Arts-études

09 Jan
From 09/01/2025
to 31/01/2025

Art & Culture

Fissures (exposition aux humanités)

Depuis quelque temps, la couverture médiatique sur la santé mentale des jeunes augmente. Comment rendre ce sujet moins froidement factuel ou médical mais plus sensible, plus artistique ?

Portée par trois insaliens en section Arts-plastiques-études, l’exposition Fissures invite à réfléchir aux complications que peuvent rencontrer les étudiants, à se questionner sur les signaux d’alarme, ou encore sur les pensées d'épisodes de mal-être. Sculptures, gravures, peintures (de Lucie Dumas, Marianne Gaillard, Yann Tobet) et poèmes (de Fatma Bouricha) dialoguent autour de ce thème.

15 Jan
From 15/01/2024
to 25/01/2024

Art & Culture

Nuits de la lecture : Le corps (exposition)

Dans le cadre de les Nuits de la lecture et en partenariat avec le Comité d'Action Sociale de l'INSA, maison des personnels de l'INSA Lyon, nous vous invitons à découvrir l'exposition de toiles autour du corps

Pendant les cours d’aquarelles, de pastels, de peintures à l’huile et à l'acrylique, les élèves de Murielle Andrieu Le Gall parcourent la thématique du corps qu'il soit en mouvement, statique, à nu, embelli ou meurtri.

Vernissage : jeudi 18 janvier de 12h15 à 14h avec des élèves de la section théâtre études pour une déclamation de textes de théâtre.
25 Oct
25/Oct/2023

Vie de campus

Et si ma maison brûlait... ?

« Et si ma maison brûlait, que sauverais-je ? ». C’est avec cette question que le théâtre KnaM a entamé la Master class donnée aux élèves-ingénieurs en section théâtre-études à la fin de l’été. Réfugiés en France depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie, les membres de la compagnie russe avait déjà tissé des liens avec l’INSA Lyon, renforcés cette année par le soutien d'enseignants du Centre des Humanités pour l'apprentissage du français. En quête d’échange sur sa nouvelle terre d’exil, la compagnie a partagé son approche artistique avec une vingtaine d’étudiants. Entremêlant vidéo, émotion pure et mémoire, les élèves-ingénieurs en ont donné une interprétation poignante le 26 septembre dernier à la Rotonde

L’exil
Célèbre sur la scène européenne pour sa capacité à résister par les mots et ses spectacles politiques, l’équipe du KnAM théâtre a été contrainte de fuir son pays au printemps 2022, lorsque la Russie a envahi l’Ukraine. Depuis, les artistes associés au Théâtre des Célestins sont réfugiés à Lyon. Leurs travaux ont, depuis, résonné jusqu’à l’INSA Lyon. « Depuis plusieurs années, le théâtre KnAM entretenait des liens avec notre école, notamment via Berthold Mader, enseignant au Centre des Humanités », introduit Davyd Chaumard, responsable de la section Théâtre-études au sein de l’école d’ingénieur. « En vue de leur exil en France, ils ont suivi des cours de français et à travers ces échanges, la volonté de la compagnie de partager encore plus avec nous s’est imposée. Nous avons décidé, en accord avec la Direction des Humanités, le Service Culturel et avec le soutien de la CVEC, décidé de collaborer sur leur champ de prédilection, le théâtre. » 

 

 

L’exploration d’un genre : le théâtre documentaire
En résonnance avec sa création au Théâtre des Célestins, les comédiens du théâtre KnAM partagent leur approche artistique avec les élèves-ingénieurs de la section Théâtre-études. Durant cinq jours, les étudiants explorent un genre : le théâtre documentaire1. Plus encore, ils développent leur empathie, grâce à l’écoute nécessaire à l’exercice théâtral proposé par la compagnie. « Tatiana Frolova, la metteuse en scène du théâtre KnAM, a pour habitude de dire que ‘tout peut faire histoire’ et ‘votre histoire peut devenir une pièce de théâtre’. C’est autour de cette idée que se construit leur recherche théâtrale et cette démarche artistique qu’ils ont partagé avec les étudiants », poursuit Davyd. À partir d’objets, de souvenirs d’enfance ou de photos, la compagnie questionne les notions de mémoire et de traces. En symétrie avec leur spectacle aux Célestins2, ils présentent leur mode opératoire et les étudiants répondent. « Et si ma maison brûlait, que sauverais-je ? ». Les réponses sont filmées, issues d’interviews où chacun présente son objet et les souvenirs associés. « De cette question-là, ils ont construit une pièce sensible pour le public et qui donne la sensation de pouvoir partager un moment d’intimité sans voyeurisme, en toute simplicité », explique le responsable de la section Théâtre-études.

