Ingénierie

19 nov
19/11/2019 12:45

Art & Culture

SILKINSA : rencontre avec Isabelle Moulin, scénographe & commissaire d’exposition

SILKINSA ouvre une démarche initiée par l’INSA Lyon afin de resserrer les liens entre design et ingénierie.

Cette filiation avec l’INSA est d’autant plus légitime à Lyon et dans sa région puisque c’est ici que s’est amorcée la révolution industrielle dont le design est issu, dans une filière qui a profondément inscrit dans sa carte ADN cette culture des sciences appliquées et de l’innovation : la filière textile.

Cette première exposition propose un retour aux origines, revisite les fondamentaux des fibres : noix de coco, basalte, poil, coton, paille, argent, mouton, amiante, angora, acier, lin, laine, silicate, crin, sécrétions de papillon, fourrure, moule, quartz, plume, bananier, chanvre, or, genêt, coton, bernique, vigogne, carbone, ortie, kapok, latex, varech, paille, agave, jute, cachemire, araignée, mohair, raphia, alpaga... (Make your choice).
Tissées, tricotées, ces fibres naturelles, chimiques, artifi- cielles, synthétiques, innovantes sont, depuis la nuit des temps, propices à tous les transports, à toutes les métamorphoses afin qu’elles nous protègent, nous réchauffent, nous abritent, nous soignent ou nous embellissent...
Une mise en récit de cette épopée industrielle initiée par la Grande Fabrique jusqu’à aujourd’hui nous présente la soierie lyonnaise comme un vecteur sachant conjuguer au futur composé, patrimoine, savoir-faire et hautes technologies.
Le parcours ici proposé présente aussi le textile dans son acception globale et technologique et nous permet d’appréhender ses multiples applications au-delà du simple vêtement.

Isabelle Moulin, commissaire et scénographe de SILKINSA inaugure le programme avec une conférence offrant les clés de lecture de cette exposition, permettant d’entrevoir les envers des motifs et des trames, l’insoupçonnable amplitude exploratoire que le textile nous offre. L’exposition se clôturera par un Silk Mix, spécialement imaginé par Yvan Maurel pour nous faire découvrir que la soie se danse et s’écoute aussi !

Programme complet

Mardi 12 novembre 2019

Présentation de l’exposition Great designers of the world
Restitution de travaux étudiants
13h00 - Agora, INSA Lyon

Mardi 19 novembre 2019

Rencontre avec Isabelle Moulin, scénographe & commissaire d’exposition SILK INSA
12h45 – 13h45, Salle René Char, INSA Lyon

Vernissage de l’exposition SILKINSA
18h - 20h30, Galerie des Humanités, INSA Lyon

Exposition Design Lyon du 19.11.19 au 05.12.19

Mercredi 20 novembre 2019

Rencontre avec les brodeurs et stylistes, Pascal Jaouen et Yann Lagoutte
Modération Isabelle Moulin
12h45 - 13h45, salle René Char, INSA Lyon

Ateliers de broderie
18h - 20h - Maison des Personnel, INSA Lyon

Jeudi 5 décembre 2019

Clôture festive & SILK MIX avec Yvan Maurel
19h - 21h - Agora, INSA Lyon

Jeudi 9 janvier 2020

Rencontre avec Isabelle Moulin, scénographe & commissaire d’exposition SILK INSA
12h45 – 13h45, Amphithéâtre Oyonnax

Vernissage de l’exposition SILKINSA
18h – 20h30, Hall d’entrée INSA Oyonnax

Exposition Design Oyonnax du 9.01 au 24.01.20


SILKINSA est un programme sous la direction de Stéphane Pontarollo, chargé de mission Design auprès de la Direc- tion de la Formation INSA et Isabelle Moulin, scénographe, commissaire d’exposition SILKINSA, directrice artistique du SILKMEBACK, spécialisée en textile et patrimoine industriel ; chevalière des Arts et des Lettres.

Informations complémentaires

  • Salle René Char - INSA Lyon

01 oct
Du 01/10/2019
au 04/10/2019

Sciences & Société

A la découverte des collections du FIMI

Pour accueillir les nouveaux arrivant(e)s, la BMC expose du 16 septembre au 4 octobre quelques prototypes de la plateforme FIMITECH.

