
International
Visite du Maire de Shanghai : INSA Lyon à l'honneur
C'est un évènement exceptionnel et rare : le Maire de Shanghai, Mr Yong YING, était en visite début juillet à Lyon dans le cadre du jumelage avec la Région Auvergne-Rhône-Alpes.
Eric Maurincomme fut invité par le Président de Région Laurent Wauquiez à participer aux temps forts de cette visite.
Pour l'INSA Lyon, qui fut l'une des premières écoles d'ingénieurs françaises à accueillir des étudiants chinois, dès 1979, le développement des échanges avec la Chine et Shanghai en particulier sont une priorité. C'est en effet avec les universités shanghaiennes que les partenariats sont les plus aboutis et les plus équilibrés, grâce notamment aux financements alloués par la Région. Ainsi, la coopération avec Shanghai Jiao tong University dans le domaine des Télécoms permet depuis 2009 à une quinzaine d'insaliens d'effectuer chaque année un semestre à Shanghai. Plus récemment un double-diplôme en matière d'ingénierie civile a été établi avec Tongji University avec déjà deux étudiants français inscrits. Ce programme, monté par le professeur Irini Djeran-Maigre du département Génie Civil et Urbanisme, a été retenu par la Région et la Commission science et technologie de Shanghai pour la qualité du triptyque formation-recherche-entreprise avec notamment la perspective d'un partenariat industriel avec Saint-Gobain.
Pour favoriser la mobilité de nos étudiants vers la Chine, malgré la différence culturelle et l'obstacle linguistique, il nous faut construire des partenariats à haute-valeur ajoutée et bénéficier d'un soutien politique et financier dans la continuité. C'est pourquoi, les 30 ans de partenariat entre la Région et Shanghai sont un atout précieux pour l'INSA Lyon.

International
Energie et Environnement: 10 ans après, Tsinghua privilégie toujours la France
"L'Europe et la France seront toujours les partenaires privilégiés pour promouvoir un développement durable" c'est le message qu'a répété Bin Yang, Vice-président de la prestigieuse université pékinoise Tsinghua lors de sa rencontre avec Christian Olagnon, Directeur de la formation de l'INSA Lyon.
Avec un premier accord signé en 1981, l'INSA Lyon a en effet le privilège d'être un partenaire historique de l'université n°1 de Chine, dont sont issus de nombreux dirigeants actuels et notammament plusieurs Ministres de l'Environnement.
Rejoint il y a dix ans par Les Mines Paris-Tech et l'université de Pennsylvanie, l'INSA Lyon participe à deux formations en double-diplôme avec Tsinghua: les Mastères ENVIM en management de l'environnement et ALEF en management des systèmes énergétiques.
C'est à l'occasion de la célébration des 10 ans de la coopération et de la remise des diplômes à la 8e promotion des diplômés français et chinois, qu'une délégation de la School of Environment de Tsinghua était en visite à Paris. Leur objectif est d'approfondir cette coopération en intégrant plus d'étudiants et en développant une approche globale du développement durable comprenant 3 axes: ingénierie/législation/management. La perspective d'une coopération en matière d'innovation environnementale, en s'appuyant sur le modèle de la plateforme PROVADEMSE dirigée par Jacques Mehu, a également été retenue. Les deux parties ont convenu d'approfondir le dialogue en vue de lancer de nouveaux projets d'ici la fin de l'année.

INSA Lyon
Année France-Colombie : les rencontres universitaires ont lieu à l’INSA Lyon !
Après Paris en 2013 et Cali en 2015, l’INSA Lyon a l’honneur d’organiser et d’accueillir les 4e Rencontres Universitaires France Colombie les 3, 4 et 5 juillet 2017 sur le thème : « Développement rural et ville durable ». Entretien avec Eric Maurincomme, Directeur de l’INSA Lyon et référent Colombie pour la CPU, Conférence des Présidents d’Université.
Pourquoi ces rencontres universitaires France-Colombie ont-elles lieu à l’INSA Lyon ?