La performance : un espace de parole et d’écoute
Puisque le travail théâtral n’a de sens que s’il est partagé avec un public, la vingtaine de participants à la Master Class a restitué ses travaux lors d’une performance à la Rotonde. Sur scène : une table surplombée d’une caméra retranscrivant les visages en gros plan sur un écran blanc en fond. Tout au long de la performance, ponctuée de séquences sonores où se mêlent voix et souffles courts, chacun est interpelé par l’autre pour partager son histoire, par le prisme de l’objet de son choix. « J’ai peur de l’avenir ; peur de ne pas mériter l’amour des gens que j’aime ; peur de vivre sans culpabiliser de détruire la planète ; peur que cet au revoir soit le dernier ; elle me hante la peur de l’échec ; c’est quoi l’amour, en fait ? ; qu’est-ce que c’est de bien faire ? ; est-ce qu’on est obligé d’être heureux ? ». Une peluche, un calendrier-photos, des carnets… La performance de groupe mêle jeux d’acteurs et dévoilement de véritables jardins secrets, dans laquelle la réalité se confond avec la mise en scène. 

 

 

[1] Le théâtre documentaire est une forme de théâtre qui traite d'évènements politiques ou sociaux historiques ou contemporains qui font fonction de sources des reportages, des comptes rendus, des interviews et autres documents juridiques ou historiques. Bien que le matériel authentique soit rendu en règle générale de manière inchangée, il s'agit d'une forme d'art fictionnelle. (Wikipédia).

[2] « Nous ne sommes plus »

 

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25 May
25/05/2023 17:00

Art & Culture

Vernissage exposition annuelle de la section Arts-plastiques-études

Les étudiants, les enseignants et les encadrants de la section Arts-Plastiques-études ont le plaisir de présenter les travaux réalisés tout au long de l’année universitaire dans le cadre des différents ateliers de la section.

Le vernissage aura lieu le jeudi 25 mai 2023 à partir de 17h dans l’atelier de la section Arts-Plastiques-études, bâtiment B, campus de l’INSA Lyon.
Un buffet sera assuré par l’association Lézarts.

L’exposition sera déployée dans quatre lieux du campus jusqu'au 2 juin 2023 :

▪️ L’atelier de la section : exposition principale,
▪️ La galerie du Centre des Humanités : travaux d’optique,
▪️ La Bibliothèque Marie Curie : une installation créée dans le cadre du festival Pop’Sciences, en lien avec le département FIMI et le module ETRE, sur le thème « numérique et écologie »,
▪️ Le bâtiment Jean d’Alembert au FIMI : travaux photographiques, inauguration d'un lieu d'exposition permanent.

L’exposition est accessible selon les horaires d’ouverture de chaque lieu.

Additional informations

  • Atelier de la section Arts-Plastiques-études, bâtiment B - Campus LyonTech-La Doua – Villeurbanne.

22 May
From 22/05/2023
to 02/06/2023

Art & Culture

Exposition annuelle de la section Arts-plastiques-études

Les étudiants, les enseignants et les encadrants de la section Arts-Plastiques-études ont le plaisir de présenter les travaux réalisés tout au long de l’année universitaire dans le cadre des différents ateliers de la section

L’exposition sera déployée dans quatre lieux du campus :

▪️ L’atelier de la section : exposition principale,
▪️ La galerie du Centre des Humanités : travaux d’optique,
▪️ La Bibliothèque Marie Curie : une installation créée dans le cadre du festival Pop’Sciences, en lien avec le département FIMI et le module ETRE, sur le thème « numérique et écologie »,
▪️ Le bâtiment Jean d’Alembert au FIMI : travaux photographiques, inauguration d'un lieu d'exposition permanent.

