Stage

19 Mar
From 19/03/2025
to 20/03/2025

Sciences & Société

Forum Rhône-Alpes

La 40e édition du Forum Rhône-Alpes, premier salon de recrutement d’élèves-ingénieurs d’Europe, se déroulera le 20 mars 2025 au Double Mixte à Villeurbanne

Le Forum Rhône-Alpes est un générateur de contacts privilégiés entre les entreprises et les étudiants. Dans cette optique, le salon donne l’occasion aux entreprises de recruter leurs futurs cadres.

Le Forum Rhône-Alpes est un lieu d'échange entre les futurs ingénieurs et les entreprises. Il accueille chaque année plus de 4 000 visiteurs, étudiants et jeunes diplômés d’un regroupement de grandes écoles d’ingénieurs de la région Rhône-Alpes.Les domaines de l’ingénierie représentés couvrent de nombreux secteurs : Informatique, Télécommunications, Génie électrique, Génie industriel, Génie mécanique, Génie civil et urbanisme, Génie des matériaux, Chimie, l’Agroalimentaire, Environnement et Biosciences.

Nouveau format pour l'édition 2025 le forum se déroulera sur deux jours.

Programme à venir.

 

14 Nov
From 14/11/2024
to 15/11/2024

Formation

Forum de recrutement Catalyz

Première plateforme de recrutement en ligne, pour tous les élèves des grandes écoles d’ingénieurs à la recherche d’un stage, d’un Projet de Fin d’Etudes ou d’un emploi.

L’avantage de CATALYZ est la flexibilité. Sans contraintes vestimentaires ou géographiques, il vous suffit de vous connecter à la plateforme pour échanger avec les recruteurs et postuler aux offres qui vous intéressent. Prenez votre temps pour rédiger vos questions et vos réponses, le but de « l’exercice » : découvrir, échanger, postuler.

 

Pour les entreprises/écoles qui souhaitent s'inscrire, il faut effectuer une demande de participation via le lien suivant → www.forumorg.org
09 Mar
09/Mar/2022

Vie de campus

Les classes de neige

Il fut une époque où chaque hiver, tous les étudiants de l’INSA partaient en classe de neige pour « s’aérer l’esprit entre les deux semestres ». Dans un modèle pédagogique où le sport a toute sa place, il s’agissait aussi de faire découvrir un sport peu accessible pour la classe étudiante dans les années soixante. Accompagnés par des représentants de l’INSA, professeurs ou administrateurs, « les familles1» d’étudiants partaient en train, depuis la gare de Lyon-Perrache pour rejoindre un chalet de l’UNCM (UCPA)2
Grosses gamelles, anecdotes et souvenirs : retour sur une époque « bénie », selon les diplômés des premières promotions.

« Je suis rentré enchanté de mon séjour aux Brévières. La beauté du site, les facilités sportives, les conditions de l’accueil (…) laisseront chez les élèves de l’INSA un des meilleurs souvenirs de leur vie d’étudiant 3 ». Dans un courrier adressé au directeur du Centre du Rocher Blanc aux Brévières, près de Tignes, Jean Capelle, premier directeur de l’INSA, se réjouissait d’offrir la possibilité à ses étudiants de découvrir la beauté des paysages de montagne. 

 
Le centre des Brévières, près de Tignes (archives de l’INSA Lyon)

Le stage de ski avait lieu dès la première année, et de ceux qui s’en souviennent, c’était extraordinaire. Mis en place par la direction de l’établissement, il procédait de la même intention que la création de l’INSA : favoriser l’ouverture sociale. S’il était fait mention dans le guide des consignes destinées aux personnels accompagnants que le stage puisse offrir « une détente intellectuelle totale, entre les deux semestres, juste après la période pénible des compositions du premier semestre », il s’agissait aussi de faire découvrir un environnement nouveau à ces jeunes gens qui pour la plupart, n’avaient jamais eu la chance de pratiquer de sports d’hiver. « Il faut dire qu’à l’époque, le ski n’était vraiment pas répandu. L’UCPA voulait en profiter pour faire connaître les stations à une clientèle, qui plus tard, aurait les moyens de fréquenter ses sites. Mais qu’importe l’argument publicitaire ! Pour ma part, je ne connaissais pas la neige. Ça a été une grande première lors de ces classes de découvertes, et j’ai continué à skier très longtemps après », explique Michel Magnin, diplômé de la 9e promotion.