Existante depuis la création de l’INSA en 1957, la plateforme « FIMITECH » permet aux étudiants d’appréhender l’aspect technique du métier d’ingénieur.

Au 1er semestre, les étudiants de 2e année suivent des TP d’initiation sur cette plateforme dans le cadre de leur formation d’ingénieur ; cela leur permet d’appréhender le contexte d’un atelier de production et d’acquérir certaines compétences sur les équipements. Au 2nd semestre, dans le cadre des P2i (Projet Pluridisciplinaire d’Initiation à l’Ingénierie), les étudiants fabriquent leurs prototypes au sein de cette plateforme.

Pour la fabrication de ces prototypes, la plateforme technique est équipée de matériels et logiciels industriels performants : atelier de construction métallique, atelier d’usinage, laboratoire de « fabrication agile » comprenant des imprimantes 3D et une découpe laser multimatériaux, atelier de mécatronique. Mais ce potentiel technique est aussi accessible aux volontaires (étudiants, associations, personnels ou enseignants-chercheurs) souhaitant bénéficier d’un encadrement dispensé par une vingtaine d’experts, se tenant à disposition chaque jeudi après-midi.

Informations complémentaires

02 mai
Du 02/05/2019 19:30
au 02/05/2019 22:30

Sciences & Société

Inauguration de la Bobine Tesla

Le Clubelek, en partenariat avec l’Association Des Élèves de Génie Électrique (ADEGE) et le département Génie Électrique, inaugure sa Bobine Tesla !

Cet événement a été organisé pour remercier toutes les personnes qui ont soutenu le projet de construction de la Bobine Tesla et plus largement, qui ont soutenu ses acteurs.

C’est également l'occasion de réaliser une démonstration de la bobine tout en permettant aux différents partenaires de se rencontrer autour d’un buffet.

⚠️ Pour les inscriptions, merci de contacter l’ADEGE : adege@insa-lyon.fr

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Aperçu de la programmation

  • 19h30 – Bâtiment Gustave Ferrié
    Début de la soirée Accueil des invités
  • 20h00 – Discours et remerciements
    Éric Maurincomme, Directeur de l’INSA Lyon
    Lionel Petit, Directeur du Département Génie Électrique
    Marc Chanet, Président du Clubelek
  • 20h30 – Coucher du soleil
    Démonstration de la Bobine Tesla
  • 21h – Buffet et visites
    Rencontres autour d’un verre et de quelques petits fours. Moment de partages et d’échanges avec la possibilité d’effectuer des visites du département Génie Électrique et du Clubelek.

Informations complémentaires

18 mar
18/mar/2019

Formation

Lumière sur un atelier de production unique dans la région

Officiellement baptisée « FIMITECH » depuis le 14 février 2019, la plateforme d’ingénierie du département FIMI ouvre désormais ses portes aux étudiants, personnels et enseignants-chercheurs de l’INSA tous les jeudis après-midi. Au programme, encadrement complet de la conception à la réalisation d’un projet technique, grâce aux dispositifs de production qu’offre cet atelier digne d’une PME industrielle.

Un dispositif exceptionnel
Présente depuis la création de l’école en 1957, la plateforme aujourd’hui nommée
« FIMITECH » permet aux étudiants d’appréhender l’aspect technique du métier d’ingénieur. Damien Jacques, professeur au département FIMI, se réjouit de voir ce dispositif ouvert à l’ensemble de la communauté INSA.

« Il s’agit d’encadrer pour répondre au mieux aux besoins, et je dois avouer que c’est presque un hobby pour moi de contribuer aux projets, lance Aurélien Chazottes-Leconte, ATER1 encadrant. Nous sommes chanceux d’avoir une telle infrastructure sur le campus. C’est plutôt rare pour les étudiants d’avoir accès à des machines aussi pointues et variées à ce stade de leur formation. »

Usinage, construction métallique, découpe laser, fabrication additive, mécatronique : un potentiel technique mis à disposition de tous chaque jeudi après-midi, et encadré par une vingtaine d'experts.

« Dans le cadre de mon PST2, je devais trouver une solution de thermo-soudage pour la fabrication d’un prototype de robot. Je suis venue ici demander conseil et faire des tests in vivo », explique Louise Perrin en 3e année de Génie Mécanique. 