Un vernissage aura lieu le jeudi 25 mai 2023 à partir de 17h dans l’atelier de la section Arts-Plastiques-études, bâtiment B, campus de l’INSA Lyon.
Un buffet sera assuré par l’association Lézarts.

L’exposition est accessible selon les horaires d’ouverture de chaque lieu.

09 Nov
09/11/2022 18:30

Art & Culture

Vernissage Exposition Amours digitales

Une exposition singulière organisée par les étudiants de l’INSA Lyon.

Imaginée par Clémence, Clément, Lou, Mattéo, Robin et Sami, étudiants de 5e année de l’INSA Lyon ayant suivi le semestre de formation DESIGNINSA en 2022, cette exposition se veut une invitation à s'interroger sur l'impact des technologies numériques sur les relations amoureuses.

L’Amour, un marché comme les autres

Tinder, bumble, … La jungle des sites et applications de rencontres est en plein essor. Un nouveau lexique amoureux apparait. Comment trouver sa moitié ? Le parti pris de l'exposition est de ne pas apporter de réponses clef-en-main, simplement des informations factuelles organisées autour d'une chasse au trésor afin d'aider Le Petit Chaperon Gris, héro/héroïne de notre narration, à trouver sa moitié... 

« Digitalis », qui a l'épaisseur d'un doigt

« Amor », amour, affection, tendresse 

 

 

Additional informations

  • Agora - Bâtiment des Humanités - Campus LyonTech-La Doua – Villeurbanne.

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10 Nov
From 10/11/2022
to 15/12/2022

Art & Culture

Exposition Amours digitales

Du 10 novembre au 15 décembre 2022, se tient sur le campus LyonTech-La Doua – Villeurbanne, une exposition singulière intitulée Amours Digitales, organisée par les étudiants de l’INSA Lyon.

Imaginée par Clémence, Clément, Lou, Mattéo, Robin et Sami, étudiants de 5e année de l’INSA Lyon ayant suivi le semestre de formation DESIGNINSA en 2022, cette exposition se veut une invitation à s'interroger sur l'impact des technologies numériques sur les relations amoureuses.

L’Amour, un marché comme les autres

Tinder, bumble, … La jungle des sites et applications de rencontres est en plein essor. Un nouveau lexique amoureux apparait. Comment trouver sa moitié ? Le parti pris de l'exposition est de ne pas apporter de réponses clef-en-main, simplement des informations factuelles organisées autour d'une chasse au trésor afin d'aider Le Petit Chaperon Gris, héro/héroïne de notre narration, à trouver sa moitié... 

« Digitalis », qui a l'épaisseur d'un doigt

« Amor », amour, affection, tendresse 

 

 

Additional informations

  • Agora - Bâtiment des Humanités - Campus LyonTech-La Doua – Villeurbanne.

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19 Oct
19/Oct/2022

Formation

« Le bigidi, c’est faire corps avec le déséquilibre permanent sans jamais tomber »

Les prémisses de la relation entre Lēnablou et la section danse-études avaient débuté dès 2015. En avril dernier, des élèves-ingénieurs danseurs ont été accueillis en Guadeloupe pour découvrir un travail inédit : la théorisation d’une danse traditionnelle insulaire. Développée par Lēnablou, chorégraphe et anthropologue de la danse, « la Techni’ka » résulte d’un long processus d’analyse d’une culture qui se transmettait jusqu’alors par l’oralité. Accompagnés sur l’île par « Lafabri'k », un laboratoire des danses et expressions artistiques, les 32 étudiants de l’INSA Lyon ont ainsi découvert « l’art de vaciller sans tomber ». 
 
Après ce premier temps d’échange au printemps, c’est à la section danse-études et à l’association l’Art de la Scène de recevoir la danseuse sur le campus en novembre prochain. À l’occasion du lancement de la seconde partie du projet, Marine Plaza (5GEN), Lisa Biche (5GM) et Julien Poletti (4GM), se sont prêtés au jeu de l’interview croisée pour raconter cette expérience sensorielle qui les a poussés à expérimenter le déséquilibre permanent. 

En avril dernier, vous vous êtes rendus en Guadeloupe pour découvrir « la Techni’ka », une technique développée à partir du Gwoka, une danse traditionnelle. Comment peut-on résumer le travail de Lēnablou ?

