Festival

15 sep
15/sep/2023

Institutionnel

Venez débattre avec ARTE et France Culture !

ARTE // France Culture // Groupe INSA // INSA Lyon invitent la communauté étudiante à découvrir et débattre autour de Et maintenant ? Le festival International des idées de demain.

Initié par ARTE et France Culture, Et maintenant ? propose à tous ceux qui le souhaitent de réfléchir à notre avenir commun. Son principe : des questionnaires en ligne explorant une thématique, prolongés ensuite par un festival au cours duquel les résultats de l’enquête analysés par la Fondation Jean-Jaurès sont restitués. Un premier questionnaire est en ligne autour du « Temps ». Pourquoi avons-nous la sensation d’en manquer ? Que faisons-nous de nos moments de liberté ? À quoi perd-on son temps ? Sur quoi a-t-on envie d’en gagner ? Et pour faire quoi ?  


Les étudiants et étudiantes de l’INSA Lyon mais également les élèves des collèges et lycées de l’académie de Lyon sont invité(e)s à venir en débattre avec la journaliste Nora Hamadi et le politologue Antoine Briestielle de la fondation Jean-Jaurès. 

Ouvert à toutes les étudiantes et tous les étudiants de l'INSA Lyon.
Rendez-vous le jeudi 12 octobre à 14h00 - Amphi Capelle.

N’oubliez pas votre smartphone ou votre tablette pour ce moment convivial de rencontres et de débat.

On prend le temps ! Plus vite ! Pas le temps ! Pourquoi a-t-on la sensation de ne plus avoir de temps ? À quoi le perd-t-on ? Et où en gagner : sur le travail, les loisirs, le temps d’écran…?

> Répondez à une grande enquête
Déjà près de 30 000 participant.e.s !

 

Le Groupe INSA a souhaité s'associer à la démarche des deux médias, en relayant le questionnaire mis en ligne dès le 12 octobre par France Culture et Arte et dont les résultats seront présentés le 29 novembre. Composé de cent trente questions organisées autour de cinq grands thèmes (l’éducation, le travail, la démocratie, l’intimité et la science), ce questionnaire a été élaboré avec Monique Dagnaud, directrice de recherche au CNRS et sociologue spécialisée dans l’étude de la jeunesse.
 

Mots clés

26 avr
26/avr/2023

Vie de campus

Dans les coulisses des 24 heures de l'INSA

À quelques jours de la 48e édition du festival des 24 heures de l’INSA, les équipes « orgas » se pressent pour finaliser l’arrivée de plusieurs milliers de participants. Courses, animations, concerts : l’ambiance folle des « 24 » dépasse depuis bien longtemps les frontières du campus de la Doua. Comment cet évènement est-il devenu aussi populaire, tant auprès des insaliens que des jeunes lyonnais ? « Grâce à l’investissement de ses membres et bénévoles, sans aucun doute », répondraient les orgas impliqués dans la grande aventure. Mais derrière cette grande famille de jeunes gens dévoués à l’organisation d’un des plus grands festivals étudiants de France, se cache une mécanique bien huilée, beaucoup de traditions et une forte culture de la transmission. Immersion au cœur des coulisses des 24 heures de l’INSA. 

Qui aurait parié qu’un défi entre deux étudiants lancé il y a presque cinquante ans, deviendrait la coqueluche des festivals étudiants ? Depuis la première course lancée autour des résidences A et B, l’organisation a évolué au cours des dernières décennies ; désormais, près d’une centaine d’étudiants dévoués font vivre le festival des 24 heures de l’INSA, presque tout au long de l’année scolaire. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que devenir « orga » développe le sens de la contribution. « Une fois qu’on est entré dans la machine, on comprend que l’on va œuvrer pour un truc beaucoup plus gros que nous. Dès la première réunion, on s'aperçoit qu’il y a des règles bien précises à suivre, des traditions joyeusement ancrées et un niveau de rigueur très élevé. C’est rodé », explique l’un des membres du bureau actuel. Et pour cause, élaborer un festival accueillant près de 400 coureurs et 10 000 personnes par soir sur un campus, ne se sort pas du chapeau. « Chaque année, les membres du bureau et les organisateurs changent. Il y a quelque chose de très incrémental dans la façon de faire vivre l’association des 24h. Les passations de fin d’année sont primordiales. On se repose sur près de 50 ans d’expérience des anciens organisateurs, car on arrive souvent sans trop rien savoir faire ! Petit à petit, il faut trouver sa place. »