Proposé selon deux formules, ce séjour faisait partie intégrante du cursus scolaire. « On partait généralement en janvier ou février. Il y avait deux destinations : les Alpes et les Pyrénées pour ceux qui étaient en capacité de skier, puis la Bourboule, pour les dispensés. C’était une semaine obligatoire ». Tellement obligatoire que celles et ceux qui tentaient de se soustraire à la semaine sportive se voyaient épinglés par le secrétaire général de l’INSA qui adressait un courrier circonstancié : « la présente note tient lieu d’avertissement et figurera dans votre dossier scolaire », prévenait-il. Était-ce par peur de l’inconnu, par paresse ou par inappétence pour le climat alpin que quelques étudiants tentaient d’échapper à cette nouveauté pédagogique ? Selon les documents d’archives administratives, la discipline imposée ne laissait la place « ni à l’oisiveté physique, ni intellectuelle », pas même pour les stagiaires partis en plein cœur de la nature auvergnate. « Je n’y suis jamais allé, mais je me souviens que l’on vannait nos camarades qui partaient à la Bourboule. Pour ceux qui étaient de l’équipe « ski dans les Alpes », on les imaginait passer leur temps à jouer au tarot et faire des farces comme remplir les 2CV de neige », s’amuse Michel.

En réalité, le stage bourboulin ne laissait pas vraiment le temps aux étudiants de s’ennuyer. Dans un article de La Montagne Dimanche datant du 28 février 1960, le programme y est énoncé. L’emploi du temps était chargé en activités culturelles et éducatives : visite d’une usine hydraulique, études géologique, géographique et économique de l’Auvergne, coutumes… Si la rivalité, de bonne guerre, entre les stagiaires alpins et les bourboulins a pu exister, ces derniers pouvaient tout de même se targuer d’animer la ville thermale avec un bal, « organisé le mercredi par les élèves-ingénieurs et animé par leur propre orchestre, André et Peppit ». 

La Montagne Dimanche 28/02/1960Du côté des stations, l’ambiance était sportive, du matin au soir. 
Les élèves, répartis en groupe de niveaux, se partageaient les pistes selon qu’ils étaient « forts », « moyens » ou « débutants ». Amarrés à leurs skis droits, les skieurs étaient entièrement équipés par le centre UCPA : skis Aluflex et bâtons en duraluminium, de la toute dernière technologie pour l’époque. « Il faut s’imaginer les équipements de l’époque. Pour choisir la taille de nos skis, on se mettait debout et on levait le bras. Il fallait que la spatule arrive dans le creux de la main. Alors avec mes 1,80 mètres, je n’en menais pas large. Et les fixations ! Lorsqu’on tombait, on mettait des heures pour se relever. Et qu’est-ce qu’on s’est pris comme gamelles… », rit encore Michel, diplômé en 1969.

 

Article de « La Montagne Dimanche », 28 février 1960 (archives de l’INSA Lyon)

Pour descendre les pentes, point d’enjeu de vitesse pour les skieurs étudiants. Le matériel et le niveau technique de l’époque les obligeaient à réaliser des conversions. « Pour descendre la pente, comme on ne savait pas tourner, il fallait prendre son appui, lever le ski, tourner le pied pour mettre le ski parallèle et ainsi de suite ! » En complément des cours pratiques de la journée, même si la fatigue physique avait souvent raison d’eux, les étudiants ne manquaient pas les « causeries techniques sur le ski ou la montagne par le moniteur chef » pour perfectionner leur théorie. 