Julien : Les danses populaires s’opposent aux danses savantes, celles qu’il faut apprendre à partir d’une théorie comme la danse classique par exemple. Le Gwoka fait partie de la première catégorie : c’est une danse qui tire ses origines dans l’histoire de l’esclavage, née dans les plantations. De cette culture, Lēnablou a théorisé ces mouvements qui ont coutume d’être transmis uniquement à l’oral. C’était la première fois que les pas étaient étudiés en vue d’être écrits. La Techni’ka est le nom de cette théorie.

Lisa : Autour de la Techni’ka, il y a une philosophie, appelée « le Bigidi », un mot créole qui signifie « chanceler » ou « vaciller ». C’est l’idée de faire corps avec le déséquilibre permanent sans jamais tomber. Dans cet esprit, les mouvements du Gwoka ont été étudiés pour être réappropriés. Pour comprendre les gestes et la tonalité, il faut comprendre la culture guadeloupéenne. D’ailleurs pendant notre séjour, les masterclass que nous suivions étaient complétées par des rencontres avec des gens de l’île, ce qui nous a permis de relier les mouvements de la Techni’ka et du Gwoka qui sont très liés à l’histoire de la Guadeloupe.

Comment pourriez-vous décrire les mouvements du Gwoka ?

Marine : Il y a dans le Gwoka, des positionnements de pieds totalement inédits, presque étranges et inhabituels pour le corps. Ces positions recherchent le déséquilibre et le chancellement, le fameux état du « Bigidi ». C’est une danse que l’on fait résonner à l’écoute d’une percussion et qui se danse pendant des soirées Léwoz, des fêtes locales où danseurs, chanteurs et tambouriers s’unissent. Nous avons eu la chance d’en vivre une et c’était très impressionnant. Les danseurs se mettent en mouvement plus par nécessité que par envie de danser, comme un besoin viscéral de faire corps avec la musique. 

 

 

À titre individuel, que retenez-vous de cette rencontre inédite ? 

Julien : En me rendant en Guadeloupe, je m’attendais à apprendre les bases d’une danse mais j’ai retenu une chose essentielle de l’enseignement de Lēna et du Bigidi qui me resteront longtemps : être fort, c’est savoir tomber et toujours s’adapter. 

Marine : La méthode d’apprentissage de la Techni’ka est très rigoureuse et Lēna est une femme ferme qui a cherché à nous pousser dans nos retranchements. J’ai compris en dansant : parfois, il faut pouvoir « sentir » avec le corps plus que de « comprendre » avec la tête.

Lisa : À travers les bases de la Techni’ka, nous avons aussi découvert l’histoire de la Guadeloupe, et c’est ce côté qui m’a profondément touchée. C’est ce que je retiens surtout de cette expérience : la morale du Bigidi. Le déséquilibre fait partie du jeu, mais il faut se relever : après une épreuve, on se doit d’aller de l’avant.

 

 
Avril 2022

 

Le travail qui vous a été donné d’expérimenter s’apparente à un véritable travail de recherche du mouvement. En tant que futurs ingénieurs, y avez-vous vu des liens avec la science ?

Julien : Elle a fait un travail analogue à celle d’un chercheur en science ; elle a d’ailleurs même écrit une thèse sur le sujet. En allant à la rencontre des gens et en observant l’existant, le Gwoka, elle a formalisé la Techni’ka : c’est comme faire des expériences pour valider ou invalider une hypothèse scientifique. 

Marine : Dans notre futur métier, il y a la théorie : la corde intellectuelle que l’on tresse à l’école. Avec le Gwoka, j’ai compris cela : toucher d’abord la sensibilité permet parfois de mieux la comprendre théoriquement. Pour être des ingénieurs mobilisés, il nous faudra prendre conscience de l’importance de la corde sensible. 

Lisa : En tant qu’ingénieurs, nous allons agir dans un monde pour des gens. On peut le faire grâce à notre formation, mais si on veut des impacts réels, il faut être capable de comprendre les besoins de ces personnes. Je ressors de cette expérience plus nourrie en tant que future-ingénieure, car je crois que c’est important de savoir pourquoi on fait les choses. 