S’organiser pour répondre à la demande 
Si la plupart des étudiants connaissent la plateforme de réputation ou après leur passage au département FIMI ou la connaissent, c’est tout naturellement qu’ils reviennent mettre en œuvre leurs idées. Associations, projets pédagogiques ou projets personnels, tous avaient fait savoir leur désir d’accéder à ces outils.
Cela dit, les demandes de concrétisation des projets sont soumises à certaines règles.

« Nous ne voulons pas transformer FIMITECH en atelier de bricolage, explique Damien Jacques. Lorsque les étudiants, personnels ou enseignants-chercheurs souhaitent bénéficier des machines, une démarche réflexive doit déjà être engagée. »

L’ouverture de la plateforme au-delà des enseignements de FIMI, lui offre une seconde vie tout en participant à l’évolution et au maintien du parc machines.

« Nous sommes très heureux de pouvoir accueillir les étudiants et de les conseiller sur leurs projets. Grâce à l’officialisation de l’ouverture de FIMITECH, nous pouvons proposer un accompagnement depuis la conception jusqu’à la réalisation d’un objet technique et cela sous la forme d’un véritable atelier pédagogique », ajoute Damien Jacques.

De l’importance de la pratique dans la formation INSA
Dans un monde où le virtuel prend le pas sur le substantiel, les jeunes générations manquent parfois de contact avec la matière. À l’INSA Lyon, où l’on s’attache à conserver les enseignements pratiques, beaucoup de jeunes en reviennent à construire eux-mêmes.

« Les jeunes ont de moins en moins le tournevis en main et quand ils découvrent qu’ils ont les capacités de fabriquer par eux-mêmes, cela leur fait le plus grand bien », ajoute Damien Jacques.

Mouvement « low-tech » ou génération « do it yourself », la dynamique est donc depuis quelques années au « self-making », annonçant de belles années de vie à FIMITECH, qui souhaiterait ouvrir ses compétences et machines au-delà de la communauté INSA en devenant un lieu de travail ouvert et collaboratif.


 1Attaché Temporaire d’Enseignement et de Recherche
 2Projet Scientifique et Technique

 

Mots clés

21 fév
21/fév/2019

Formation

Isabelle Huynh souhaite réenchanter l’industrie grâce à l’ingénierie positive

Éveiller les consciences. Voilà la mission que s’est donnée Isabelle Huynh, diplômée en Génie Mécanique 2014 de l’INSA Lyon. Après deux ans en tant qu’ingénieure produit dans une entreprise, la jeune femme part en quête de sens pour répondre à la question suivante : « Comment utiliser mes compétences à des fins justes en alignant mon métier avec mes convictions intimes ? ». Après six mois de voyage autour du monde à découvrir « des solutions techniques qui améliorent la vie des personnes », elle créé l’association « La Clavette1 » et s’applique à diffuser le concept d’ingénierie positive. Portrait.


Copyright Jean Fotso 2016

De l’amour de l’objet

« Déjà très jeune, j’étais attirée par le métier d’ingénieur et le pouvoir de création qui lui est lié. Être ingénieur c’est d’abord imaginer toutes les solutions possibles pour pouvoir construire son objet. Je trouve le côté technique de la conception fascinant et beau : je peux rester des heures devant une pièce mécanique sans m’en lasser. Et l’objet n’est pas nécessairement hautement technologique. Une lampe faite à partir d’une bouteille de plastique et d’une petite LED, c’est génial et très ingénieux ! »

Puis, le doute s’installe

« Je travaillais pour une entreprise de fabrication de machines à café en capsules, soit une des innovations les moins écolos de ces dernières années. À la pause déjeuner, je me faisais remarquer si je mangeais une tomate en plein mois de décembre ou si mon Tupperware n’était pas en verre, et le paradoxe s’est révélé : comment pouvions-nous, ingénieurs, être si incohérents entre nos valeurs personnelles et l’exercice de notre métier ? 
Et puis le projet « implémenter le Bluetooth pour pouvoir lancer son café depuis son lit » a été la goutte de trop pour moi : si c’est ce qu’on entendait par innovation, ça serait sans moi. J’ai démissionné quelques mois après cette prise de conscience. »