2017 est l’année croisée France-Colombie. Après un premier semestre consacré à la culture française en Colombie, la deuxième partie de cette année croisée va démarrer avec une la mise à l’honneur de la culture colombienne en France. Le Président Macron et le Président Santos ouvriront d’ailleurs officiellement la saison colombienne en France le 23 juin prochain.
Pour le monde de l’enseignement supérieur, le coup d’envoi aura lieu à l’INSA Lyon, le 3 juillet, avec les 4e rencontres universitaires franco-colombiennes. Il existe de nombreux liens entre nos deux pays et la France est la 3e destination internationale pour les étudiants colombiens. Nous en accueillons plus de 3500 chaque année après les Etats-Unis et l’Espagne (6000 chacun).
Nous attendons une petite centaine de représentants des universités colombiennes et françaises, pour d’abord faire le bilan de la situation actuelle de la coopération, et établir un plan d’actions pour les 2 prochaines années. Sont impliqués dans cet événement l’Association des Universités Colombiennes (ASCUN), la Conférence des Présidents d’Université (CPU), la Conférence des Directeurs des Ecoles Françaises d'Ingénieurs (CDEFI), et la Conférence des Grandes Ecoles (CGE).
Quels sont ces liens entre l’INSA et la Colombie ?
Je suis moi-même très impliqué dans ces relations, étant référent de la Colombie pour la Conférence des Présidents d’Université (CPU) et membre du Comité Stratégique Franco-Colombien. J’ai fait de nombreux voyages en Colombie, le dernier date du mois de mars, où l’on m’a demandé d’intervenir pour présenter le modèle INSA et la contribution de l’INSA Lyon sur le développement durable.
L’INSA Lyon a développé différents partenariats, notamment avec l’Université de Los Andes, la Pontificia Universidad Javeriana et l’Université Nationale de Colombie avec laquelle a été créé un parcours de double diplôme. Des rencontres ont lieu régulièrement entre nos deux pays, nous avons par exemple reçu une délégation d’une quinzaine de jeunes colombiens l’an dernier autour de la pratique du rugby. 27 étudiants colombiens sont accueillis en 2017 sur le campus, dont 9 doctorants, enregistrés auprès de notre service scolarité.
Quel est l’objectif derrière ces rencontres universitaires ?
Les relations universitaires entre les étudiants et les chercheurs sont une porte d’entrée pour nos deux pays. Car nous essayons à la fois de renforcer le poids des entreprises françaises et de l’investissement de la France en Colombie, et de renforcer la visibilité de l’industrie et du savoir-faire colombiens en Europe. Il faut pour cela se familiariser avec la langue et la culture de chacun, et participez autant que faire se peut à l’année France-Colombie.
https://ru-francol4.sciencesconf.org/
https://www.youtube.com/watch?v=C_GJz9m8m4E
https://co.ambafrance.org/Ouverture-de-l-Annee-France-Colombie-2017
https://www.youtube.com/watch?v=3P7JBQ7dyr0
https://www.youtube.com/watch?v=rXXdWaDfWqA
http://www.onlylyon.com/news/nuits-sonores-un-festival-lyonnais-en-pleine-expansion-a-l-echelle-internationale.html
Additional informations

Formation
Danse avec elle
Quelques mois après la création du Diplôme Arts-Etudes à l’INSA Lyon, nous avons rencontré Delphine Savel, responsable de la section Danse-études qui a su donner à son art toute la place qu’il mérite dans une école d’ingénieurs à vision humaniste. Entre rage, surinvestissement et hypersensibilité : interview d’une danseuse qui n’a pas froid aux yeux.
Comment avez-vous découvert la danse ?
Nous sommes en 1995… Je suis gymnaste et je rentre à l’UFR Staps de Lyon, avec l’ambition de faire de la lutte ! On me fait comprendre qu’avec mes 45 kg, ce sera difficilement envisageable et comme j’avais commencé la GRS, je m’oriente du coup vers la danse.
J’ai été formée tardivement à la Modern’Dance à base des techniques Martha Graham, José Limon & Lester Horton. C’était de 1994 à 1999 à l’Atelier 9 auprès d’Elisabeth Venot DeTexier. J’ai ensuite fait mes armes à Paris en tant que danseuse interprète auprès de Bénédicte Raquin de 1999 à 2004 au sein de la Compagnie Sans Dessus Dessous.
