
Formation
Lumière sur un atelier de production unique dans la région
Officiellement baptisée « FIMITECH » depuis le 14 février 2019, la plateforme d’ingénierie du département FIMI ouvre désormais ses portes aux étudiants, personnels et enseignants-chercheurs de l’INSA tous les jeudis après-midi. Au programme, encadrement complet de la conception à la réalisation d’un projet technique, grâce aux dispositifs de production qu’offre cet atelier digne d’une PME industrielle.
Un dispositif exceptionnel
Présente depuis la création de l’école en 1957, la plateforme aujourd’hui nommée
« FIMITECH » permet aux étudiants d’appréhender l’aspect technique du métier d’ingénieur. Damien Jacques, professeur au département FIMI, se réjouit de voir ce dispositif ouvert à l’ensemble de la communauté INSA.
« Il s’agit d’encadrer pour répondre au mieux aux besoins, et je dois avouer que c’est presque un hobby pour moi de contribuer aux projets, lance Aurélien Chazottes-Leconte, ATER1 encadrant. Nous sommes chanceux d’avoir une telle infrastructure sur le campus. C’est plutôt rare pour les étudiants d’avoir accès à des machines aussi pointues et variées à ce stade de leur formation. »
Usinage, construction métallique, découpe laser, fabrication additive, mécatronique : un potentiel technique mis à disposition de tous chaque jeudi après-midi, et encadré par une vingtaine d'experts.
« Dans le cadre de mon PST2, je devais trouver une solution de thermo-soudage pour la fabrication d’un prototype de robot. Je suis venue ici demander conseil et faire des tests in vivo », explique Louise Perrin en 3e année de Génie Mécanique.
S’organiser pour répondre à la demande
Si la plupart des étudiants connaissent la plateforme de réputation ou après leur passage au département FIMI ou la connaissent, c’est tout naturellement qu’ils reviennent mettre en œuvre leurs idées. Associations, projets pédagogiques ou projets personnels, tous avaient fait savoir leur désir d’accéder à ces outils.
Cela dit, les demandes de concrétisation des projets sont soumises à certaines règles.
« Nous ne voulons pas transformer FIMITECH en atelier de bricolage, explique Damien Jacques. Lorsque les étudiants, personnels ou enseignants-chercheurs souhaitent bénéficier des machines, une démarche réflexive doit déjà être engagée. »
L’ouverture de la plateforme au-delà des enseignements de FIMI, lui offre une seconde vie tout en participant à l’évolution et au maintien du parc machines.
« Nous sommes très heureux de pouvoir accueillir les étudiants et de les conseiller sur leurs projets. Grâce à l’officialisation de l’ouverture de FIMITECH, nous pouvons proposer un accompagnement depuis la conception jusqu’à la réalisation d’un objet technique et cela sous la forme d’un véritable atelier pédagogique », ajoute Damien Jacques.
De l’importance de la pratique dans la formation INSA
Dans un monde où le virtuel prend le pas sur le substantiel, les jeunes générations manquent parfois de contact avec la matière. À l’INSA Lyon, où l’on s’attache à conserver les enseignements pratiques, beaucoup de jeunes en reviennent à construire eux-mêmes.
« Les jeunes ont de moins en moins le tournevis en main et quand ils découvrent qu’ils ont les capacités de fabriquer par eux-mêmes, cela leur fait le plus grand bien », ajoute Damien Jacques.
Mouvement « low-tech » ou génération « do it yourself », la dynamique est donc depuis quelques années au « self-making », annonçant de belles années de vie à FIMITECH, qui souhaiterait ouvrir ses compétences et machines au-delà de la communauté INSA en devenant un lieu de travail ouvert et collaboratif.
1Attaché Temporaire d’Enseignement et de Recherche
2Projet Scientifique et Technique

Formation
Des cours à la carte à l’INSA Lyon : du choix qui donne du sens
Depuis 1957, l’INSA Lyon s’attache à proposer à ses étudiants une formation en phase avec son époque. La formation en « humanités » au sens large (langues, sciences humaines et sociales, éducation physique et sportive, documentation) vise à développer des compétences transversales. Au minimum 20% des enseignements à l'INSA sont ainsi dédiés au développement de ces compétences non technologiques nécessaires à l'ingénieur. Une toute nouvelle offre de formation en sciences humaines et sociales est ainsi en cours de déploiement dans l'ensemble des départements de second cycle : les « cours à la carte ».
Comment rester fidèle au modèle INSA, défini par Gaston Berger à la fin des années 50, et continuer à former des ingénieurs humanistes ? L'INSA a mené une réflexion globale sur la formation en humanités dispensée aux étudiants. Depuis la définition d'une feuille de route en 2015, le Centre des Humanités a travaillé avec tous les départements pour revisiter les maquettes de formation, au regard des compétences visées. L'un des objectifs : introduire une proportion significative d'enseignements à la carte permettant aux étudiants de personnaliser leur parcours.