User de sa matière grise à bon escient

« En tant qu’ingénieur et en tant que citoyen, notre intelligence a une certaine valeur. La première question à se poser est : à quoi veux-je la dédier ? À créer des objets inutiles ? Ou concevoir des produits qui améliorent réellement la vie des personnes de façon durable et bienveillante ? Dans la plupart des industries, la vision est encore très concentrée sur l’économique et on ne prend que très rarement en compte l’impact sur la société. Je travaillais sur des produits de grande consommation où le marketing nous dictait le cahier des charges et nous n’avions que peu de marge de manœuvre. Aujourd’hui, les ingénieurs sont un peu plus sollicités sur des points décisionnels stratégiques mais ça n’est pas toujours le cas. Et il était hors de question pour moi de continuer à dire : ‘je n’ai pas le choix’. »

L’ingénierie positive : de la quête personnelle à l’impact social

« Je savais que mes collègues n’étaient pas des cas isolés de professionnels dont le métier n’est pas en accord avec leurs idées personnelles. Cependant, il n’y avait pas de réponse si on se demandait comment mêler technique et impact social. Alors pour partager et diffuser les réflexions de ma quête de sens, j’ai créé « La Clavette ». Son nom fait écho à une pièce qui a pour fonction de lier en rotation deux éléments mécaniques. Et la métaphore est la suivante : ce qui m’intéresse, c’est être à la jonction, faire le lien entre le monde technique et la société pour aider les projets qui ont du mal à embrayer. Je ne cherche pas à convaincre, mais surtout à montrer des « innovations frugales2 » et faire grandir une nouvelle approche en s’inspirant de l’ingéniosité des pays émergents. Alors que je me trouve en Équateur, j’ai besoin de passer à un autre niveau en termes d’impact. Je décide à mon retour en France de contacter les entreprises et les écoles. »

Sensibiliser, former, accélérer le changement

 « L’association intervient auprès des écoles d’ingénieurs à travers des cours, des évènements où les étudiants travaillent sur des projets concrets et en faisant du lien avec des entrepreneurs sociaux. Elle s’emploie à trois missions : faire grandir l’esprit critique chez les élèves-ingénieurs, entretenir la capacité à se projeter dans le futur et développer une vision systémique du métier. Auprès des entreprises, il s’agit plus d’inspirer, de former et de faire comprendre qu’il n’y a pas que des hippies dans le monde de l’ingénierie sociale et solidaire ! L’ingénierie positive doit s’intégrer dans les stratégies d’entreprise et il faut d’ailleurs faire preuve d’ingéniosité pour combiner rentabilité et impact. C’est là que tout se joue. »

Son leitmotiv : mettre ses compétences au service de sa ligne idéologique

« Le métier d’ingénieur ouvre beaucoup de portes et c’est à nous de choisir celles que nous voulons ouvrir. Il y a énormément de liberté inhérente au métier, mais il y a aussi beaucoup de responsabilités. Garder un œil critique sur les choses, ne jamais être en déni sur le futur et rester conscient des impacts de nos travaux pour répondre à des enjeux de durabilité plutôt qu’au court terme relève du devoir. »

 

 

[1] Une clavette est une pièce mécanique liant un moteur à un système mécanique.

[2] L’innovation frugale, résumée par Navi Radju, est une démarche qui se retrouve dans les pays émergents consistant à « faire mieux avec moins » : le manque de ressource fait naître une créativité et une ingéniosité qui n’existent plus dans les pays occidentaux.

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Mots clés

18 oct
18/oct/2018

Formation

Ingénierie lumière-surfaces : la recherche avance !

Le 2 octobre à Saint-Etienne a été inaugurée l’École Universitaire de Recherche (EUR) Manutech-Sleight qui compte l’INSA Lyon parmi ses partenaires.
Nominée en octobre 2017 dans le cadre d’un appel à projets du Programme d’Investissements d’Avenir 3 (PIA3), l’EUR Manutech-Sleight, pour Surfaces Light EngIneerinG Health & Society, a pour ambition de devenir une référence internationale dans le domaine de l’ingénierie lumière-surfaces. 