Paysage de montagnes enneigées, gros plan d'étudiants en stage de neige. Négatif couleur. 1964 (archives Centre des Humanités de l’INSA Lyon)
Paysage de montagnes enneigées, gros plan d'étudiants en stage de neige.
Négatif couleur. 1964 (archives Centre des Humanités de l’INSA Lyon)

Déjà habitués à la vie en communauté à l’INSA, les élèves-ingénieurs n’avaient qu’à transposer leur mode de vie habituel en arrivant dans les chalets. Le premier soir, dédié à l’annonce des principes de vie de la maison, était l’occasion de désigner les responsables étudiants qui veillaient à la bonne marche du séjour. Chaque étudiant devait participer à la vie collective du groupe : repas, service, vaisselle, nettoyage… Si l’INSA et l’UCPA partageaient bon nombre de valeurs morales communes, la discipline était celle qui régnait en maître lors de ce séjour. Et pour cause : sans discipline, le ski pouvait s’avérer dangereux. D’ailleurs, chaque stage rapportait son lot de « bobos ». Les infirmières de l’établissement faisaient état des dommages lors du retour des étudiants. Tapés à la machine à écrire sur des feuilles de papier blanc, les maux s’alignaient en majuscules : 9 entorses, 2 contusions, 6 plaies diverses… 
Parmi ces dossiers d’archives de l’infirmerie de l’INSA, un rapport suspend le temps : celui de l’hiver 1970. Au paragraphe accordé au stage de Val d’Isère, il est inscrit : « 6 décès à la suite d’une avalanche », en minuscule, comme si le choix de la casse typographique avait le pouvoir d’apaiser les douleurs de la catastrophe.

C’était l’heure du petit-déjeuner dans le centre UCPA de Val d’Isère, juste avant de rejoindre le front de neige pour leurs cours de ski. Alors que le café fumait encore sous leur narines, certains l’ont entendu arriver. « Un bruit sourd », qui leur a parfois permis de se mettre à l’abri avant la coulée qui a fait exploser la baie vitrée du bâtiment. L’avalanche du 10 février 1970 à Val d’Isère a laissé tout le pays en état de choc. C’était la plus grande catastrophe due aux avalanches depuis 250 ans. 
À Villeurbanne, le secrétariat de la direction de l’INSA réceptionnait des télégrammes de la part de familles inquiètes du sort de leur enfant. Les messages abrégés, imprimés sur des étiquettes collées sur du buvard bleu indiquaient : « Inquiets cause avalanche. Réponse immédiate. <= Merci <= ». Pour la plupart, le directeur général répondait : « Aucun souci pour vous, sentiments distingués ». Pour certains d’entre eux : « Condoléances attristées ». Parmi les 39 victimes de la catastrophe de Val d’Isère, six étaient des étudiants de l’INSA. 

    
Télégramme reçu le 11 février 1970 (archives administratives de l’INSA Lyon) 
   

Archives de l’infirmerie de l’INSA Lyon (1970)

Lorsque le ski s’est démocratisé, les classes de neige à l’INSA ont fini par disparaître du programme. « Je crois que cela devenait ingérable logistiquement et financièrement, surtout lorsque la formation est passée à cinq années au lieu de quatre, à la rentrée 1967 », note Michel Magnin. 
Progressivement, le stage de ski est devenu facultatif puis a fini par disparaître, de sa belle mort. « Après ces stages, je suis devenu un mordu de ski. Pour ma part, si la volonté de Jean Capelle avait été de nous faire découvrir quelque chose que nous n’aurions peut-être pas découvert seul, ça a marché. Il n’y a pas si longtemps, à chaque vacance d’hiver, j’étais le premier à ouvrir et le dernier à fermer les pistes », conclut Michel, nostalgique.

 

Marcheur dans la montagne enneigée, diapositive couleur. Non datée (archives INSA Lyon)

 

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« Les familles » étaient organisées selon les étages et le bâtiment de résidence. Contrairement à la répartition actuelle effectuée grâce à un quizz réalisé par le comité de parrainage étudiant, les premières familles étaient réunies par quart d’étage.
L’UNCM, Union Nationale des Chalets de Montagne est aujourd’hui devenu UCPA, en fusionnant avec l’UNF, Union Nautique française.
Courrier de Jean Capelle à Monsieur Gallazzi, directeur du Centre du Rocher Blanc aux Brévières près de Tignes (Savoie), en date du 5 février 1959 / (Archives de l’INSA Lyon)

Extrait d’un compte rendu de stage de neige


 

 

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18 Dec
18/Dec/2019

Formation

Partager son stage entre entreprise et association

Depuis cette année, l’INSA Lyon offre la possibilité à ses étudiants de réaliser un stage partagé entre une association et une entreprise. Ghyslain Le Crom, étudiant en 4e année de génie électrique, est le premier à profiter de ce dispositif. Rencontre.

