » posent pour une photo souvenir. (©Luca Magnin/Graines d’Images)

Art & Culture
Concert de Noël des étudiants musique-études / AMI
Concert des étudiants musique-études, organisé par l'Association Musicale de l'INSA.
Programme varié, tous styles musicaux... et surprises de Noël !
Bar de l'AMI à l'entracte, et réservations ici : https://www.helloasso.com/associations/association-musicale-de-l-insa/evenements/concert-de-noel-de-l-ami
Informations complémentaires
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CGR La Rotonde - 20 avenue Arts, 69100 Villeurbanne.
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Théâtre « Roméo et Juliette » (section Théâtre-études)
Du 05 au 08 maiAteliers danse avec la Cie MF
Les 15 et 22 mai 2025
Art & Culture
Conférence "Respiration et Posture du musicien"
Conférence organisée par la section musique-études.
Didier Reymond, Professeur au Conservatoire de Lyon, animera une conférence sur le thème de la respiration et de la posture du musicien (utile à tout un chacun pour apprendre à maîtriser le stress)
Programme : Physiologie de la respiration, le squelette, les muscles, la posture, les mouvements... suivi d'un débat. La conférence 2 débutera par une synthèse de la 1ère."
Informations complémentaires
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INSA Lyon - Salle René Char - Villeurbanne
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Théâtre « Roméo et Juliette » (section Théâtre-études)
Du 05 au 08 maiAteliers danse avec la Cie MF
Les 15 et 22 mai 2025
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Conférence organisée par la section musique-études.
Didier Reymond, Professeur au Conservatoire de Lyon, animera une conférence sur le thème de la respiration et de la posture du musicien (utile à tout un chacun pour apprendre à maîtriser le stress)
Programme : Physiologie de la respiration, le squelette, les muscles, la posture, les mouvements... suivi d'un débat. La conférence 2 débutera par une synthèse de la 1ère."
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INSA Lyon - Salle René Char - Villeurbanne
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Théâtre « Roméo et Juliette » (section Théâtre-études)
Du 05 au 08 maiAteliers danse avec la Cie MF
Les 15 et 22 mai 2025
Art & Culture
Concert SELIL x DARWELLS live à la Rotonde
Venez découvrir la musique de Selil (Jazz/House) et Darwells (Rock) à la Rotonde !
Selil est un groupe de 6 musiciens lyonnais. Des teintes house, afro et hip-hop, SELIL puise sa principale source d’inspiration au sein du courant jazz actuel anglais.
Ce sont des artistes comme Yussef Kamaal, Chris Dave, Joe Armon-Jones, Nubya Garcia ou encore Herbie Hancock qui nous ont bercés et influencés. Selil revient cette année avec un live dynamique, autour du rythme et de la danse. C’est un moment d’interplay et de complicité entre 6 frères qui se sont construits ensemble. https://youtu.be/l1W0XDQ_rKQ https://youtu.be/vRcYfe9hm64
Darwells c'est une énergie scénique brute et incontrôlable.
Du rock anglophone sincère et actuel, lavé de tous ses clichés. Puisant ses influences chez Kings of Leon ou encore The Amazons, c'est par son aspect percutant que se définit pleinement ce quatuor. Sur scène, tous ne forment plus qu'une seule et même entité. Un univers empreint d'une rage brûlante et insatiable, nourri par le grain des amplis à lampes. https://www.youtube.com/watch?v=60XhQlBGgRE
Informations complémentaires
- selil.kadora@gmail.com
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La Rotonde, 14 - 16 Av. des Arts, 69100 Villeurbanne