« Nous espérons que l’EUR Manutech-Sleight servira de facilitateur pour de nouveaux projets de recherche et de formation car le financement de l’Agence Nationale de la Recherche (ANR) sur dix ans est une réelle chance de bâtir quelque chose sur le long terme à un niveau européen », indique Anne Tanguy, Présidente du Conseil Scientifique de l’EUR, Professeure à l’INSA Lyon et chercheure au laboratoire de mécanique le LaMCoS.

Optique-photonique, sciences des matériaux, mécanique, imagerie, informatique et bio-ingénierie, voilà les grands domaines couverts par cette nouvelle EUR, qui a pour objectif de stimuler des interactions scientifiques et académiques.

« On découvre de nouvelles activités de recherche, on noue des liens avec des chercheurs d’autres domaines et on s’aperçoit que les possibilités de projets collaboratifs sont nombreuses, indique Anne Tanguy. Manutech-Sleight nous permet ces échanges décomplexés autour de disciplines différentes ». 

Et les applications sont nombreuses : énergie, capteurs, biologie ou encore la santé.

« Les croisements de compétences donneront lieu à des applications industrielles concrètes et immédiates dans le domaine biomédical, notamment sur les prothèses inorganiques, l’assistance chirurgicale et la différenciation cellulaire » ajoute la Présidente du Conseil Scientifique.  

Un savoir-faire complémentaire
Pour atteindre ses ambitions et viser une meilleure compréhension de l’ingénierie lumière-surfaces, Manutech-Sleight a ainsi structuré son projet en trois axes de travail autour des processus de modification de surfaces, de l’analyse des propriétés de surfaces et du transfert technologique. 

« Il existe une complémentarité de compétences très riche parmi les partenaires de notre EUR, explique Anne Tanguy. L’INSA Lyon possède des savoir-faire internes en optique et analyse d’image, par exemple au LaMCos, un laboratoire de mécanique, qui avait déjà sur une petite activité en optique pour l’analyse de la réponse mécanique. Mais il n’existe pas de département dédié au sein de l’INSA Lyon. Lorsque l’on croise les disciplines, on obtient de nouvelles techniques innovantes qui peuvent faire avancer la recherche » précise-t-elle.

Treize partenaires académiques, industriels et chercheurs font partie de cette grande aventure et nourrissent une ambition pédagogique forte. Manutech-Sleight souhaite augmenter l’attractivité de formations d’excellence grâce à des diplômes internationaux interdisciplinaires intégrés et des systèmes de bourses pour les Masters concernés.

« L’EUR s’appuie sur six masters et formations d’ingénieurs, dont un diplôme INSA. Nous songeons à bâtir une formation conjointe en regroupant les compétences de chacun des partenaires. Je suis ravie que l’INSA Lyon soit autant impliqué dans les volets formation et recherche : le LaMCoS, les laboratoires Matéis et Creatis représentent l’apport recherche de la part de l’INSA Lyon et un quart des représentants du comité pédagogique est de l’INSA Lyon » ajoute Anne Tanguy. 

Dès le 8 janvier 2019, L’EUR Manutech-Sleight organisera des semaines scientifiques interdisciplinaires ouvertes à tous les partenaires.  

 

Les écoles universitaires de recherche
Sélectionnées par un jury international, les EUR sont des structures destinées à animer une communauté de chercheurs, d’enseignants-chercheurs et d’étudiants autour d’une même thématique scientifique. Depuis la rentrée 2018 en France, 29 Ecoles Universitaires de Recherche ont vu le jour grâce à un financement de l’ANR (Agence Nationale pour la Recherche). Leur vocation est de regrouper des laboratoires et centres de formation autour de projets pluridisciplinaires.
Manutech-Sleight, créée à l’initiative du laboratoire Hubert Curien de Saint-Etienne et coordonnée par l’Université de Lyon, rassemble 13 partenaires :
-    Université de Lyon
-    Université Jean Monnet
-    INSA Lyon
-    Mines de Saint-Etienne
-    Ecole Centrale de Lyon
-    Université Claude Bernard Lyon 1
-    ENISE
-    Institut d’Optique Graduate School
-    CNRS
-    Inserm
-    GIE Manutech-USD
-    HEF
-    Kéranova

Pour plus d’informations https://www.univ-st-etienne.fr/fr/tous-les-faits-marquants/annee-2018-2019/zoom-sur/lancement-eur-manutech-sleight.html
 

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