 


Le recrutement des bénévoles. (©24 heures de l’INSA)

 

Et pour trouver sa place dans l’organisation « des 24 », il ne faut pas chercher longtemps. Du maniement de la perceuse au développement de logiciels informatiques, en passant par l’art de l’intelligence émotionnelle, « aux 24h », les compétences des futurs ingénieurs sont mises à profit. Ainsi, dix commissions aux noms rocambolesques, sont chargées d’imaginer et mener à bien chaque trait en vue du week-end : la « Decom’ » est chargée de la décoration, les « pédales » sont en charge des courses, la « comsa » des services informatiques… « Le langage des 24h du côté des orgas est parfois un peu hermétique, il faut bien le reconnaître », avoue un membre du bureau. « Mais étonnamment, tout le monde a les mêmes références, on s’en aperçoit dès le premier jour : les membres ont déjà l’impression de se connaître depuis toujours, alors qu’ils se rencontrent pour la première fois ». Les origines de cette culture commune ? Des références transmises par « les anciens, qui parlent souvent plus fort » que les petits nouveaux, précise-t-il. 


L’annonce des artistes aux membres est souvent un moment
d’émotion dans la vie de l’association. (©24 heures de l’INSA)

 

Si les traditions sont si fortes, c’est aussi pour maintenir l’esprit d’équipe et une cohésion au sein des orgas. Pour faire face à la charge de travail et maintenir l’implication des bénévoles tout au long de l’année, des rituels se sont progressivement mis en place. Ainsi, chaque mardi, les commissions se réunissent. Dans le local au pied de la résidence D, les étudiants amassés sur les canapés suivent pieusement le rituel. « Chaque CDC, la chef de com, commence par un bonsoir général. Puis chaque commission a sa petite tradition. Par exemple les chargés des courses doivent littéralement courir autour du bureau avant de débuter chaque assemblée. Et puis, il y a la coutume des surnoms aussi... ». Ainsi, au cœur du folklore « des 24 » : l’usage des pseudos fait loi. Attribués en référence à une anecdote ou une situation vécue, chaque membre se voit prêter un nom de scène dont la signification finit bien souvent emportée par le temps. « Souvent, on connaît plus les gens à travers leur surnom, que leur prénom. Cette tradition est tellement ancrée que même les roadbooks contiennent d’abord les surnoms des gens, puis leurs prénoms ». Sous leurs airs ingénus, ces petits rituels constituent en réalité la base d’une acculturation fondamentale pour la bonne réussite du festival des 24 heures. « Je crois que ces petits rituels ingénus en apparence, permettent aux équipes de faire connaissance et de prendre un peu de recul sur la fastidieuse tâche qu’est l’organisation d’un festival comme les 24 heures, en parallèle d’une formation d’ingénieur. C’est aussi ici que les premiers souvenirs se créent, c’est important », ajoute un membre.