 

Une première rencontre, en 2015, entre Lēnablou, danseuse-chorégraphe, aujourd’hui Docteure en anthropologie de la danse et Delphine Savel, enseignante spécialiste Danse, responsable de la filière Danse-études à l’INSA Lyon, a conduit à une nouvelle collaboration avec un groupe de 32 étudiants. Un projet artistique, associatif et pédagogique est né pour aller à la rencontre des passeurs de tradition : « Insularité et pluriversalité, un pas de danse à la rencontre de l’autre ». Projet en partenariat direct avec le Conservatoire de Musique et de Danse de Paris et du département de notation du mouvement.

 

L'INSA Lyon accueillera au sein du Campus Lyon Tech la Doua - Villeurbanne : Lēnablou, docteure en anthropologie de la danse, danseuse, chorégraphe et pédagogue, les 8 et 10 novembre 2022, autour de la Techni'ka et du Bigidi, issus du Gwoka. Avec le soutien de la Maison de la Danse, le Centre national de la danse et la DRAC Rhône-Alpes. 

Conférence de Lēnablou sur la culture guadeloupéenne :
« Le geste chaotique du corps dansant : expression d’une nouvelle pluriversalité »

Le 8 novembre à 12h30 - Rotonde - Campus INSA Lyon - Entrée libre.
Représentation par la Compagnie Trilogie Lēnablou :
« Le sacre du sucre »

Le 10 novembre à 20h00 -  Rotonde - Campus INSA Lyon - Entrée libre.

Une campagne de financement participatif pour accompagner le deuxième volet du projet a été lancée par l’association étudiante l’Art de la Scène : https://lacooperative.groupe-insa.fr/en/projects/projet-gwada
 

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19 May
19/05/2022 20:30

Art & Culture

NOCHE LAT'INSA 

Cette soirée vous propose un voyage à la frontière entre musiques populaires et savantes d’Amérique latine.

Les étudiants de Musique-études présenteront des œuvres de musique de chambre de Villa-Lobos, Piazzolla, Gismonti, Bernstein ainsi que des arrangements pour combos dans la tradition cubaine encadrés par le compositeur et percussionniste Isel Rasua. Si les influences et les pays représentés ici sont multiples (Brésil, Argentine, Cuba, Pérou, Colombie), c’est la danse et ses rythmes afro-cubains qui relient ces musiques entre elles (cha-cha-cha, boléro, samba, danzón, tango, habanera,…).

Avec la participation des étudiants de Musique-études et des professeurs Grégory Ballesteros, Samuel Fernandez, Eric Franceries et Isel Rasua.
Coordination : Grégory Ballesteros, Isel Rasua et Arnaud Sandel.
Durée : 1h45

Spectacle gratuit sur inscription => https://bit.ly/nochelatinsa

Création soutenue par la DRAC Auvergne Rhône-Alpes.

Additional informations

  • https://bit.ly/nochelatinsa
  • La Rotonde - Campus LyonTech - 14 avenue des arts - 69100 Villeurbanne

16 May
16/05/2022 19:00

Art & Culture

Passeurs d'arts, un autre regard

************* En quoi et comment des parcours « Arts, Sciences et Ingénierie » sous-tendent-ils l’émergence de carrières d'exception, comme ingénieur, comme chercheur ou comme artiste ? ************

Parcours artistiques, parcours de vie pour découvrir ou redécouvrir le modèle INSA avec en son cœur les sections Arts-études. Entre formation et culture, elles permettent le développement artistique et culturel, personnel et professionnel des élèves-ingénieurs, par la réalisation de projets artistiques au contact de professionnels du spectacle vivant.
Une invitation à venir explorer ce terreau fertile, ce terrain d'expérimentation à la frontière des sciences, de la technique et des arts.

À travers des courts-métrages "portraits dansés” réalisés par les étudiants de cinéma-études, danse-études et lumière et son et de tables rondes pour penser l’ingénieur humaniste artiste.

En présence de personnalités du monde de la culture, notamment de structures partenaires : Maison de la Danse, CND..., de chercheurs, d’entrepreneurs, d'artistes et de diplômés INSA aux parcours exceptionnels à la frontière des arts, des sciences et de l’ingénierie.

Gratuit - réservation conseillée => https://bit.ly/passeurs_arts

Additional informations

  • La Rotonde - Campus LyonTech La Doua - 20 avenue des arts - 69100 Villeurbanne

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