Transformer la formation pour une génération en quête de sens
Cette possibilité de choisir ses propres cours est plébiscitée par les étudiants. Pour certains, il s'agira de découvrir un sujet nouveau, tandis que d’autres préfèreront approfondir un domaine déjà abordé : l'essentiel étant que chacun développe ses compétences en donnant du sens à son parcours. Le Centre des Humanités propose donc une offre de formation diversifiée et transversale, qui permet d'explorer des thématiques très variées telles que l'économie de la mondialisation, la transition numérique, la réflexion prospective, les questions relatives au genre, le dialogue entre les arts et les sciences, les enjeux environnementaux, l'interculturalité, etc.
Un espace de liberté pédagogique qui séduit étudiants et enseignants
Laisser le choix des cours accroît fortement la motivation et l'investissement des étudiants. Pour les impliquer davantage, le format même du cours a été repensé : travaux dirigés laissant place aux échanges, travaux de groupes, projets concrets, débats argumentés, enquêtes de terrain... L'innovation pédagogique est encouragée, avec par exemple l'intervention croisée d'enseignants des humanités et des sciences de l'ingénieur. Des intervenants extérieurs (experts, artistes…) viennent élargir la perspective et enrichir les échanges sur les sujets abordés. Un cours a même été conçu et coordonné par des étudiants !
L’ouverture, un des piliers du modèle INSA
Arrivés en troisième année, les étudiants intègrent des départements de spécialité ayant une forte identité. À l'exception des cours de langues et de sport, ils ne partagent plus de cours avec les élèves-ingénieurs des autres départements. Pour favoriser la transversalité, les cours à la carte en sciences humaines et sociales sont communs à plusieurs départements et plusieurs promotions. Par exemple, le cours sur la digitalisation permet de mêler des étudiants de quatrième et de cinquième années, des départements Génie Industriel, Génie Énergétique et Environnement et Télécommunications, Services et Usages. Confrontant leurs visions et s'enrichissant mutuellement de leurs connaissances, les étudiants construisent ainsi une réflexion collective qui leur permet d'appréhender des enjeux sociétaux complexes.
L'offre de cours à la carte est conçue pour évoluer au fil des semestres, en fonction, notamment, des intérêts exprimés par les élèves. Les premiers retours des étudiants sont très positifs. À l’horizon 2020, l’offre sera déployée dans tous les départements et contribuera ainsi à la formation d'ingénieurs INSA responsables, innovants et ouverts sur le monde.

Formation
« Ma langue, c’est celle des signes » : parcours d’un élève-ingénieur sourd à l’INSA Lyon
La surdité est un trouble mal connu qui requiert quelques stratégies de communication. Kévin Mayeux rassure : « Ne paniquez pas quand vous rencontrez un sourd ! Si vous ne connaissez pas la langue des signes française (LSF), vous pouvez mimer, écrire, faire des gestes comme si vous parliez à un copain qui porte des écouteurs ! ».
Immersion dans le quotidien silencieux de cet élève-ingénieur en première année à l’INSA Lyon.
Si le système éducatif tend encore à réserver aux sourds des métiers manuels et des études courtes faute de moyens suffisants, l’INSA Lyon et son Institut Gaston Berger œuvrent quotidiennement à l’accompagnement et à la réussite de tous les étudiants en situation de handicap comme Kévin.
« Je suis arrivé à l’INSA en septembre après une année de classe préparatoire difficile. Il m’est difficile de suivre les cours lorsqu’il n’y a pas d’interprète LSF disponible, et certaines matières scientifiques se heurtent parfois aux limites de la langue des signes. L’interprète ne peut pas traduire systématiquement des expressions mathématiques ou des concepts très techniques1. J’avais peur de ne pas bien m’intégrer aux autres étudiants mais j’ai trouvé un réel accompagnement de la part de l’INSA en réponse aux contraintes imposées par mon handicap. »
C’est avec la Cellule Handicap Étudiants pilotée par l’Institut Gaston Berger, le service médical de l’INSA et l’élève-ingénieur lui-même que les moyens à mettre en place tout au long de la scolarité sont définis.
« L’objectif est d’éviter la dispense au maximum. Nous cherchons des moyens de compensation adaptés aux besoins de chaque étudiant. Ces adaptations sont possibles grâce à l’investissement des enseignants, de tous les personnels concernés et des camarades de classe », explique Eliane Roupie, coordinatrice de la Cellule Handicap Étudiants de l’INSA Lyon.
L’adaptation au cas par cas est donc privilégiée comme l’explique Marion Fregonese, professeure au département FIMI :
« En amont de chaque rentrée, les professeurs sont réunis par l’IGB autour d’intervenants spécialisés pour comprendre les perceptions de chacun de nos élèves porteurs d’un handicap. Cela nous permet d’adapter la pédagogie et les méthodologies de travail. Par exemple, nous fournissons à Kévin les supports de cours écrits à l’avance, nous interagissons par e-mail pour répondre à ses interrogations ou nous faisons intervenir un interprète LSF si la matière le permet. Chaque handicap nécessite d’ajuster les besoins selon l’environnement. »
Dès son arrivée à l’INSA Lyon, Kévin a par ailleurs été intégré dans une famille au sein de laquelle il a rapidement trouvé sa place.