 


Pendant « la semaine orga », les membres et bénévoles s’activent. (©24 heures de l’INSA)

 

Et puis lorsque le printemps éclot, la date se rapproche. Alors que le campus se vide pour les vacances de Pâques, les membres organisateurs et les bénévoles engagés se réunissent avant la dernière ligne droite, à l’occasion de « la semaine orga ». Point de repos avant le grand saut. « C’est le moment où l’on donne vie à toutes les idées qui auraient pu germer pendant l’année. On bricole, on peint, on scie, on nettoie, on répare, on affiche dans toute la ville…. Tout devient plus concret et l’excitation monte ! ». Et bricoler sous le soleil d’avril avec ses amis d’école peut parfois donner du vague à l’âme ou susciter une mélancolie heureuse. « Pendant la semaine orga, on voit l’ampleur de ce qu’il est possible de créer ensemble, en seulement quelques mois. Organiser les 24 heures de l’INSA est une aventure unique dans une vie. On peut vivre et ressentir des choses stressantes, joyeuses, émouvantes… Pendant ma première manifestation, l’année dernière, j’ai ressenti une énergie positive que je n’avais jamais ressenti dans ma vie; et j’en suis sortie grandie », confie une membre active.

 


Chaque année, le visage du campus est transformé
par des structures scéniques impressionnantes. (©Luca Magnin/Graines d’Images)

 

Début mai, le visage du campus de l’INSA Lyon se verra transformé par les structures scéniques, les barrières et les arches gonflées au départ des courses. À leurs postes, les membres des 24 heures verront leur projet prendre vie. Dans le chalet backline, la centaine de bénévoles et techniciens craindra peut-être les imprévus de dernière minute comme une météo peu clémente, un artiste malade ou même une pandémie mondiale. Mais lorsque les balances retentiront dans les baffles du système son, les cœurs seront remplis d’excitation, d’adrénaline et de joie. Dès le vendredi soir, à 20h00 passées sur la fréquence radio des talkies-walkies, le message sera passé pour annoncer l’entrée des festivaliers. « Message à tous les orgas, ouverture de la zone, bon courage à tous et n’oubliez pas de vous amuser ». À partir de cette minute-là pour les orgas, chaque regard croisé avec l’un de ses pairs ne nécessitera pas de mot. « On se comprend d’un simple regard ».

 


Les « orgas » posent pour une photo souvenir. (©Luca Magnin/Graines d’Images)

 

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12 mai
Du 12/05/2023
au 14/05/2023

Sciences & Société

L’INSA Lyon au Festival Pop’Sciences

La terre tourne, et à grande vitesse ! Notre monde de 2023 ne ressemble pas à celui de 2019 et encore moins à celui qu'on imaginait au début du millénaire, sans parler du monde de demain ! Face à ces bouleversements écologiques, sociaux, politiques, technologiques, que font les scientifiques ? Que font les associations ? Quels sujets abordent-t-ils ?

Du 12 au 14 mai, découvrez comment les sciences, elles aussi, évoluent pour mieux comprendre et répondre aux enjeux de notre époque : climat, genre, alimentation, numérique, arts, populations, sports... Les transitions sont au coeur de nos existences et quoi de mieux qu'un festival pour les découvrir, les comprendre, en débattre ? La communauté de l'INSA Lyon est présente dans la programmation.

Trouvailles (Exposition photographique)
Du 12 mai 2023 au 14 mai 2023
C’est en partant à la recherche d’objets durant plus d’un an, traquant les décharges sauvages, les ruelles et les abords des fleuves que cette série a vu le jour. C’est une collection d’images d’objets perdues, jetés ou abandonnées. C’est une redécouverte de Lyon et sa périphérie qui porte un regard vers ce qu’on ne regarde pas. Pourtant, ces lieux et ce qu’ils contiennent sont pleins de surprises, d’histoires et d’étonnements pour ceux qui prennent le temps de les observer.
Proposé par Loïc Coravalan, élève-ingénieur en 5e année de génie civil et urbanisme et en section arts-plastiques-études.

 

Parler avec un handicap mental : la communication améliorée et alternative (Atelier)
Du 12 mai 2023 au 14 mai 2023
Venez découvrir la Communication Améliorée et Alternatives et des outils permettant aux personnes en situation de handicap mental ou de troubles du langage de parler.
Présenté et animé par Pictalk Speech Made Easy, une association à l’initiative d’Alexandros Sidiras Galante, diplômé de l’INSA Lyon.