2018. Ghyslain, élève-ingénieur, s’intéresse dans le cadre de l’association Ingénieurs sans frontières, à trouver des stages différents. « Bien souvent, les entreprises intéressées par nos profils sont des grands groupes. On voulait offrir une plus grande diversité de stage aussi bien au niveau des sujets que des entreprises. Nous avons donc rencontré Béatrice Weill-Bureau, en charge de l'Espace Carrières, qui nous a parlé des stages partagés », se souvient Ghyslain. 

20% en association, 80% en entreprise
Les stages partagés ont été proposés initialement à l’INSA par Vinci, partenaire de la Fondation Groupe INSA, pour permettre aux insaliens de développer leurs compétences au sein d’une entreprise et d’une association. L’élève, rémunéré par l’entreprise, accorde 20% de son temps à une association pour travailler sur un deuxième sujet. « Le contenu pédagogique des deux missions est validé par le responsable de stage du département et doit permettre aux étudiants de développer des compétences d’ingénieur. Il ne doit pas forcément y avoir de lien entre elles, bien que les synergies soient encouragées, comme dans le cas de Ghyslain », précise Béatrice Weill Bureau.

Un contrat gagnant-gagnant
Ghyslain décroche un stage partagé entre Citéos, filiale de Vinci Énergie dans l’éclairage urbain, et Hespul, association qui accompagne justement des projets liés au photovoltaïque et à la transition énergétique. « Une telle expérience me permet de réaliser une mission engagée en rapport avec mes valeurs en associant deux structures. Citéos, expert dans l’éclairage public depuis des années, s’est positionné sur le domaine du photovoltaïque depuis moins de deux ans. Nous avons construit tous ensemble un sujet qui permet de mobiliser les savoir-faire de chacun : ‘Comment injecter de la production d’énergie photovoltaïque dans l’éclairage public ?’ » 

Une découverte de deux environnements
Dimensionnement, amélioration de processus, visite de chantier, calcul de capacité d’accueil, réponse aux appels d’offres… Ces missions ont permis à Ghyslain de développer de solides compétences. « Depuis septembre, je me rends toutes les deux semaines à Hespul pendant deux jours. Ce rythme alterné me permet d’apprendre énormément et d’avoir une vision de structures et modes de fonctionnement différents. J’ai vraiment l’impression de réaliser deux stages en un ! », s’enthousiasme l’étudiant.

Des propositions futures
Fort de ce succès, l’INSA Lyon souhaite déployer ce modèle avec d’autres entreprises et associations. « Côté associations, Handicap International, partenaire de l'INSA, propose des missions telles que le calcul de l’impact environnemental de leurs événements. Habitat et humanisme propose des sujets dans le domaine de l’optimisation énergétique des hébergements. Nous espérons créer de nombreux stages pour les étudiants qui souhaitent s’engager autour des enjeux sociaux et environnementaux ! », conclut Béatrice Weill-Bureau.

La Fondation Groupe INSA accompagne l'ensemble des INSA dans le déploiement du dispositif.
 

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15 Jul
15/Jul/2019

Recherche

Découvrir la recherche expérimentale

Étudiant en 4e année de Génie Énergétique et Environnement (GEN), Louis Dupont a intégré depuis avril, l’Université du Queensland en Australie, pour quelques mois dans le cadre d’un stage d’initiation à la recherche et au développement (SIRD)1. Entre premiers travaux de recherche expérimentale et conscience écologique, il raconte.