« J’étais très content de rencontrer une fille qui connaissait la LSF et surtout surpris de voir autant d’étudiants s’intéresser à ma langue. Cela m’a permis de me sentir bien à l’INSA et de prendre confiance en moi ».
En effet, les étudiants ont naturellement souhaité s’informer et parfois même se former à la LSF pour permettre une meilleure intégration de leur camarade.
« Le handicap est l’affaire de tous. Étudiants, enseignants et services de l’INSA sont impliqués dans l’accueil de près de cent étudiants en situation de handicap sur le campus, et c’est pour cela qu’il est nécessaire de mener un véritable travail de sensibilisation », indique Eliane Roupie.
Environ 80% des handicaps sont invisibles, mais les besoins sont réels. Pour aider à ce travail de sensibilisation, l’association Handizgoud propose des ateliers ludiques et marquants, lors de la semaine du Handicap (du 15 au 23 novembre) : danse en fauteuil roulant, dîners dans le noir, handi-café, soirée handisports…
« Tous les handicaps ne sont pas nécessairement moteurs ou sensoriels », aime à rappeler Cloé Mendoza, présidente de l’association étudiante. « Nous voulons proposer des expériences significatives aux étudiants et personnels de la communauté INSA en leur permettant d’accéder aux différentes sensations associées à chaque handicap. »
« Si la dimension légale relative à l’accueil et à l’accompagnement des étudiants en situation de handicap revêt un caractère obligatoire, il est important de souligner l’investissement et la mobilisation de la communauté INSA, dont le modèle est fondé sur des valeurs sociales et humaines », précise Carole Plossu, Directrice de l’Institut Gaston Berger. L’établissement a souhaité, à travers un Schéma Directeur Handicap adopté par le CA en décembre 2017, faire de cette question une thématique transversale et l’objet d’un travail collaboratif entre une cinquantaine d’étudiants, professeurs et personnels INSA. « Beaucoup d’échanges, de mobilisation et d’investissements nous poussent à vouloir développer des actions renforcées en suppléments de celles déjà en place, notamment en termes de formation, pour continuer à faire évoluer le regard de chacun sur le handicap. »
1 A l’INSA Toulouse, un glossaire en Génie Civil en LSF a été créé.

Formation
Bachelor : une formation INSA pour évoluer à l’international
Il y a trois ans, l’INSA Lyon a lancé son Bachelor en partenariat avec l’ECAM de Lyon et l’Université de Strathclyde (Ecosse). Cette formation, soutenue par le géant de l’aéronautique Safran, permet à ses étudiants d’acquérir un profil international basé sur l’ingénierie mécanique et aéronautique. Rencontre avec Ramzi Abdelwahed (2e année) et Paul Perez (3e année).
Le Bachelor International accueille des étudiants aux profils très différents. Ramzi a 25 ans quand il décide de reprendre ses études après une classe préparatoire en mathématiques et quelques années de vie professionnelle.
« Reprendre ses études relève du parcours du combattant. Je me suis heurté à de nombreux refus et la seule option pour envisager des études d’ingénieur était un Bachelor aux États-Unis, ce qui sous-entendait de quitter Lyon. Lorsque j’ai découvert que l’INSA proposait un Bachelor international dans des secteurs aussi prometteurs et porteurs que la mécanique et l’aéronautique, j’ai soigné ma candidature et croisé les doigts pour être pris ! »
Paul, lui, a découvert le programme par hasard :
« J’étudiais au lycée français à San Francisco et lorsque j’ai dû faire le choix des études supérieures, j’ai vite compris que le rapport qualité-prix des études aux Etats-Unis n’était pas avantageux. Je voulais étudier en Europe et j’avais déjà candidaté au cursus classique INSA sur lequel j’étais sur liste d’attente. En entrant en contact avec Monsieur Velex, le responsable de la formation, j’ai été conquis par le concept d’études courtes, les cours dispensés exclusivement en anglais et la mention internationale du diplôme ».
En effet, le Bachelor international de l’INSA Lyon est une formation conçue pour correspondre aux standards internationaux de formation, compatible avec le système européen LMD (Licence-Master-Doctorat) qui séduit les étudiants étrangers, souvent plus familiers à ce concept d’études courtes.
« J’ai été très surpris de découvrir une école si internationale en arrivant à l’INSA Lyon. On entend parler plein de langues différentes tous les jours, et d’ailleurs, nous sommes peu d’élèves francophones dans notre classe », s’amuse Ramzi.