 

Plongée au cœur du numérique (Exposition)
Du 12 mai 2023 au 14 mai 2023
Mines, déforestation, esclavage, eau, acide, pollutions, épuisement des ressources : derrière le numérique et son rêve « dématérialisé » se trouvent de nombreux problèmes bien concrets. Alors peut-être serait-il temps de se demander où, quand, et pourquoi nous avons besoin du numérique. Votre frigo a-t-il vraiment besoin d’un écran tactile ? Est-il impératif que votre montre donne la météo ?
Cette exposition sera commentée et proposée par les étudiants de l'INSA Lyon

27 mar
Du 27/03/2023
au 31/03/2023

Art & Culture

Semaine des Arts et Sciences Queer - SASS

La SASS, c'est une semaine de conférences scientifiques et d'événements artistiques dédiée à la culture Queer, sur le campus de la Doua à Villeurbanne.

Tous les jours sur la pause du midi, le cycle de conférences colore votre pause à travers de nombreuses découvertes et tous les soirs de la semaine, les artistes viendront colorer vos nuits ! Du drag show au match d'impro en passant par une soirée Stand Up, une programmation riche vous attend.

Au-delà d'une sensibilisation aux questions de genre, amours et sexualités amenée par l'ensemble de la programmation, la SASS, c'est aussi une semaine de prévention autour de la santé sexuelle et des addictions. À chaque représentation artistique en soirée, une association de prévention différente prendra la parole pour présenter ses activités, et distribuer des supports d'information sur leurs thématiques.

 

En savoir+ : https://sassqueer.fr/
Éévénements ouverts à toutes et à tous et gratuits. 
Festival proposé par l'association EXIT

Informations complémentaires

  • https://sassqueer.fr/
  • INSA Lyon - Campus LyonTech - La Doua - Villeurbanne

Mots clés

05 mai
05/mai/2022

Vie de campus

Les 24 heures de l’INSA : 50 ans de courses

L’ambiance folle de son festival musical a dépassé les frontières du campus de La Doua il y a bien des années. Les 24 heures de l’INSA, dont les courses, concerts, animations accueillent près de 10 000 personnes par soir, chaque année, sont nées d’un pari lancé entre des élèves-ingénieurs : qui fera le plus grand nombre de tours à vélo entre les résidences A et B, en 24 heures ? C’était il y a tout juste 50 ans. 

« Pourquoi les 24h sont-elles devenues aussi populaires ? », questionne réthoriquement Raymond Hamelin, directeur de l’INSA de 1974 à 1991 dans un courrier de remerciements adressé au bureau étudiant organisateur. « Sans doute parce que l’effort demandé aux concurrents n’est pas banal et que l’exploit sportif fascine. Sans doute aussi parce qu’autour de la course cycliste s’est développée année après année, un folklore sympathique où chacun trouve plaisir et détente. (…) Merci aux coureurs qui perpétuent une tradition déjà longue dans laquelle l’INSA aime se retrouver : effort et humour. »

L’idée naît d’un pari un peu fou entre quelques élèves-ingénieurs de l’INSA Lyon : tourner à bicyclette pendant 24 heures, autour des résidences A et B. Dans les cartons d’archivage, entre quelques courriers et dossiers de sécurité datés, on relève la toute première trace de la naissance administrative de la course. En 1972, quelques jours avant le premier coup de sifflet de la compétition, Jean-Claude M., Claude M. et Jean-Paul K. adressaient une lettre poliment manuscrite au secrétaire général de l’établissement avec un objectif affiché : « Nous proposons d’organiser une course cycliste (…) pour créer une ambiance sympathique et clore l’année scolaire ». Il n’est nul besoin de préciser pour la suite de l’histoire que l’objectif de sympathie avait été rempli : l’enthousiasme de la première édition est si fort que la compétition « mi- compétitive, mi- folklorique » est reconduite l’année suivante, signant les prémices de celles que l’on appelle communément, « les 24 ».