J’ai appris la technique avec « Babette », et l’essence de la danse avec Bénédicte. Elle m’a transmis ce que voulait dire incarner le mouvement.
J’ai fait l’expérience ce qu’est le corps et toute la puissance qu’il peut générer lorsqu’il est mis au service d’une idée.
J’ai expérimenté le mouvement comme 6ème sens. Créer un mouvement qui révèle ma singularité, mon authenticité...
A chaque création, à chaque représentation je construisais cette intelligence sensible du corps: sentir, ressentir, percevoir et agir en fonction de mes états, de ceux des autres… d’une pensée, d’une idée.
Danser : c’est cet être au monde, cet état de porosité à soi, à l’autre, à l’environnement, cet acte politique qui consiste à partager ses idées, ses convictions sur un plateau !
Ce que j’ai ressenti ensuite avec Robyn Orlin, qui a beaucoup œuvré contre l’apartheid, m’a bouleversée. Je venais de passer le CAPEPS et me voilà embarquée dans une collaboration artistique de haut vol durant 15 jours au Théâtre de la Ville avec cette chorégraphe sud-africaine. J’avais la vision du corps comme don absolu de soi, du corps complètement dédié à l’art. C’est à ce moment-là que j’ai décidé que tout ce que la danse m’avait permis de découvrir, de vivre, je souhaitais le transmettre à des élèves.
Vous commencez alors votre carrière d’enseignante à Paris, dans le secondaire, avant de revenir à Lyon, et de découvrir l’INSA. Comment se passe votre intégration dans cette école ?
C’est vrai qu’à Paris, j’ai commencé par monter des associations sportives Danse, d’abord dans un lycée puis dans un collège difficile, avec le challenge de remporter des prix en participant à des compétitions. Cet aspect-là est important pour moi parce qu’il me permet de confronter mon travail, mon langage chorégraphique à un regard d’experts, d’avoir un retour sur le processus créatif que j’engage auprès du collectif d’élèves avec lequel je travaille.
Et puis je rentre effectivement à Lyon. J’intègre l’INSA Lyon d’abord en tant qu’enseignante de gymnastique en vacation. Nous sommes en 2004 quand j’intègre le centre des sports de l’INSA Lyon sur le poste profilé danse. Comme je suis une boulimique d’énergie, je gère le cours d’option danse à ma manière… Dès la 1ère année, je décide de monter un spectacle et nous terminerons l’année universitaire par une représentation au théâtre Astrée avec les élèves ingénieurs – danseurs. Je propose alors de créer l’association sportive de Danse de l’INSA Lyon, mais faute de possibilité de créneaux le projet sera repoussé d’une année. L’année suivante, grâce à ma rencontre avec Annabelle Bonnéry de la Cie Lanabel, je monte un projet arts-sciences auquel j’associe différents départements de spécialité de l’INSA. Projet qui deviendra en 2009 l’UV Innovation « Arts, sciences et Ingénierie » du département Génie Mécanique.
L’INSA Lyon forme des ingénieurs. Qu’est-ce qui vous maintient dans cet univers depuis maintenant 13 ans ?
Je me suis tout de suite dit que cette école était pour moi. J’avais toujours mis en relation les aspects scientifiques et techniques de la danse avec la pratique d’autres champs disciplinaires. Je suis une fille de terrain et la danse à l’INSA est pour moi un lieu d’expérimentation des relations Arts-Sciences. Je suis dans une école scientifique et je travaille avec des professeurs de mécanique, de mathématiques, avec des chercheurs aussi.
Responsable de l’enseignement de la danse au centre des sports depuis 2004, j’ai aussi créé le collectif InciDanse en 2006 avec lequel nous avons remporté 11 titres de la meilleure chorégraphie dans différents concours nationaux.
L’association sportive Danse représente une extension de mon langage chorégraphique.
Les fins d’année sont chargées d’émotions autour des représentations du collectif InciDanse et de nos créations chorégraphiques annuelles. Créations qui ont pour sujet des thématiques qui me touchent : le rapport individualité / collectif, faire corps collectif, l’insoumission, la révolte, la dépendance… Cette année ce sera « Errance ».