La formation a également la volonté d’inscrire les étudiants dans une réalité de terrain grâce à des cours pensés pour répondre à des enjeux sociétaux réels. Les deux premières années sont consacrées à la consolidation des connaissances scientifiques et la troisième, dédiée à la science appliquée s’articule autour d’un projet de fin d’année et des travaux techniques de groupe. Deux périodes de stage sont exigées sur la durée de la formation et les étudiants sont largement encouragés à en effectuer une troisième entre la 2e et 3e année. Les étudiants du Bachelor international bénéficient des relations entre l’INSA et l’Université de Strathclyde en Ecosse et sont invités à trouver leur place dans un nouveau contexte multiculturel, le temps d’un semestre d’études en ingénierie aéronautique :
« La qualité des études d’ingénieurs en France est vraiment élevée, et mes camarades étrangers du Bachelor en ont pris conscience durant l’échange en Ecosse. Le niveau d’exigence français est également très élevé », note Paul.
Au terme de leurs trois années de formation, Paul et Ramzi souhaitent continuer leurs études d’ingénieur en master.
« Nous avons la possibilité de présenter une candidature en deuxième cycle du parcours INSA, j’aimerais tenter d’entrer au département Génie Mécanique en alternance », explique Ramzi.
Le diplôme permet également de s’insérer directement sur le marché du travail à l’international ou de faire valoir sa candidature dans des écoles à l’international, comme Paul.
« Je continuerai mes études, je voudrais intégrer une école européenne pour poursuivre un master. J’aimerais changer d’environnement et profiter du fait que mon diplôme soit reconnu en Europe ».

Recherche
A research school dedicated to water issues? It’s been done!
Produce senior managers in water-related topics, at the interface of several disciplines and capable of proposing adaptable solutions in the face of a future that is impossible to predict. That is the aim of the H2O’Lyon Research School, run by the University of Lyon. One member of the school’s management team is: Sylvie Barraud, Lecturer at INSA Lyon and researcher at the laboratoire DEEP (Waste, Water, Environment, Pollution).
Water, that precious commodity. Will it be rare in future? Uncontrollable or, on the contrary, under control? Will it be associated with more drought or more rainfall? These are all questions that need answers.
‘We have been on the alert about water for many years. It is our duty to look ahead and, above all, to find adaptable solutions to develop and manage our land’. The tone has been set by Sylvie Barraud, lecturer at INSA Lyon and researcher at the laboratoire DEEP.
A year ago, this specialist in rainwater management embarked on a new adventure. Together with Christophe Douady, Director of LEHNA (Laboratory for the Ecology of Natural and Man-made Hydrosystems - UMR (joint research centre) CNRS (National Centre for Scientific Research) 5023) and Hervé Piegay (Laboratoire Environnement Ville Société (Environment City Society) - UMR CNRS 5600), they responded to the ‘University Research School’ (EUR) call for projects under the third component of the investments for the future programme (PIA3) launched by the government. Their goal: to strengthen the impact and attractiveness of research and education on all water-related topics, especially at the international level.
‘We realised that in research, we had been working on an interdisciplinary basis for a long time, but in education, different subject areas remained separate. The PIA programme has made us aware of the full extent of our education in the field, and we have counted up to 17 courses on offer in Lyon and Saint-Étienne that deal with water or related topics! Aligning our course offerings seemed like the obvious thing to do, especially to make ourselves more visible and better understood internationally’, explains Sylvie Barraud.
That was how the ‘University Research School on Water Sciences and Hydrosystems’ (H2O’Lyon) project came about, thanks to the power of a whole water community founded more than 30 years ago.
‘Indeed, the adventure began in the early 1980s with the emergence of local organisations such as the OTHU (Urban Hydrology Monitoring Unit), which I led, the ZABR (Rhône Basin Workshop Area), the GRAIE (water research, technical coordination and information group) and many others. In June 2017, as part of the second component of the PIA scheme, the École Urbaine de Lyon (Lyon Urban School) was founded, run by Michel Lussault. We were consistent in our vision for the H2O’Lyon research school, particularly on the topic of the Anthropocene and the IMU LabEx research unit on cities’, says the co-director.
And it was with this approach to structuring and aligning the education and research offerings of Lyon and Saint-Étienne that the project won the call for tenders and €8.5 million in funding. ‘Enough to cover research projects, Master’s degrees and related supervision, summer schools, multidisciplinary post-docs and educational publications. The production of senior managers in our field is a national, European and international challenge, and working together will make it possible to provide lasting solutions, enriched by interdisciplinarity’, says Sylvie Barraud.
10 higher education institutions are involved in this adventure, bringing together Humanities and Social Sciences, Physical and Engineering Sciences, and Life and Environmental Sciences to understand all the issues related to the various water topics. The H2O’Lyon Research School is due to open in September 2018, with the initial aim of creating an H2O certification.