 

 
La « course sérieuse » dans les années 1980 (Fonds d’archives personnel de C. Olagnon)

 

Dès lors, le règlement pose les conditions : la course d’endurance prend place sur un circuit de 3 kilomètres et le but est de faire le plus grand nombre de tours de piste à vélo, sur les heures imparties. Sur le terrain plat du campus de La Doua, les « concurrents » avancent en équipe ou en solitaire, sur leur propre matériel roulant. Le classement est alors fait sur différentes catégories : « les sérieux », « les vétérans », « les folklos », « les tandems » et « les solitaires ». 

 

 
La « course folklo » dans les années 1980 (fonds d’archives personnel de C. Olagnon)

 

La « course sérieuse », reste donc l’originale, celle que l’on parcourt pour gagner. Par opposition, « la course folklorique » est celle pour ceux qui, à la performance kilométrique, préfèrent l’originalité vestimentaire et les élucubrations créatives. Dans un article en 1985, Lyon Matin décrivait la scène dont un reporter local avait certainement été témoin la veille : « engins bizarroïdes, mus par la seule force musculaire, telle est la définition de ces véhicules issus tout droit de l’imagination de bricoleurs talentueux 2 ». C’est ainsi que baignoires et autres télécabines de skis sur roues arpentaient les rues du campus transformées pour l’occasion. Les « concurrents folklos » étaient-ils aussi endurants que les « cyclistes sérieux » ? Aucune archive documentaire n’a pu l’affirmer jusqu’ici, mais il est une certitude que les membres des deux camps livrent, encore aujourd’hui autant de gouttes de sueurs, expérimentent quelques inévitables gamelles et reçoivent les vigoureux encouragements de la part des spectateurs étudiants et villeurbannais présents le long de la ligne. Un peu plus tard, les courses se diversifient : course à pied, triathlon, roller ou même natation. Tout est prétexte à la compétition pourvu qu’elle soit de bonne guerre.

 

 
Tract publicitaire des 24 heures de l’INSA Lyon de 1984 (Fonds d’archives de l’INSA Lyon)

 

Le sens de la fête. Dans un journal de bord rédigé par un étudiant dans les années 1980, il est décrit3 : « la course sert de prétexte à de nombreuses autres activités, comme des tournois de water-polo, du rugby, des joutes nautiques, mais aussi des concerts de jazz et de rock qui viennent animer le campus. (…) Il y a même des concours de danse pour gagner une bouteille de mousseux. » 
Parmi les animations destinées à soutenir les coureurs, chaque année a son lot d’activités :  expositions, cinéma de plein air, concours de lancer d’œufs (1983), trial acrobatique (1984), soirée dansante au double mixte (années 1990), baptême de l’air en montgolfière ou descente en rappel (1991) ... La programmation n’avait de limites que l’imagination des élèves-ingénieurs, les moyens techniques de leur époque et l’inévitable accord préalable de l’administration de l’établissement. L’évènement « qui ne laisse pas de répit », a pourtant eu une animation récurrente, ayant eu de longues années de vie : la soupe à l’oignon servie le dimanche matin à 5 heures offrait de quoi réchauffer les cyclistes sérieux et les âmes -encore- éveillées.

La musique est intégrée à l’évènement dès les débuts en 1972, d’abord sur la ligne d’arrivée de la course et l’amphithéâtre de la Rotonde puis sur un podium et un chapiteau jusqu’en 1998 où les musiciens jouent désormais sur une scène métallique extérieure. Ce dernier dispositif de scène, doublé de la notoriété de la course et l’arrivée du tramway sur le campus en 2001, a certainement donné aux 24h, la tournure qu’on leur connaît aujourd’hui. Si l’esprit des courses toujours très présent, continue d’attirer des cyclistes avides de challenge, les 24 heures attirent un public de plus en plus nombreux et qui dépasse largement les frontières de l’INSA autant pour ses animations que ses concerts. Avec des têtes d’affiches importantes depuis le début des années 2000, chaque édition démontre une étonnante synergie mettant en phase les associations INSA, les administrations, les pouvoirs publics locaux et les entreprises partenaires. Les modalités d’organisation ont connu des évolutions mais le festival des 24 heures continue d’agir comme un outil d’ouverture du campus sur la ville ; Comme Lyon Matin l'a écrit en 1985 les 24 heures de l’INSA sont « l’un des rendez-vous les plus importants de l’année, aussi bien pour les étudiants que pour Villeurbanne ».