Trouver une alternative à la gestion des déchets issus de la biomasse
« Pour cette première expérience en recherche, je souhaitais trouver un sujet qui répondait à mes centres d’intérêts, comme les énergies renouvelables. En contactant Luis Yerman Martinez, chercheur uruguayen qui travaille à l’élaboration d’une nouvelle méthode de combustion, j’ai commencé à m’intéresser aux alternatives du traitement des déchets issus de la biomasse. La biomasse permet de générer du gaz, de l’électricité ou de la chaleur à partir des déchets organiques et leur gestion est devenue une vraie source d’intérêt. Les traitements de séchage nécessaires à leur combustion sont souvent énergivores et les autres solutions, comme le compost, trop longues. 
Dans le cadre de mon stage, je suis chargé d’étudier le traitement du digestat issu de la production de biogaz. La première phase du processus porte sur la récupération d’un liquide noir, le digestat, qui est le résultat de la méthanisation des déchets organiques, dans mon cas, des plants de framboisiers. Je mélange ce liquide à des fibres de coco pour abaisser la teneur en eau et le rendre combustible. Le mélange est ensuite mis dans un réacteur à combustion auto-entretenue qui chauffe la matière jusqu’à une certaine température. En modulant les entrées d’air et le taux d’humidité, je trouve la zone de fonctionnement de l’appareil qui fournira une réaction exclusivement composée de cendres à son terme. Mélangée à du sable, la matière devient plus perméable, offrant de nombreuses possibilités et l’énergie de la combustion stockée par le sable est facilement valorisable. » 

Un travail de recherche en phase avec ses convictions personnelles
« En découvrant l’activité de recherche au travers d’un SIRD, j’ai eu l’opportunité de me confronter à la réalité du terrain. Cela fait aujourd’hui quatre mois que je suis à l’Université du Queensland, et je prends petit à petit conscience de l’importance de l’esprit d’équipe dans ce type de travail. Aujourd’hui, je n’hésite pas à solliciter mes collègues du laboratoire pour échanger sur les bonnes pratiques ou bénéficier de leurs compétences pointues. Parfois, l’attente des résultats est longue, mais quand la solution se présente, on se félicite d’avoir travaillé collectivement. 
En rejoignant le département GEN en troisième année à l'INSA Lyon, j’avais pour objectif de participer à la prise de conscience écologique de la société, en espérant pouvoir, au sortir de mon diplôme, sensibiliser les entreprises qui sont des actrices majeures de la transition écologique. Aujourd’hui, je suis convaincu du caractère essentiel de la recherche pour notre société et je réalise que c’est un monde incroyablement riche avec des opportunités infinies. Je me rends compte que du côté de la recherche, on peut prendre part au changement, aussi profondément que dans une entreprise. »

1Le stage d’initiation à la recherche et au développement (SIRD) est réalisé par les étudiants du département Génie Énergétique et Environnement, dans un laboratoire de recherche universitaire souvent de renommée internationale. Cette étape de la formation par la recherche a pour but de valider la capacité de l’élève-ingénieur à se confronter à une problématique scientifique, en dehors du cadre scolaire, en mettant en œuvre ses compétences scientifiques et techniques et en étant capable de restituer son travail à l’écrit comme à l’oral, en langue anglaise.
 

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09 Jun
09/Jun/2017

Formation

Six élèves-ingénieurs lauréats des prix 2017 de l’Association des Amis de l’Université de Lyon

Cette année encore les étudiants de l’INSA Lyon de 2e année ont présenté leur rapport de stage de découverte de l'entreprise​ de première année effectué en 2016 devant un jury mixte AAUL*-INSA. Six d’entre eux ont été retenus pour être récompensés pour la qualité de leur rapport et de leur présentation orale :

  • Jihane Benamour (SCAN) et Pauline Petit (FAS) sont lauréates du prix doté par l’Association des Amis de l’Université de Lyon d’un montant de 750€ chacune.
  • Louis Camboulives (ASINSA), Charline Garcelon (ASINSA), Alexandre Mercier (Classique) et Jacques Olier (Classique). sont lauréats du prix doté par le département du Premier Cycle de l’INSA d’un montant de 350€ chacun.

La Fondation INSA Lyon a, pour sa part, attribué le prix coup de cœur à Jacques Olier.

La remise des prix se déroulera le mercredi 21 juin 2017 à 16h30 dans le Grand Amphithéâtre de l'Université de Lyon (90 rue Pasteur) - Entrée libre.

* L'Association des Amis de l’Université de Lyon est née de la volonté des enseignants et des responsables économiques lyonnais de resserrer les liens entre l’enseignement supérieur et la cité. Elle a pour objectif de promouvoir les activités et le rayonnement international de l’Université de Lyon et d'accroître les échanges entre les laboratoires de recherche et le monde économique.

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