‘There’s an incredible energy around this great adventure, with the little spark of those who know they’re going to do something fun. Perhaps this enthusiasm was born because we have known each other for a long time and our research is already well known’, concludes Sylvie Barraud.

Formation
OpenINSA : un futur établissement 100% digital
Le Groupe INSA annonce la création d’OpenINSA, un service inter-établissements de pédagogie et de formation distancielle, ouvert à compter du 1er janvier 2018.
Avec le savoir-faire INSA, OpenINSA développera à grande échelle une démarche collective de conception, de mise en œuvre et de promotion de formations numériques ou hybrides à la demande, personnalisables et ciblant la Formation Tout au Long de la Vie (FTLV) des salariés. OpenINSA proposera dès 2018 son premier Bachelor entièrement en ligne.
OpenINSA, un véritable établissement numérique
OpenINSA est un projet original de création d’une composante de formation INSA hors des murs, appartenant à un collectif d’établissements du Groupe INSA.
Il délivrera pour le compte du Groupe INSA des diplômes en formation initiale et en formation continue, essentiellement par voie numérique, en France et à l’international. OpenINSA s'adressera d'une part aux enseignants et étudiants du Groupe INSA et d'autre part aux salariés ingénieurs et techniciens, dans le cadre de leur Formation Tout au Long de la Vie.
Sur le plan juridique, cette composante sera gérée comme un service inter-établissement, c'est-à-dire avec une direction, des moyens et des personnels affectés.
Opportunités et ambitions du projet OpenINSA
Tout d’abord, OpenINSA permettra de contribuer à un renforcement du Groupe et au renforcement de l’image et de la notoriété des INSA. Ensuite, OpenINSA sera l’occasion pour les INSA d’investiguer de nouvelles cibles en matière de formation continue, de se positionner dans un contexte national et international très concurrentiel, et de bénéficier de possibles retours financiers.
Enfin, OpenINSA offrira la possibilité de diffuser plus largement l’information, de consolider l’expertise du Groupe INSA en matière de TICE et de diversifier l’offre de formation.
Trois missions principales
OpenINSA est scindé en deux volets coordonnés par un service central.
Le premier volet du projet est tourné « vers l’interne ». Il poursuit comme objectif principal de Fédérer une communauté « enseignant(e) INSA » en favorisant le partage, la collaboration et l’adhésion à des valeurs communes.
Il s’articule autour de services numériques communs au Groupe INSA – permettant le partage et facilitant les collaborations entre enseignants –, et d’un service commun de pédagogie chargé de faire vivre une dynamique autour des services numériques et de faciliter la coordination des services pédagogiques des différents INSA pour former et animer la communauté enseignante.
Le second volet est tourné « vers l’externe » et vise à positionner le Groupe INSA auprès des entreprises partenaires sur la Formation Tout au Long de la Vie des techniciens et des ingénieurs, en réponse à leurs besoins.
Il s’appuie en premier lieu sur un service de formation en ligne – l’INSA Numérique, en relation étroite avec les services de formation continue et initiale des écoles du Groupe. Ce service est chargé de concevoir et d’articuler au sein du Groupe une offre de FTLV répondant aux attentes de nos partenaires industriels.
Des atouts de taille pour relever le défi du tout-numérique
Le Groupe INSA possède de nombreux experts, enseignants-chercheurs dans tous les secteurs de l’ingénierie et dispose d’une capacité à co-concevoir et à co-produire des ressources numériques à l’échelle du Groupe.
Les INSA bénéficient par ailleurs d’un engagement fort en matière de TICE, d’innovation pédagogique, d’accompagnement des équipes et dans des projets d’envergure tels que les IDEFI.
De plus, le Groupe INSA entretient une relation privilégiée avec les PME et une présence forte dans le développement économique local dans les régions où les INSA sont implantés.
Autres atouts clés en chiffres : 10 % des ingénieurs formés par an en France et 81 000 alumnis avec une forte capacité à les mobiliser.
Le Groupe INSA s'est, depuis une quinzaine d'années, fortement engagé dans le domaine des Technologies de l'information et de la communication pour l'enseignement (TICE), à travers de nombreux projets soutenus par l’université numérique ingénierie et technologie (UNIT).
Deux dynamiques sont à l'œuvre. D'un côté, la vision stratégique des équipes de direction en faveur de l'innovation pédagogique, du maintien d'une dynamique incitative et d'accompagnement, ainsi que de l'implication dans des projets en réseau. D'un autre, des questionnements de plus en plus forts des équipes pédagogiques quant à l'efficacité́ de dispositifs de formation traditionnels (cours magistraux).
L'expérimentation de nouvelles pratiques pédagogiques s'est donc imposée progressivement, notamment celles offrant une part importante à l'utilisation de ressources de type vidéo (ou de dispositifs de type MOOC/SPOC) qui semblent mieux correspondre aux attentes et pratiques des étudiants.