 

 
Le départ de la course des 24h en 2014 (M.B./Graines d’images)

 
Un véhicule de la course folklo 24h en 2019 (A.Dufeuil/Graines d’images)

 

La 47e édition des 24 heures de l’INSA se tiendra les 20, 21 et 22 mai sur le campus de La Doua à Villeurbanne. 
Programmationhttps://www.24heures.org/artistes/ 

Concerts solidaires (gratuit)

Le dimanche 22 mai, les 24 heures de l’INSA, le Crédit Mutuel, le Ninkasi, l’association Un Doua de Jazz, la Fondation INSA Lyon et Habitat Humanisme vous proposent de groover solidaire à travers une programmation jazz. Cette soirée, au profit du Collectif de Solidarité Étudiante, permettra de récolter des dons pour lutter contre la précarité étudiante.
Plus d’informations : https://www.24heures.org/concert-solidaire/  

 

[1] Courrier de Raymond Hamelin au « Club des 24 heures de l’INSA », en 1986. (Fonds d’archives de l’INSA Lyon)
[2] Lyon Matin, 9 mai 1985
[3] « Galère d’un journal de bord », note manuscrite reliée, écrite par un certain surnommé « Sancho ». Il explique que la note était dédiée à F. Maupas, alors son enseignant en psychologie (environ 1980). (Fonds d’archives de l’INSA Lyon)

 

Mots clés

24 fév
Du 24/02/2022
au 27/02/2022

Sciences & Société

Gaymer Festival

Un évènement proposé par l'association Geeks et Gamers LGBT+ connu sous la marque Next Gaymer en partenariat avec Exit l'association étudiante lgbt+ du campus de la Doua

Ce festival se déroulera principalement à Lyon et sera retransmis en direct sur Twitch . Il proposera des parties de jeux vidéo, des jeux de sociétés, des tournois, des tables rondes, un show drag gaming, l'intervention de SOS Homophobie et des Soeurs de la perpétuelle indulgence du couvent des 69 Gaules. 

Une programmation mêlant inclusivité et sensibilisation dans une approche ludique et de loisirs avec quatre soirées majeures à Lyon et diffusées sur Twitch :

  • Jeudi 24 février : “Press start Gayming”, présentation de l’événement, intervention de SOS homophobie et tournoi Fall Guys.
  • Vendredi 25 février : “Prêche et gaming”, les Soeurs de la Perpétuelle Indulgence du couvent des 69 Gaules béniront l’association et après un échange sur la sensibilisation, elles nous montreront leurs talents de gameuses !
  • Samedi 26 février : “Show Drag gaming”, représentation drag King et drag Queen, puis ce sera leur tour de prendre les manettes pour la soirée !
  • Dimanche 27 février : “Gayme Over”. Quoi de mieux qu’Among Us pour finir un week-end ?

Composez votre billet à la carte en fonction de votre participation pour accéder à l'événement à Lyon => https://nextgaymer.com/gaymer-festival/
 

Informations complémentaires

Mots clés

12 fév
Du 12/02/2022
au 13/02/2022

Vie de campus

Demain mais en mieux - Festival Yggdrasil / Eurexpo-Lyon

Le temps d’un week-end, retrouvez-nous dans le nouveau monde du Festival Yggdrasil : Demain, mais en mieux !