Depuis 2011, j’ai accepté de prendre la responsabilité de la section Danse-études et de monter des projets autour de la formation artistique avec une ligne pédagogique sur-mesure pour nos étudiants. Ce qui m’intéresse, c’est leur permettre de se créer une pensée divergente au contact de professionnels du monde de la danse. C’est les confronter aux questionnements suivants : quelles similitudes et/ou différences entre la gestion d’un projet industriel et un projet artistique ? Quelles problématiques communes ou pas entre un chorégraphe et un manager, un directeur de compagnie ? Quelles divergences et quelles convergences entre le processus créatif dans l’art chorégraphique et dans la recherche scientifique ?…
La section Danse-études est un travail pédagogique et artistique qui me permet de mettre en lien nos élèves-ingénieurs avec des artistes, des professionnels du spectacle vivant. Chaque année est un nouveau challenge autour de projets artistiques d’envergures qui peuvent mettre en liens les 4 sections, qui peuvent mettre en exergue les liens arts –sciences…
Ce qui m’enrichit aussi, c’est d’ouvrir la porte à différents profils : celui de la danseuse très technique voir expérimentée qui devra travailler sur ce qu’elle livre sur scène d’elle-même, et celui du novice, qui dégage tellement de sensations dans ses mouvements qu’il irradie mais devra se construire un corps de danseur.
C’est aussi cela l’INSA. Le modèle d’ingénieur humaniste me parle surtout quand Gaston Berger, l’un des pères fondateurs de l’INSA, dit : « L’imagination est un chemin de connaissance ». Je vais même aller plus loin : mon rôle consiste à éveiller des corps sensibles. J’enseigne la danse, je chorégraphie… Je pétris des corps et des imaginaires dansants au sein d’une école d’ingénieurs.
« Danser, chorégraphier, c’est poser l’autre, qu’il soit absence ou présence.
L’autre est la condition de tout mouvement, de tout désir, de toute connaissance.
Cette conscience de l’altérité, jointe à la mémoire, donne à la trajectoire humaine sa valeur, son juste équilibre. »
Crédit photo : Gilles Aguilar

Formation
INSA Lyon – ENSA Lyon : l’union fait la force
L’INSA Lyon et l’ENSA Lyon, école nationale supérieure d’architecture de Lyon, préparent leur association par décret interministériel, après vingt ans de collaboration.
« L’alliance de la créativité et de la haute technologie constitue l’avenir de nos métiers ». Voilà ce qui a guidé ce rapprochement historique entre l’INSA Lyon et l’ENSA Lyon, incarné par Nathalie Mezureux, directrice de l’ENSALyon et auteure de cette introduction, et Eric Maurincomme, directeur de l’INSA Lyon.
Après un vote unanime sur le principe des rapprochements des deux Conseils d’Administration à l’automne 2015, une convention d’association a été présentée aux différents conseils des deux établissements et adoptée il y a tout juste un mois. Depuis, les deux ministères concernés (MENESR et Culture) préparent le projet de décret interministériel. Ce projet d’association de l’ENSA Lyon à l’INSA Lyon a été approuvé le 17 janvier 2017 par le CNESER (comité national de l’enseignement supérieur et de la recherche).
« En Europe, les universités de technologie dignes de ce nom, comme le Politecnicode Turin par exemple, proposent de mêler aux sciences de l’ingénieur de l’architecture, du design ou encore du management » indique Eric Maurincomme, qui rappelle qu’une des particularités du modèle INSA est d’amener les élèves-ingénieurs à s’interroger sur l’impact de la science et de la technologie sur la société.
« L’architecture en est un très bon exemple, d’autant plus que l’ENSA Lyon propose beaucoup d’enseignements et d’expertise sur le sujet » précise EricMaurincomme, qui espère par ailleurs que le travail en mode projet développé à l’ENSA Lyon inspire fortement les formations d’ingénieurs.