ZOOM SUR TROIS PÉDAGOGIES INNOVANTES DISPENSÉES DANS LES INSA
Le projet Connect-IO associe le Groupe INSA et OpenClassrooms, première plateforme francophone d'e-Education. Il développe des outils de formation de type MOOC et SPOC sur la thématique des “objets connectés”. Pionniers dans ce partenariat public-privé, le Groupe INSA et OpenClassrooms travaillent à la mise en place d’un modèle économique garantissant la pérennité́ de la diffusion de ces savoirs. Disponible depuis début septembre, le MOOC « Développer en C pour l’embarqué »
est le 1er des 30 objets du projet Connect-IO. Il débute une série de 18 MOOC et 12 SPOC, dont la presque totalité est en cours de création, et dont la parution s'échelonnera à une fréquence mensuelle pendant 2 ans.
NumerINSA est un appel à projets Groupe INSA lancé en avril 2015. Il vise le développement de ressources numériques pour l'enseignement et la constitution ou le renforcement à travers les écoles du groupe de communautés d'enseignants d'une même discipline. Les thématiques vont de l'analyse numérique à la découverte de l'entreprise en passant par les compétences informationnelles, l'électromagnétisme, le C2I et les mathématiques. 5 projets sont à ce jour terminés.
Le projet InnovENT-E, porté par le Groupe INSA, et auquel collabore le CESI, vise la mise en place d'un référentiel national de compétences liées à l'innovation, la création de formations spécifiques orientées compétences, l'évolution des organisations et méthodes pédagogiques, la constitution d'un centre collaboratif et dématérialisé de ressources pédagogiques, la mise en place d'un Institut national de formations permettant la diffusion et l'amélioration des dispositifs créés.
- En savoir plus : Dossier de presse OpenINSA

Formation
Attractivité INSA : les chiffres de la rentrée 2017
« Nous ne sommes pas une école de second rang, nous recrutons les meilleurs étudiants de France. Et ceux qui rentrent chez nous ne le font pas par dépit, ils veulent suivre notre formation, ils croient en notre modèle d’ingénieur »
Eric Maurincomme, Directeur de l'INSA Lyon
Dans l’ordre ensuite, les élèves de Provence-Alpes-Côte-D’Azur, les DOM et la Région Occitane.
Région Bourgogne-Franche-Comté est la moins représentée.
« Nous ne regardons pas le lycée de provenance. Il ne faut pas d’autocensure parce que le meilleur de la classe de n’importe quel lycée n’importe où en France peut candidater dans nos établissements. Notre mode de sélection est juste, nous prenons sur dossier les meilleurs en mathématiques, physique, français et langue vivante. Ce sont des profils complets. »
Eric Maurincomme, Directeur de l'INSA Lyon
« Les étudiants qui quittent notre établissement ont soit du mal à acquérir des méthodes de travail, manquent de maturité ou au contraire, sont brillants et comprennent très vite qu’ils veulent faire autre chose que de l’ingénierie. Nous détectons les profils qui ne sont pas faits pour l’INSA très rapidement, car nous accompagnons tous nos étudiants. Ce qui permet d’ailleurs une réorientation rapide. Nous discutons beaucoup avec eux. Aucun ne part déçu. »
Eric Maurincomme, Directeur de l'INSA Lyon
« Ces étudiants ont l’expérience d’autres formations et viennent chercher à l’INSA une formation dans un domaine de spécialité bien précis. Ils sont très motivés pour rentrer dans nos cycles d’ingénieurs et s’intègrent rapidement à leurs camarades de promotion, notamment grâce au dynamisme de notre vie associative, riche de 130 associations. »
Eric Maurincomme, Directeur de l'INSA Lyon
« L’INSA Lyon vient d’ouvrir sa 5ème formation par apprentissage. Désormais, les départements Génie Mécanique, Génie Electrique, Télécommunications Services et Usages, et Informatique sont accessibles par la voie de l’alternance, permettant aux apprentis ingénieurs de décrocher le diplôme de la même excellence que ceux de leurs camarades en filière classique. »
Eric Maurincomme, Directeur de l'INSA Lyon

Formation
Orthographe : peut mieux faire ?
Développée par un ingénieur INSA, cofondateur de la start-up Woonoz, la certification Voltaire a pour objectif d’améliorer en ligne la maîtrise de la langue française. Un plus pour les recruteurs.
« 82 % des recruteurs sont sensibles au niveau d'orthographe des candidats et 30 % des recruteurs jettent un CV dès qu'ils voient 2 fautes ». Cette phrase prononcée par le DRH d’un grand groupe est pour le moins équivoque. Et c’est certainement à partir de ce genre de constat qu’est née la certification Voltaire, un programme de formation en ligne imaginé par la société Woonoz et développé par Fabrice Cohen, ingénieur INSA diplômé du département Informatique en 1994.