Pour se lancer dans 2022, il y a ceux qui souhaitent les vœux… et ceux qui nous offrent les raisons concrètes d’y croire : « DEMAIN, MAIS EN MIEUX ! », les 12 et 13 février prochains à Eurexpo dans le cadre du Festival Yggdrasil, c’est votre dose de dopamine au cœur de la grisaille !​​​​​​​

Une très grande expo (3000 m2 !), plus immersive que jamais, sur tout ce qui se mitonne dans les coulisses de la science pour préparer un DEMAIN positif et humaniste. Et surtout, une expo ultra-vivante puisqu’elle vous propose des vraies rencontres, les yeux dans les yeux, avec les grands scientifiques et ingénieurs qui planchent sur ces sujets.

« DEMAIN, MAIS EN MIEUX ! », c’est l’événement qui vous donne à voir en vrai ce dont vous n’avez jusque-là fait qu’entendre parler. Avec quelques expériences incroyables à la clé pour les visiteurs : se faire masser par un robot, endosser un véritable exosquelette…

Et ce qui rend l’événement encore plus sympa, c’est sa volonté de rester 100% accessible en famille : ici on se concentre sur les promesses de vie offertes par les progrès présentés, pas sur la technique ! La preuve ? Le tout est proposé sous forme d’une visite… d’un vaisseau spatial, rien de moins !

 

L'INSA Lyon est partenaire de cet évènement. A cette occasion, nos associations étudiantes, CLES-FACIL, ClubElek et Proto INSA Club, auront le plaisir de vous présenter leur travail sur des prototypes de fusées 🚀, des prototypes robotiques 🤖 et un prototype de voiture ultra-économe 🏎️. 
09 juil
Du 09/07/2021
au 11/07/2021

Sciences & Société

Festival Pop'Sciences

Le rendez-vous des jeunes, des familles et des curieux de sciences

Pour sa 3e édition, le festival Pop’Sciences s’installe au Musée et site archéologique à Saint-Romain en Gal et sur le site historique de Vienne.

Au programme, trois jours intenses de découvertes, de partages et d’échanges autour des sciences, avec une centaine d’animations gratuites et ouvertes à toutes et tous !

Ateliers, expositions, balades urbaines, jeux, conférences.

L’INSA participe à cet évènement dans les différents lieux du festival, on notera notamment : 

  • Vendredi 9 juillet 2021 : Trace ton son - Médiathèque du Trente - Vienne
    Laboratoire CREATIS et LabEx CeLyA
  • Samedi 10 juillet : Mécanique, acoustique et facture instrumentale du piano - Jardins de la Maison du Festival | Rue du Cirque -Vienne
    Kerem Ege |  Maitre de conférence Laboratoire Vibrations Acoustique

 

Informations complémentaires

Mots clés

29 jan
Du 29/01/2021 18:00
au 29/01/2021 19:00

Formation

Être acteur de sa formation à l'INSA et de son futur métier

Des étudiants et enseignants du département génie industriel tiendront une conférence à l’occasion du festival de l’apprendre. Ils reviendront sur la semaine d'accueil des 3e années du département qui a donné lieu à des ateliers d’intelligence collective.

Pour la première fois, une semaine complète fut dédiée à l’accueil des étudiants de 3e année du département génie industriel à l'INSA Lyon, avec l’intention de rendre les étudiants acteurs de leur formation et de leur métier. À travers des ateliers participatifs, les nouveaux arrivants du départements ont pu découvrir leur futur métier et se questionner sur leur rôle en tant que futurs ingénieurs sur les enjeux climatiques.

Dans le cadre du festival de l'apprendre, les intervenants de génie industriel témoigneront de cette expérience enrichissante.

Avec Françoise Sandoz-Guermond, Annie Benzeno, Leslie Gigarel, Marc Chatroux, Khaled Hadj-Hamou, Charlotte Letemplier, Sophie Marchand et Eric Zamaï.

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