Outre cet aspect, l’ENSA Lyon est intéressée par le développement de la recherche sur des domaines communs aux deux écoles (par exemple le numérique appliqué à l’urbanisme et au patrimoine), et par les formations que l’école d’ingénieurs propose à ses étudiants sur la R&D ou l’entrepreneuriat. « 80% de nos diplômés vont travailler dans des agences d’architecture : il faut habituer nos étudiants au travail collaboratif, à la co-conception et à l’esprit d’entreprise » souligne Nathalie Mezureux.
A l’ENSA Lyon, historiquement proche de l’ingénierie, des diplômes en commun avec l’INSA Lyon sont proposés depuis plus de vingt ans. « Et nous avons vite compris qu’il fallait un rapprochement institutionnel avec un établissement fort » précise Nathalie Mezureux.
Le rapprochement des deux établissements s'inscrit dans la logique d'un continuum universitaire, entre le campus de Vaulx-en-Velin où se situe l'ENSA Lyon et le campus Lyon Tech-La Doua où se trouve l'INSA.
« L’INSA Lyon et l’ENSA Lyon partagent des valeurs communes, notamment autour de l’humanisme. Le contexte de notre rapprochement est favorable, en cette période où l’Université de Lyon travaille à sa construction d’envergure internationale » conclut Eric Maurincomme.

Entreprises
Datadonnées : Tilkee et l’INSA Lyon peuvent prédire une vente !
Tilkee a développé avec l’INSA Lyon un algorithme pour prédire le comportement de son prospect à la lecture d’une offre commerciale. Une capacité de voyance qui permet à cette société française d’édition de logiciels de prédire ses ventes avec un degré de fiabilité inégalé.
« J’ai besoin de savoir avec certitude si à la lecture de l’offre commerciale le client va acheter ou pas. »
Voilà le cas de figure exposé avec simplicité par Tim Saumet, co-fondateur et dirigeant de Tilkee, éditeur de logiciels spécialisés dans l’analyse de lecture des documents numériques, et plus spécifiquement des offres commerciales.
Pour répondre à ce besoin instantané de sa clientèle, Tilkee a fait appel à l’INSA Lyon et l’expertise du laboratoire LIRIS pour développer un algorithme permettant l’analyse de plus de 20 critères en temps réel. Ce nouvel outil permet de suivre et de croiser les indicateurs de comportements de lecture qualitatifs et quantitatifs avec des calculs puissants, une véritable innovation dans le processus commercial qui s’adapte en temps réel à l’intention de la clientèle.
«Nous offrons à nos clients la possibilité de prédire leurs ventes à venir, non plus en fonction d’un ressenti subjectif de leurs commerciaux mais en fonction de l’intérêt réel du prospect. Cette solution algorithmique va nous permettre d’apporter de la valeur ajoutée à nos clients parce qu’ils vont pouvoir optimiser leur processus de relance et éviter de perdre du temps avec un prospect qui n’est pas intéressé » précise Tim Saumet.
Une réponse sur-mesure développée avec l’INSA Lyon grâce à l’intermédiaire de sa filiale INSAVALOR. Car cette dernière a récemment mis en place une offre de service en matière de valorisation des données au sein de la plate-forme Datavalor, en regroupant les compétences des équipes de chercheurs de l’INSA Lyon.
« Nous avons créé une offre d’expertise basée sur les compétences des différents laboratoires de l’INSA Lyon, et embauché un ingénieur transfert dont l’activité est entièrement consacrée aux partenariats technologiques avec les industriels. Dans l’enseignement supérieur, nous sommes capables d’apporter des réponses au monde industriel dans des schémas réactifs et des délais courts, comme cela a été le cas avec Tilkee, dont nous sommes actionnaires par le biais du fonds d’investissement Pertinence Invest » explique Nicolas Penet, directeur d’INSAVALOR.
Si l’outil est désormais disponible sur le marché, Tilkee pense déjà à la prochaine étape de son développement.
« Il nous faut enrichir et croiser nos données avec d’autres données pour affiner notre algorithme, et créer un algorithme personnalisé par client, l’outil le plus pertinent possible dans leur offres commerciales » conclut Tim Saumet.
Légende photo : Sylvain Tillon et Tim Saumet
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