Woonoz, start-up lyonnaise spécialisée dans les formations e-learning pour entreprises et établissements d’enseignement, développe son offre de services avec la technologie de l’Ancrage Mémoriel®. Cette dernière s’appuie sur la connaissance scientifique des mécanismes qui régissent la mémoire, permettant d’assurer une mémorisation rapide et durable. Et c’est sur ce principe que la certification Voltaire a été développée, pour devenir aujourd’hui l’un des modules phares de Woonoz.
L’objectif : permettre aux utilisateurs d’obtenir une certification qu’ils peuvent valoriser sur leur CV.
Le concept séduit de plus en plus. En 2013, le module compte 10 000 inscrits contre 20 000 en 2014. De grands groupes comme April, Casino ou Accor ont signé une charte d’engagement et de reconnaissance de la certification Voltaire. Aujourd’hui, ce sont plus de 2 500 établissements d’enseignement et 700 entreprises qui lui font confiance.
Décrocher la certification Voltaire est au programme de la formation des élèves-ingénieurs en apprentissage de la filière Génie Mécanique Conception Innovation Produits de l’INSA Lyon.
Entretien avec Stéphane Raynaud, responsable de la filière GMCIP.
Pourquoi voulez-vous que certains étudiants de votre filière participent au projet Voltaire ?
« Les étudiants sont issus à 90% d'Institut Universitaire de Technologie (IUT). Les apprentis ont souvent des problèmes de rédaction allant de la faute d'orthographe à des problèmes de structure grammaticale. Sensibiliser les étudiants à la problématique de posséder un français correct afin de leur permettre de corriger les erreurs les plus courantes pour la rédaction de leurs rapports d’alternance, leur travaux pratiques, leurs rapports de projets et bien sûr pour leur travail futur, me semble être primordial. »
De quelle manière intervenez-vous dans ce projet ?
« Je propose uniquement la certification Voltaire à mes étudiants apprentis de 3e année, à cause du coût de la formation sensiblement élevé. J’organise l’emploi du temps, je suis les durées de connexion ainsi que la progression de chaque étudiant, et enfin, je récupère les notes de l’examen. »
Additional informations

Formation
Sport de Haut Niveau : quand les INSA visent les JO
Accompagner les élèves-ingénieurs sportifs de haut niveau sur les plus hautes marches des podiums, c’est l’objectif de la section SHN de l’INSA Lyon qui a mis en place un suivi sur-mesure pour ses athlètes prétendant aux JO.
Samson, Liam, Sophia, Louis… Ils sont 16 élèves-ingénieurs, tous sportifs de haut niveau, à bénéficier depuis quelques mois d’un accompagnement sur-mesure élaboré par la section Sportif de Haut Niveau du Centre des Sports de l’INSA Lyon, le projet « Olympiades ». Equilibre sportif, scolaire et personnel, c’est le triple projet de la section Sportif de Haut Niveau de l’INSA Lyon.
« Diététique, cryothérapie, formation aux réseaux sociaux, prise de parole en public, accompagnement aux échanges académiques ou encore insertion professionnelle : on a développé une offre d’encadrement dans des domaines où n’interviennent pas les Fédérations Sportives. La sélection se fait sur dossier, chaque candidat présente un projet sportif construit en relation avec sa Fédération et on imagine ensemble le scénario de la victoire » explique Eric Dumont, directeur de la filière SHN de l’INSA Lyon, tout à l’initiative de ce projet.
Objectif : accompagner le plus de sportifs aux prochains Jeux Olympiques, au Japon en 2020 et à Paris en 2024.
« Ce suivi est proposé sur l’ensemble du parcours à l’INSA de nos sportifs de haut niveau, soit 7 années au lieu des 5 habituelles puisqu’ils bénéficient d’un temps aménagé. Mais à la fin de chaque année, le suivi est évalué et remis en question en fonction des performances sportives de nos athlètes » précise Eric Dumont.
Très investi, Eric Dumont n’a pas hésité à frapper à toutes les portes pour mener à bien son projet. Pour pourvoir l’inscrire dans le temps, et permettre un suivi personnalisé sur 7 années, il a fallu fédérer les espoirs et amener tout le monde à y croire.
« Un projet comme celui-là ne peut être mené si les professeurs n’y croient pas, et à l’INSA, tous y croient. Il leur faut accepter les horaires aménagés, les cours reportés, la priorité donnée au sport quand cela est nécessaire. Nos élèves-ingénieurs ont des contraintes de plus en plus fortes, comme l’obligation de partir à l’étranger pendant leur formation, et il fallait nous adapter » commente Eric Dumont, qui a commencé par se rapprocher de la Fondation INSA Lyon et du réseau d’entreprises liées à l’école pour accompagner financièrement et humainement ce projet.
Tant et si bien qu’à la rentrée de septembre 2017, ce dispositif pourrait être élargi à 20 sportifs élèves-ingénieurs à l’INSA Lyon.

Léa est en deuxième année à l’INSA Lyon dans la section Sport de Haut Niveau (SHN) en athlétisme, plusieurs fois championne de France de 2000 mètres steeple et 7ème aux JO junior 2014.
« Certaines de mes grosses compétitions tombent pendant mes partiels et c’est beaucoup de pression. J’ai la chance de pouvoir compter sur un préparateur physique qui m’apporte son aide en cas de besoin. Grâce au suivi de la section SHN, je veux mener de front les études que je voulais faire en école d’ingénieur et mon sport, et me projeter sur mes compétitions sereinement. Je veux aller aux JO 2020, et d’ici là il y a les championnats du Monde et d’Europe. C’est l’entrée dans la vie active qui me fait le plus peur, parce que ce n’est pas facile de trouver une entreprise qui comprenne qu’en tant que sportifs de haut niveau, nous avons des impératifs sportifs. J’espère être accompagnée à ce niveau-là aussi par la suite. »

Thomas vient d’intégrer l’INSA Lyon en première année, dans la section Sport de Haut Niveau, en tir à l’arc. Double champion du Monde junior en 2013, et en 2014, il est double champion de France toute catégorie 2015-2016.
« Il n’y a pas beaucoup d’écoles d’ingénieurs qui proposent ce suivi personnalisé. Quand on est sur une liste de haut niveau, on a un ensemble de suivi à faire, notamment médicaux. En faisant partie du « projet Olympiades » de l’INSA, le suivi permet d’aller encore plus loin et d’être encore plus adapté. Parmi les options à la carte, j’ai par exemple choisi le suivi nutritionnel et la formation aux réseaux sociaux. On met un pied à la fois dans le monde du travail et dans le monde professionnel sportif. Je suis en train de vivre ma dernière année en junior avec le championnat du Monde à la fin. C’est en tant que senior que je vais participer aux championnats d’Europe, du Monde et je l’espère aux JO de 2020. »
Crédit photo : FFTA
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Formation
L’INSA Lyon ouvre sa cinquième filière de formation par apprentissage
Le département Informatique de l’INSA Lyon ouvrira sa filière par apprentissage en septembre 2017. Date limite de dépôt des candidatures : 31 mars 2017.
Après GMPPA (Génie Mécanique Procédés Plasturgie), GMCIP (Génie Mécanique Conception Innovation Produits), GEA (Génie Electrique) et TCA (Télécommunications, Service et Usages), c’est au tour du département Informatique (IF) de l’INSA Lyon, d’ouvrir la voie à la formation par l’apprentissage.
L’INSA Lyon s’engage en effet depuis 2009 à multiplier les formations d’excellence par apprentissage, délivrant le même diplôme que celui des formations classiques, les apprentis étant soumis au même processus d’évaluation académique.
En septembre 2017, 16 candidats (maximum) pourront donc intégrer un cycle d’ingénieur informatique en 3 ans à l’INSA Lyon avec pour objectif de s’immerger dans une entreprise tout au long de leur formation. Ainsi, ils décrocheront leur diplôme d’ingénieur informatique INSA avec la carte de l’alternance.
« Il y a une demande très forte à la fois des étudiants, pour qui une rémunération pendant la formation est très intéressante, et des entreprises, qui viennent chercher chez nous des collaborateurs potentiels, qu’ils peuvent prendre le temps de former dans l’intérêt de les embaucher une fois diplômés » explique Mathieu Maranzana, responsable de la nouvelle filière IFA, pour Informatique par voie d’apprentissage.
« Il y a une offre de travail démentielle dans notre secteur d’activité, nous avons pu apporter une quarantaine de lettres de soutien d’entreprises à notre dossier, sachant que dans le cursus classique, 80% de nos étudiants se voient proposer un contrat de travail alors qu’ils sont encore en formation » précise ce chef de file, qui ajoute que les femmes ont une vraie place dans ce secteur d’activité, les plus gros salaires des derniers diplômés ayant été affichés par deux ingénieures l’an dernier.
Pour Laurence Ponsonnet, Directrice Régionale chez ATOS, le profil d’un apprenti ingénieur INSA est effectivement très intéressant.
« Chez ATOS, nous avons un besoin de recrutement très important d’ingénieurs informatiques. Avec l’ouverture de cette filière, l’INSA Lyon répond aux enjeux clés de notre recrutement : une école de qualité et une formation informatique pertinente qui permet d’accompagner nos clients dans leur transformation digitale.
De plus, ce mode de formation par l’apprentissage permet de recruter des collaborateurs compétents et immédiatement opérationnels, nos talents de demain… » complète Laurence Ponsonnet.
Cette formation, accréditée par la Commission des Titres d’Ingénieur, est proposée en partenariat avec le Centre de Formations d’Apprentis FormaSup – Ain-Rhône-Loire (CFA FormaSup – ARL) et est soutenue par la région Auvergne Rhône-Alpes. Elle se déroule pour moitié à l’INSA Lyon et pour moitié en entreprise, avec une alternance variable en durant les 3 années de formation.
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